Dépollution

est distribuée aux consommateurs. Après usage, elle est recueillie pour être conduite vers les usines de dépollution des eaux usées, avant d’être enfin rendue à la nature. Ce cycle subi par l’eau du fait de son usage par les sociétés humaines se décompose en cinq grandes étapes : le captage, le transport, la production d’eau potable, la distribution, puis la collecte et la dépollution des eaux usées(Figure 1) Figure 1: Cycle de l'eau à usage domestique. Ce cycle de l’eau de consommation

alimente près de 101 millions de personnes en eau potable dans le monde et plus de 68 millions en services d’assainissement. Ses métiers : prélèvement de l’eau dans la nature, production et acheminement d'eau potable, collecte, transport et dépollution des eaux usées. Veolia Eau propose aux industriels des technologies spécifiques : approvisionnement en eau de process, de refroidissement, eau ultra-pure, traitement et recyclage des effluents, valorisation… Véolia Eau c’est produire chaque jour

à long terme des zones de rejet. Cependant les filtres à charbon actif n’ont rien d’une solution miracle, car sur le principe d’une passoire, leurs pores finissent par être saturés en polluants ; les filtres ne jouent alors plus leur rôle de dépollution. Deux solutions s’offrent alors à l’entreprise : soit elle choisit de détruire purement et simplement les filtres (ils seront incinérés ou enfouis) et de les remplacer par du matériel neuf, soit elle décide de faire régénérer ses filtres. Néanmoins

l’effet de serre augmente le PIB (du fait de la hausse de la consommation d’essence) alors qu’elle produit des effets néfastes pour la société. Les activités de dépollution font augmenter le PIB. C’est le « paradoxe de l’Erika ». L’activité des entreprises générée par ce naufrage a augmenté le PIB. Par contre, la même activité de dépollution réalisée par des bénévoles n’est pas prise en compte. O. Son utilité est considérable et ne peut être remise en cause. Néanmoins, comme tout indicateur construit

ensuite l’objet pour disons 2$. Elle doit le vendre disons 3$ pour faire 1$ de profit. Le magasin qui vend l’objet doit aussi faire un profit donc, on paie 5$. Par contre, personne dans notre société ne compte la pollution et ce que coûte la dépollution dans le prix payé pour les biens de consommation. Le résultat est qu’il y a plus de pollution. La pollution peut être vue comme une dette. C’est la dette que nous laissent nos ancêtres en échange des routes, des villes, de la technologie et des

polluante, suivie d'un processus de dépollution, on comptabilise deux productions, pour un résultat global nul.Est-ce bien logique ? C’est ainsi que les dommages causés aux biens environnementaux par l’activité productive - eaux de rivière polluées, rejets atmosphériques, forêts détruites, etc. – ne sont pas pris en compte, lorsqu'aucun agent économique n’en supporte les coûts. En revanche, les dépenses engagées pour la réparation de certains de ces dommages (dépollution, reforestation...) seront, elles

1997. Vote de nombreuses lois en faveur du développement durable. Création d’un ministère de l’environnement en 2001 ; Exposition universelle du développement durable en 2005. Mise en route de la dépollution des eaux maritimes de la mégalopole. 1995 : Plan « Marinovation » pour financer la dépollution et les opérations de repeuplement des poissons dans les eaux littorales. Création de plages aménagées pour le tourisme dans la baie de Tokyo. Réaménagement du littoral , terre-pleins anciennement

destinées au transport des eaux chargées en sels dissous (saumoducs). Des travaux importants ont été engagés pour supprimer la pollution à sa source : dissolution accélérée des terrils, puits de dépollution, plantation de végétaux sur les terrils, etc. Ces travaux ont montré leur efficacité sur la dépollution de la partie superficielle de la nappe. En revanche, ils n'ont pas d'impact sur la pollution déjà présente en partie profonde. Les analyses des échantillons d'eau de nappe prélevés dans les forages

2ème limite : réside dans la difficulté à réglementer des sources de pollution différentes dans une même approche réglementaire. En effet, les coûts de dépollution varient selon la nature de l’activité économique. 3ème limite : elle n’incite pas les agents économiques à dépasser les prescriptions de la norme. Une fois l’objectif de dépollution atteint, les agents ne poursuivent plus leurs efforts. L’instrument réglementaire pour lutter contre le changement climatique est efficace à trois conditions

technologies ou sur les comportements des utilisateurs est le lot commun des problèmes environnementaux. L’approche économique se focalise sur les situations où la politique environnementale dispose de degrés de liberté pour répartir les efforts de dépollution, et doit réaliser des arbitrages pour fixer le niveau collectivement souhaitable des émissions polluantes. L’objectif est de réduire à 0 toutes nuisances : risque 0 ou interdiction absolue de toute mise en décharge ne seraient pas justifiés socialement