Dernière Tirade De Marguerite

; tu n’as pourtant pas forcé ma porte pour le plaisir de nous dire bonjour. Alors, Duroy, fort troublé, se décida : – Non... voilà... c’est que... je n’arrive pas encore à faire mon article... et tu as été... vous avez été si... si... gentils la dernière fois que... que j’espérais... que j’ai osé venir... Forestier lui coupa la parole : – Tu te fiches du monde, à la fin ! Alors tu t’imagines que je vais faire ton métier, et que tu n’auras qu’à passer à la caisse au bout du mois. Non ! elle est bonne

; tu n’as pourtant pas forcé ma porte pour le plaisir de nous dire bonjour. Alors, Duroy, fort troublé, se décida : – Non... voilà... c’est que... je n’arrive pas encore à faire mon article... et tu as été... vous avez été si... si... gentils la dernière fois que... que j’espérais... que j’ai osé venir... Forestier lui coupa la parole : – Tu te fiches du monde, à la fin ! Alors tu t’imagines que je vais faire ton métier, et que tu n’auras qu’à passer à la caisse au bout du mois. Non ! elle est bonne

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perds pas de temps; tu n'as pourtant pas forcé ma porte pour le plaisir de nous dire bonjour." Alors, Duroy, fort troublé, se décida: "Non… voilà… c'est que… je n'arrive pas encore à faire mon article… et tu as été… vous avez été si… si… gentils la dernière fois que… que j'espérais… que j'ai osé venir… " Forestier lui coupa la parole: "Tu te fiches du monde, à la fin! Alors tu t'imagines que je vais faire ton métier, et que tu n'auras qu'à passer à la caisse au bout du mois, Non! elle est bonne, celle-

pas de temps ; tu n’as pourtant pas forcé ma porte pour le plaisir de nous dire bonjour. » Alors, Duroy, fort troublé, se décida : « Non… voilà… c’est que… je n’arrive pas encore à faire mon article… et tu as été… vous avez été si… si… gentils la dernière fois que… que j’espérais… que j’ai osé venir… » Forestier lui coupa la parole : « Tu te fiches du monde, à la fin ! Alors tu t’imagines que je vais faire ton métier, et que tu n’auras qu’à passer à la caisse au bout du mois, Non ! elle est bonne

; tu n'as pourtant pas forcé ma porte pour le plaisir de nous dire bonjour. Alors, Duroy, fort troublé, se décida : - Non... voilà... c'est que... je n'arrive pas encore à faire mon article... et tu as été... vous avez été si... si... gentils la dernière fois que... que j'espérais... que j'ai osé venir... Forestier lui coupa la parole : - Tu te fiches du monde, à la fin ! Alors tu t'imagines que je vais faire ton métier, et que tu n'auras qu'à passer à la caisse au bout du mois. Non ! elle est bonne

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temps; tu n'as pourtant pas forcé ma porte pour le plaisir de nous dire bonjour.» Alors Duroy, fort troublé, se décida: «Non.., voilà... c'est que... je n'arrive pas encore à faire mon article.., et tu as été.., vous avez été si.., si... si gentils la dernière fois que... que j'espérais... que j'ai osé venir...» Forestier lui coupa la parole: «Tu te fiches du monde, à la fin! Alors tu t'imagines que je vais faire ton métier, et que tu n'auras qu'à passer à la caisse au bout du mois. Non! elle est bonne

pédagogue, Se promène ; il s’en va troubler la fraîche églogue Du bel adolescent Avril dans la forêt ; Tout tremble et tout devient pédant, dès qu’il paraît : L’âne bougonne un thème au bœuf son camarade ; Le vent fait sa tartine, et l’arbre sa tirade ; L’églantier verdissant, doux garçon qui grandit, Déclame le récit de Théramène, et dit : Son front large est armé de cornes menaçantes.   Denise, cependant, tu rêves et tu chantes, À l’âge où l’innocence ouvre sa vague fleur ; Et, d’un œil