Des étoiles plein les yeux

immortelle, et qu'hier c'est demain. Alfred de Musset XIXes Je suis aimé de la plus belleJe suis aimé de la plus belleQui soit vivant dessous les cieux :Encontre tous faux envieuxJe la soutiendrai être telle.Si Cupido doux et rebelleAvait débandé ses deux yeux,Pour voir son maintien gracieux,Je crois qu'amoureux serait d'elle.Vénus, la Déesse immortelle,Tu as fait mon coeur bien heureux,De l'avoir fait être amoureuxD'une si noble Damoiselle. Clément Marot Xves Le Corbeau et le RenardMaître Corbeau, sur

_____________________ “Les colchiques “ Le pré est vénéneux mais joli en automne Les vaches y paissant Lentement s'empoisonnent Le colchique couleur de cerne et de lilas Y fleurit tes yeux sont comme cette fleur-là Violâtres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne Les enfants de l'école viennent avec fracas Vêtus de hoquetons et jouant de l'harmonica Ils cueillent les colchiques qui sont comme des mères Filles

SENGHOR Support : LA FEMME NOIRE Femme nue, femme noire Vêtue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté! J'ai grandi à ton ombre; la douceur de tes mains bandait mes yeux. Et voilà qu'au cœur de l'Eté et de Midi, je te découvre Terre promise, du haut d'un haut col calciné Et ta beauté me foudroie en plein cœur, comme l'éclair d'un aigle. Femme nue, femme obscure Fruit mûr à la chair ferme, sombres extases du vin noir, bouche qui fait lyrique ma bouche Savane aux horizons purs

Ne Respire Pas: Ne m'laisse pas comme ça à la merci d'leurs yeux goguenards A traquer des blattes sur des parois illusoires Enfonce tes punaises dans les affolements de ma crise Et tous les grands crics qui me croquent la matière grise Ca sniffe la mort à plein nez, j't'en lèche les babines A honorer le confinement d'une mezzanine Qui petit à p'tit se transforme en boite à chaussures Dès qu'elle s'ouvre on s'casse sur les ailes d'une libellule Ne m'laisse pas ne pas m'endormir sans faire

d'un bal lointain, à travers le silence, Douces comme un sanglot qu'on exhale à genoux, Des valses d'Allemagne arrivaient jusqu'à nous. Incliné sur ton cou, j'aspirais à pleine âme Ta vie intense et tes secrets parfums de femme, Et je posais, comme une extase, par instants, Ma lèvre au ciel voilé de tes yeux palpitants ! Des arbres parfumés encensaient la terrasse, Et la mer, comme un monstre apaisé par ta grâce, La mer jusqu'à tes pieds allongeait son velours, La mer...

Ceci est un sonnet. C'est un registre lyrique. Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme celui-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ?

calmé ; je m'assis et je pus enfin fumer ma pipe. Je possédais une bouteille de rhum, j'en bus deux ou trois verres, et ma situation me fit rire. Il faisait très chaud, de sorte qu'à la rigueur je pouvais, sans grand mal, passer la nuit à la belle étoile. Soudain, un petit coup sonna contre mon bordage. Je fis un soubresaut, et une sueur froide me glaça des pieds à la tête. Ce bruit venait sans doute de quelque bout de bois entraîné par le courant, mais cela avait suffi et je me sentais envahi de

Nos étoiles contrairesNos étoiles contraires est un roman écrit par John Green, c’est un roman pour adolescents. Il a été édité en janvier 2012 par Dutton Books.John Green est né le 24 aout 1977 à Indianapolis, c’est un écrivain américain.Dans un premier temps je vais vous présenter les personnages principaux:-Hazel Grace âgé de 16 ans est atteinte d’un cancer de la thyroïde -Augustus Waters, un garçon de 17 ans, il a été amputé d’une jambe -Isaac un ami de Hazel et Augustus, qui est atteint d’un

discours est descriptive et que l’auteur associe la fin du cycle de la pluie au beau temps qui s’en suit. La poésie d’Albert Lozeau lui a voulu une place au sein de la littérature du terroir du Québec. Cette poésie était à l’époque très valorisée aux yeux de l’église et de l’état, car son but principal était de promouvoir la vie paysanne et l’agriculture lorsque les Canadiens étaient à leur début avec le domaine de l’industrialisation et qu’ils devaient faire face à l’exode rural. Ces strophes sont

s'écriait : Mon Dieu! A travers mes songes sans nombre, J'écoutais son parler joyeux, Et mon front s'éclairait dans l'ombre A la lumière de ses yeux. Elle avait l'air d'une princesse Quand je la tenais par la main; Elle cherchait des fleurs sans cesse Et des pauvres dans le chemin. Elle donnait comme on dérobe, En se cachant aux yeux de tous. Oh! la belle petite robe Qu'elle avait, vous rappelez-vous? Le soir, auprès de ma bougie, Elle jasait à petit bruit, Tandis qu'à la vitre