Description De L Hotel Saccard

thèmes et les enjeux Le lieu L’hôtel Saccard Le monde d’Aristide Saccard est celui de l’hôtel du Parc Monceau dont la couleur prédominante est l’or. Son « perron royal », ses « glands d’or » et ses lanternes exhibent l’éclat ostentatoire de la richesse de Saccard. A Monceau, tout n’est qu’« un étalage, une profusion, un écrasement de richesses » (chapitre 1). Nouveau riche à l’image de ces bourgeois qui prennent le pouvoir sous le Second Empire, Saccard étale sa fortune sans retenue et entend

curée de Zola I. Le lieu L’hôtel Saccard Le monde d’Aristide Saccard est celui de l’hôtel du Parc Monceau dont la couleur prédominante est l’or. Son « perron royal », ses « glands d’or » et ses lanternes exhibent l’éclat ostentatoire de la richesse de Saccard. A Monceau, tout n’est qu’« un étalage, une profusion, un écrasement de richesses » (chapitre 1). Nouveau riche à l’image de ces bourgeois qui prennent le pouvoir sous le Second Empire, Saccard étale sa fortune sans retenue et entend

très typés qui vont présenter les acteurs du monde de la bourse. Dès les premières lignes, le personnage principal — Saccard escroc et spéculateur — se trouve dans une salle de restaurant fort encombrée, c'est l'occasion de présenter un certain nombre personnages qui interviendront dans la suite du roman. Par contre, on notera qu'à ce niveau du texte on ne dispose pas de description du "héros" lui-même : il se décrit donc en tout premier lieu par ceux qu'il fréquente — ou bien essaie de fréquenter

cours au moment de l’écriture du roman : subvention du projet par l’utilisation massive des économies des petits épargnants et achat de journaux pour diffuser des informations rassurantes mais pas forcément exactes. Cette stratégie sera reprise par Saccard, le personnage principal du roman. Il s’est également beaucoup inspiré du krach de l’Union générale survenu en janvier 1882. Le polytechnicien Bontoux avait repris en 1878 cette banque qui avait connu des difficultés. Il avait réussit à faire grimper

L’Argent évoque la spéculation financière à une période où Paris a la première Bourse au monde, à égalité avec Londres. Zola en livre une description haute en couleurs et en personnages, complétée par la solide documentation qu'il avait amassée [1] , en plaçant l'action vingt-cinq ans plus tôt, en mars 1864. Comme dans Germinal, il préfère ce décalage dans le temps qui lui permet une relation plus solide de l'intrigue. Le romancier se livre par endroits à des considérations philosophiques sur

La curée Le deuxième tome des Rougon-Macquart est, du moins pour le plaisir de la lecture, le démarrage de la série après un premier opus, La Fortune des Rougon supportant la lourdeur de toutes les présentations familiales et des descriptions naturalistes allant avec. Quoique contenant aussi une intrigue propre, ce démarrage ne peut prétendre rivaliser avec les meilleurs opus de Zola, dont le grand talent est de se saisir d'un sujet donné et de l'exploiter à fond à l'aide de personnages issus de

Chapitre I (pp.1-60)Ce chapitre pose le cadre général de l'action : Aristide Saccard est ruiné, il n'ose même plus entrer dans l'enceinte de la bourse, mais il espère que son frère, le ministre Eugène Rougon, viendra à son secours pour le sortir de sa mauvaise passe et l'aider à se relever. Mais Eugène Rougon lui propose une fonction administrative dans une colonie française d'outre-mer, ce qui n'est pas du goût de Saccard qui voit là une tentation de le déporter et de l'éloigner de Paris. Trop ambitieux

Les thèmes et les enjeux Le lieu L’hôtel Saccard Le monde d’Aristide Saccard est celui de l’hôtel du Parc Monceau dont la couleur prédominante est l’or. Son « perron royal », ses « glands d’or » et ses lanternes exhibent l’éclat ostentatoire de la richesse de Saccard. A Monceau, tout n’est qu’« un étalage, une profusion, un écrasement de richesses » (chapitre 1). Nouveau riche à l’image de ces bourgeois qui prennent le pouvoir sous le Second Empire, Saccard étale sa fortune sans retenue et entend

égouts, les transports, marchés, casernes. Cependant, il supprima plus qu'il ne créa d'espaces verts. Il supprima tous les théâtres populaires du Boulevard, seuls loisirs desfamilles pauvres. L'époque est, dès lors, à exhiber sa fortune dans des hôtels particuliers somptueux. Les agrandissements de rue ne furent pas toujours efficaces. En effet, on observera, plus tard, que les barricades de la Commune se sont élevées presque aux mêmes endroits que celles de juin 1848. D'un autre côté, on observe

interdit de publications dans la presse parisienne. L’Assommoir fut d’abord un feuilleton et puis sera finalement publié et remporter un succès : c’est l’histoire d’une blanchisseuse, Gervaise. Cela fera la fortune d’Emile Zola, qui se plait dans des descriptions sociales : on l’insultera de pornographe. En 1880, il publie l’Argent dans la littérature. Il s’explique sur le rapport à l’argent de l’écrivain. Zola refuse l’idée que l’Argent rabaisse l’écrivain. Il dit « L’Argent a émancipé l’écrivain, a inventé