Description Physique Et Moral De Bardamu Voyage Au Bout De La Nuit

personnnage héroique. Il mène une vie tout à fait ordinaire et n'accomplit aucun exploit. Au contraire, il commet un meurtre, ce qui est loin d'etre un acte héroique. Peu d'informations sont donnés sur le personnage, il n'a même pas de prenom, aucune description physique n'est faite de lui et on connait très peu son passé. C'est un personnage qui apparaît comme victime de la société, il n'est déterminé que par le hasar et la pulsion du moment. C'est un homme qui reste relativement neutre vis-à-vis du monde

personnnage héroique. Il mène une vie tout à fait ordinaire et n'accomplit aucun exploit. Au contraire, il commet un meurtre, ce qui est loin d'etre un acte héroique. Peu d'informations sont donnés sur le personnage, il n'a même pas de prenom, aucune description physique n'est faite de lui et on connait très peu son passé. C'est un personnage qui apparaît comme victime de la société, il n'est déterminé que par le hasar et la pulsion du moment. C'est un homme qui reste relativement neutre vis-à-vis du monde

l’auteur ? héros vertueux La littérature a-t-elle un impératif moral ? I. Thèse : le personnage de roman doit être un modèle Le personnage doit représenter un idéal. La littérature veut instruire/édifier. Cf la devise Placere et docere de l’Antiquité. A- Le héros moral: Le roman doit présenter comme personnages des êtres exceptionnels, dont le comportement témoigne de cette volonté morale. On peut envisager qu’une telle attitude soit parfaitement naturelle

et ses frères sont dévolus aux travaux manuels, aux travaux physiques. Ce personnage ne participe pas aux fêtes de village, il est solitaire. Dans une scène du début du roman, il se voit ainsi rudoyé par son père parce qu’il est occupé à un livre. Ce personnage est incompris. Il va tenter de gravir les échelons de la société parce qu’il se sent injustement placé au bas de celle-ci. Le personnage de Bardamu dans Voyage au bout de la nuit est lui aussi dans une remise en cause des valeurs de la société

les représentations a l'identique de leurs auteurs : ils portent les mêmes valeurs et idéaux qu'eux, et ont en commun parfois jusqu'à la ressemblance physique. Ils sont donc à la fois un moyen pour l'auteur de s'exprimer mais aussi de se montrer, de célébrer leur image. Bardamu est l'alter ego de Louis-Ferdinand Céline dans Voyage au Bout de la Nuit : Tous deux ont connu la guerre des tranchées, ont le même prénom Ferdinand et un fort tempérament (leur seule différence est leur opinion politique opposée)

générale, le personnage est un être de papier, un agent de l’action crée par le romancier auquel celui-ci a essayé de donner de l’épaisseur, une vraisemblance. Comment le personnage se manifeste dans le texte ? Par son nom, le portrait physique, le portrait moral et psychologique. Il va aussi se construire grâce à son discours. Statut ontologique du personnage. La fiction est opposée au réel. Le monde réel est infini alors que la fiction non, le nombre d’élément qui est donné dans la fiction

personnelle pour mettre en relation la sensibilité de l’auteur et du lecteur III. Les sensations sont le point de départ de l’acte créateur littéraire «Tout commence par la sensation. Aucune idée innée, aucun sens intime, aucune conscience morale ne préexistent dans l’être à l'assaut des choses». Ainsi Jean-Pierre Richard définit dans Littérature et Sensation l’importance de la sensation dans notre perception du monde et de la littérature. Rousseau, écrivain et philosophe du XVIIIe siècle

chronologique d'événements — comme dans la chronique ou le journal intime, qui ne sont pas des récits, au sens strict : au-delà de la succession temporelle, il existe une logique de l'histoire, une "causalité narrative". 6. Tout récit comporte une sorte de "morale", que celle-ci soit exprimée ou sous-entendue. On ne raconte pas "pour rien": même les faits divers de journaux ont certaines finalités — inciter à la prudence, exploiter le goût des lecteurs pour le sensationnel, amuser... Fonction symbolique donc

chronologique d'événements — comme dans la chronique ou le journal intime, qui ne sont pas des récits, au sens strict : au-delà de la succession temporelle, il existe une logique de l'histoire, une "causalité narrative". 6. Tout récit comporte une sorte de "morale", que celle-ci soit exprimée ou sous-entendue. On ne raconte pas "pour rien": même les faits divers de journaux ont certaines finalités — inciter à la prudence, exploiter le goût des lecteurs pour le sensationnel, amuser... Fonction symbolique donc

personnage sans qualités exceptionnelles. On pourra alors se demander si le caractère du héros est en lien avec la conception du monde proposée par le roman. Dans la première partie, on parlera d'un héros admirable par ses exploits ou par sa beauté physique et spirituelle ce qui impliquera une vision optimiste du monde. Dans la deuxième partie, on envisagera un anti-héros ou un héros médiocre par sa banalité ou sa méchanceté qui offre une vision pessimiste du monde. Enfin, dans la troisième partie on