Description Ville D Oran

tragique et ambiguë Tableau chronologique : Parties PARTIE I : Phase d'approche de la maladie (8 chapitres) Repères chronologiques - 16 avril : découverte d'un rat mort par Rieux, sur son palier - dépêche officielle de fermeture des portes de la ville - « vers la fin de ce mois » (mai) : premier prêche de Paneloux - engagement de Rambert dans la résistance Narrateur Narrateur anonyme PARTIE II : Phase de développement de la maladie (9 chapitres) - emploi de la première personne du pluriel

rejoindre à son tour les formations sanitaires : tous les personnages principaux sont donc désormais engagés contre la peste. Au début de la troisième partie, le narrateur fait une pause dans sa chronique pour décrire la situation de l’épidémie dans la ville. LECTURE TEXTE: Ainsi, à longueur de semaine, les prisonniers de la peste se débattirent comme ils le purent. Et quelques-uns d'entre eux, comme Rambert, arrivaient même à imaginer, on le voit, qu'ils agissaient encore en hommes libres, qu'ils

Ou plutôt, ce qui n’est pas tout à fait pareil, il ne pourra se souvenir que de son absence. Albert a un frère aîné, Lucien, âgé de trois ans à peine. Catherine, leur mère, se retrouvant seule avec deux enfants en bas âge, quitte les vignes pour la ville et s’installe chez sa propre mère, à Alger. La vie est rude. Les deux enfants, leur mère, leur grand-mère, mais aussi leur oncle maternel, Etienne, à moitié muet, se partagent, rue de Lyon, dans le quartier populaire de Belcourt, un trois-pièces

trois roman dont La peste, l’étranger et la Chute. Il a vécu longtemps en Algérie et il en est très imprégné. La peste : C’est un texte écrit à la 1ere personne mais le narrateur reste anonyme jusqu’à la fin. Il s’agit d’une chronique d’une peste à Oran en Algérie. Camus essaye de donner à ce récit un effet très réaliste. La peste est datée de 194. Ce qui est un élément de fiction car cette peste n’a jamais existée. Extrait 1 : Il s’agit en partie un dialogue entre deux médecins (Rieux et castel)

(1942), dans lesquels il expose sa philosophie de l'absurde. Au début de l’année 1941, il s’était installé à Oran où il avait enseigné dans des écoles privées. Il fera une rechute de tuberculose et partira durant l’été 1942 se soigner en France. S’il parle souvent d’ennui à propos de la ville, il écrira aussi dans ses Carnets, en avril 1941, les plus belles pages, sans doute, sur Oran ou il décrit les paysages de la plage ou même le ciel. En 1943 Albert Camus fonde avec Pascal Pia le journal

- Edition : Gallimard - Collection : folio plus classiques - Année de publication : 1947 - Nombre de pages : 310 Le résumé de livre Dans l’introduction Camus nous décrit le lieu d’action, Oran. Oran est une ville commune dans laquelle ne vivent que des personnes quotidiennes qui ne donnent aucun sens à leur vie. Tout à coup le médecin Rieux découvre des rats morts. Le nombre des cadavres augmente rapidement. D’un jour à l’autre les rats qui meurent

La Peste : composition. Première partie  (11 à 62) : Chapitre Temps Faits 1 (11) Du 16 au 30 avril Description d’Oran et de ses habitants. Le docteur Rieux et le concierge découvrent le premier rat mort. 2 (15) La femme de Rieux est malade, part à la montage se soigner, et sa mère (Mme Rieux) vient garder la maison de son fils à Oran. Rieux rencontre Rambert, qui vient en consultation. Il rencontre également Jean Tarrou, le journaliste. De plus en plus de rats sont découverts

Camus, In A la lettre (1999) Albert Camus (1913-1960) est un écrivain, journaliste, essayiste et romancier, philosophe de l'absurde originaire d'Algérie française. Il naît dans le petit village de Mondovi, près d'Annaba à la frontière tunisienne (ville alors appelée Bône) d'un père pied-noir et d'une mère d'origine espagnole. Il est issu d'un milieu extrêmement modeste : son père est ouvrier dans un domaine viticole et meurt en France lors de la bataille de la Marne en 1914 après avoir été mobilisé

Camus, Lecture analytique, le dénouement de La Peste La peste Le dénouement Albert CAMUSI Symbole de l’armistice§ Description libération de la ville donc allégorie armistice§ Champ lexical fête avec « fusées » l.1, « réjouissance » l .2 doublé d’une inversion du sujet, « allégresse » l.17 et 18, « foule en joie » l.18§ Champ lexical vue et ouïe avec « longue et sourde exclamation » l.2, « cris » l.5, « gerbes multicolores » l.6, « cris d’allégresse » l.17§ « allégresse » récurrent comme pour compenser

revendiquer la peine de mort : le côté exemplaire de l’acte ne tient pas, l’homme n’est pas logique, moyen rapide et « humain » de tuer les condamnés (p. 132). Pathétique de la description des procédures (on vient vous chercher la nuit, on vous coupe les cheveux), enchaînement rapide qui fait frémir. Progresse dans les descriptions, pousse jusque dans son dernier retranchement la logique de ceux qui vantent la peine de mort (l’état du corps après l’exécution). 146-149 : montre que la peine de mort n’a