Design Identité Homogénéisation

Emmanuel MOUNIER que « la plupart des Noirs ont honte d'être noirs, une honte secrète qu'ils ne font pas la leur, mais qui hante jusqu'à leur fierté. »2(*) Ce constat est pertinent à plus d'un titre ; car nombre d'Africains fuient aujourd'hui leur identité, leur réalité culturelle. Nombre sont ceux qui ne savent rien de leur culture, de leur langue maternelle. La société africaine d'aujourd'hui nous fabrique des déracinés, des aliénés et acculturés de toute sorte autant que nous les voudrions. Dans

LANGUE, IDENTITE ET CULTURE NATIONALE AU MAGHREB GILBERT GRANDGUILLAUME REFERENCE : PEUPLES MEDITERRANEENS, N°9, OCT-DEC 1979, P.3-28 La structuration d’une culture nationale est sans doute l’un des problèmes essentiels auxquels est confrontée la société maghrébine actuelle. Si cette question met en jeu des intérêts politiques importants concernant en particulier la légitimation du pouvoir de l’Etat, elle n’en repose pas moins sur des mécanismes spécifiques qui touchent à des ressorts

décline dans la pratique, les actions et la mobilisation. C’est une lutte collective née d’une prise de conscience individuelle et aussi une l’appellation qui a vu le jour au 19e siècle, porté depuis plusieurs chapeaux, mené différents combats et désigné une panoplie hétéroclite de femmes. C’est qu’avant tout le féminisme est pluriel, il est donc plus juste de parler des féminismes. Il existe une pluralité de courants théoriques qui partagent, malgré leurs divisions et points de vue parfois diamétralement

contraintes des territoires • Dr Mamadou Bouna TIMERA, Maîtreassistant 12 Synthèse de la séance précédente LA GEOGRAPHIE EXISTENCE  SAVOIR FORMEL  DISCIPLINE ET SCIENCE  Déclinaisons  Expériences, pratiques,  représentations, attitudes,  identités Méthode, restitution,  érudition, sélection,  culture    Enseignement,   compréhension , Explication,  Démonstration, Prévision  Indicateurs QUESTIONS EXISTENTIELS  OU ? QU’Y A­ T­IL AILLEURS SUPPORTS  (livres,  cartes,  etc) SUPPORTS, PARADIGMES et 

urbano-portuaire 2.3 Le phénomène de Waterfront P.8 3. MARSEILLE UN CAS D'ÉTUDE 3.1 Les besoin d'une régénération 3.2 Le projet Euromediterranée, instrument du redécollage marseillais ? 3.3 Trois pôles d’intérêt P.11 4. MODERNITÉ ET IDENTITÉ 4.1 Une identité fabriquée ? 4.1 Le patrimoine portuaire de Marseille P.17 CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE ANNEXES P.21 P.23 P.25 2 INTRODUCTION La notion ''ville-port '' a pendant de nombreux siècle constitué une entité dont leurs activités étaient

société produit des biens matériels échangés sur des marchés. Cette production fait parti de l’étude économique. La société produit aussi des biens symboliques: des outils de communication, des croyances, des symboles (une mémoire), des arts, une identité sociale. L’ensemble de ces biens culturels produit par la famille font l’objet d’analyse sociologique et anthropologique. Une société produit aussi de l’ordre, de la contrainte, de l’obéissance. L'obéissance a la règle de droit, aux institutions

XIXème siècle en Angleterre. Le sport tel qu’il est définit est un système institutionnalisé de pratiques physiques, compétitives, codifiées, réglées conventionnellement, dont l’objectif avoué est sur la base d’une comparaison des performances, de désigner le meilleur concurrent (le champion) ou d’enregistrer la meilleure performance. Le sport est très souvent présenté par ses laudateurs et ses défenseurs comme un fait universel, un invariant culturel. Phénomène transhistorique, il serait également

des nationalités des entreprises impliquées. A l’inverse le centre et le Sud-Est du pays diffusent peu ce produit (et pour cause c’est le désert et les chameaux téléphonent assez peu…). 3°/ Dans quelle mesure l’iPhone illustre-t-il une certaine homogénéisation des modes de consommation ? L'iPhone fait partie de ces produits qui peuvent facilement se diffuser dans des pays très différents, à la fois parce que l'utilisation est intuitive et surtout parce que ce genre de produit ne rencontre que peu de

contemporraine des ecrans.But de l'article : interrogation des traces d'énonciation produite au contact du clip faite par la sociologie des oeuvres de jean pierre esquenazi et la sémio-pragmatique de Roger Odin. -> dispersion des écrans : homogénéisation et normalisation du poste du spectateur avec 3 ensembles de médiation : objet-oeuvre/ avec le monde, avec le “je” clip musical= symbole du phénomene de dispersionHistoire du clip : incarné dans des dispositifs se développant par la technologie

prérogatives des consommateurs. Les histoires créées ne sont donc pas en accord avec les valeurs, non pas du public en général, mais des communautés, qui sont sous-représentées. « Le référent culturel cède la place à une uniformisation de masse, à une homogénéisation qui tend à effacer l’identité de l’individu », écrit Ariane Kerbrat, psychanalyste, dans Psychanalyse magazine. Le storytelling tend à ce que le public s’identifie aux marques. Les sociétés contemporaines sont en constamment en changement