Desirer Souffrance

liberté conduisent à l'insubordination et au mépris de l'autorité ; l'homme libre et riche supporte impatiemment un gouvernement injuste et despo¬tique. L'indigence et la misère dégradent les courages, abrutissent les âmes, les façon¬nent à la souffrance et à l'esclavage, et les compriment au point de leur ôter l'énergie nécessaire pour secouer le joug. Si je me levais encore, et si je parlais ainsi à ces puissants seigneurs : Vos conseils sont infâmes, honteux pour le roi, funestes pour le peuple

crainte de vous importuner, ou de perdre quelque chose de votre estime, par des manières qui ne convenaient pas à un mari. Enfin je méritais votre coeur ; encore une fois, je meurs sans regret, puisque je n'ai pu l'avoir, et que je ne puis plus le désirer. Adieu, Madame, vous regretterez quelque jour un homme qui vous aimait d'une passion véritable et légitime. Vous sentirez le chagrin que trouvent les personnes raisonnables dans ces engagements, et vous connaîtrez la différence d'être aimée comme

comprendre leurs désirs. Les femmes se sentent comprises, elles aiment qu’on leur porte attention. Cela est un avantage pour Duroy, il renvoie une image d’amant parfait, avec qui on peut vivre une relation heureuse et sans souffrance ou conséquence. Il sait comment se faire désirer par les femmes. Ligne 60, Duroy sait convaincre une femme de sa valeur en lui faisant croire qu’il n’y a rien de plus important qu’elle. Ce qui est plaisant pour une femme. La réticence des femmes face à l’adultère

chère main. Leur haine, dès longtemps contre moi déclarée, M’avait à mon malheur dès longtemps préparée. Je n’aurais pas, Seigneur, reçu ce coup cruel Dans le temps que j’espère un bonheur immortel, Quand votre heureux amour peut tout ce qu’il désire, Lorsque Rome se tait, quand votre père expire, Lorsque tout l’univers fléchit à vos genoux, Enfin quand je n’ai plus à redouter que vous. Titus Et c’est moi seul aussi qui pouvais me détruire. Je pouvais vivre alors et me laisser séduire

sa maladie avec poésie, avec de nombreuses métaphores et accentuations. Elle parle également de son quotidien morose où elle ne peut pas parler d'avenir. Soudainement, elle semble heureuse car les douleurs s'estompent, se sent femme et retrouve le désir avec la rencontre d'un homme. Et la revoilà la rechute. Elle reparle de ses douleurs, ses traitements, son corps. Elle peut enfin rentrer chez elle et parle alors d'une reconstruction : faire du sport, grossir, faire comme si tout allait bien. Mais

selon les circonstances de la perte, l’attachement à l’objet perdu et la structure psychique de l’endeuillé. Dépression de l’humeur, désintérêt, douleur intérieure, absence d’élan et de désir, apathie, aboulie et repli sur soi, l’idée et même le désir de mourir n’en sont pas absents. Dans le deuil normal, la souffrance intérieure s’exprime dans le registre du sentiment d’abandon, de solitude et de manque. Tandis que dans la mélancolie, elle se situe dans le domaine de la culpabilité et de l’indignité

optimiser les chances de vivre le plus longtemps possible, mais est-ce qu'on est sûr que ça nous rendra heureux ? Le moyen que l'on choisit pour être heureux est trop général ! Ses conséquences sont donc en nombre infini et du coup, on s'expose à la souffrance alors qu'on appliquait un moyen d'être heureux ! A l'inverse, si j'applique une technique, bien sûr, il y a des effets pervers, des effets dommageables qui ne sont pas les effets recherchés par la technique, certes, mais ils sont en nombre limité

qui réfléchit sur les comportements humains. Dans cet essai, il réfléchit de façon argumentative sur la notion de bonheur et affirme que celui-ci n’est pas quelque chose de donné mais qu’il faut le conquérir, et qu’il est donc lié à une forme de souffrance et de peine. Plan: I. Un texte qui utilise la stratégie et les procédés de l’argumentation 1) L’énonciation 2) La structure de l’argumentation II. Un texte qui défend une idée du bonheur, une morale de vie 1) Une idée du bonheur

BOUDDHISME Bouddha (Siddhartha) était un prince du Népal, s’est marié, puis est parti afin de quitter la souffrance qui l’habitait, il a trouvé l’illumination au bout de plusieurs années devant un figuier. Le bouddhisme est fondé sur trois piliers (les trois joyaux, les trois refuges, puisqu’on y prend refuge) : * Le Bouddha : celui qui a atteint l’illumination parfaite, le Nirvana * La Sangha : représente l’ensemble de la communauté des adeptes prenant refuge dans le bouddhisme.

l’acte de donner la mort, modifiant ainsi la question de l’apaisement de mourir. L'euthanasie est une pratique qui consiste à provoquer la mort d'un patient pour des raisons médicales, notamment l'incurabilité d'une pathologie associée à une souffrance ou des douleurs insupportables ou encore à un état végétatif (exemple : Vincent Lambert). Mais il existe différents types d'euthanasie : L' Euthanasie active consiste à faire mourir quelqu'un par tout moyen alors que la personne n'a pas donné