Dessin Technique

Recueil de documents Niveau 3ème / 1ère LES DESSINS COMME FORME DE RESISTANCE DANS LES CAMPS Doc 1. Portraits réalisés à Ravensbrück par France Audoul Née à Lyon dans une famille d’artistes, France Audoul passe 3 ans à l’Ecole des Beaux-Arts. Arrêtée comme résistante dans la région de Toulouse, elle est déportée à Ravensbrück en 1943. Elle réussit à rapporter 32 croquis exécutés au camp avec quelques bouts de papier et de minuscules bouts de crayons volés aux SS. Elle participe en 1946

Un homme debout, les mains dans les poches, le regard vide et lointain forme l'élément central de l'œuvre. Avis personnel : Fedy Turki : Je trouve que ce tableau décrit le mieux la peine car les éléments représentés expriment bien ceci. Les dessins ou tableaux concernant les camps et la déportation ont souvent été traduits par des couleurs grises et tristes, qui exprime, la peur, la violence, la révolte des gens et ainsi leurs souffrances. Karim Bornaz : Selon moi, cette peinture représente

Boris Vian, et Claude J. Rameil qui ont fait des recherches très poussées, ne donnent pas les mêmes dates que les proches de l'auteur sur l'année de publication de certaines œuvres, notamment les Cent sonnets. Il est également l'auteur de peintures, dessins, et de croquis humoristiques. Pendant quinze ans, il a aussi milité en faveur du jazz, qu'il a commencé à pratiquer dès 1937 au Hot Club de France[->24]. Ses chroniques, parues dans des journaux comme Combat[->25], Jazz-hot, Arts, ont été rassemblées

l'époque, d'une certaine richesse. Certains objets sont aussi un signe de richesse: Costume de muscadin portait par le mari de Madame Aubain sur son portrait dans la chambre de celle-ci; Sa chambre était tapie d'un papier à fleurs, elle possédait des dessins à la plume et des gravures d'Audran (famille de graveur français connue, ceux qui implique une certaine somme d'argent). b) Evanoui: Le narrateur nous indique que le salon est toujours fermé et il gardait des meubles recouverts ceux qui nous

pommes, sujet inspiré de Cézanne. Il dessinait pour communiquer, pour dominer. Pendant sa jeunesse, il aimait dessiner et peindre, puis il a douté et il s’est interrogé. Il va donc abandonner les modèles qui existent et essayer de traduire à la fois la réalité et l'émotion. Giacometti redécouvre sans cesse la forme et le volume des objets les plus familiers, il multiplie les dessins, tente de reproduire une réalité qui change en fonction de notre regard. Il s'entraîne pendant des années pour clarifier

Voltaire, en 1735, puis il va dessiner d’autres grands philosophes et personnalité d’époque. Il dessine même Louis XV, le dauphin. Suite à cette peinture, il sera vite nommé le prince des pastellistes et un des favoris de la cour. En 1742, Il a 38 ans lorsqu’il dessine L’Abbé Hubert lisant. En 1750, il est nommé conseiller à l’académie royale de la sculpture et peinture. Il rentre dans sa ville natale en 1784 et y fonde une école de peinture. Il mourra en 1788. Ses dessins sont tous au pastel, exclusivement

nombreuses c’est-à-dire du gris-noir avec du jaune barré et blanc. Elle représente une scène de violence, de douleur, de mort et d’impuissance. Les flammes causées par les bombes ne sont pas encore présente sur les toits des maisons et les premiers dessins semblent évoquer une simple querelle entre des chevaux et des taureaux qu’une femme, tendant au bout de son bras une lampe de pétrole pour les chassés de la place par les par ses cris. Le choix d’un effet global de noir et blanc évoque les photos

; ce que le stage a apporté personnellement. Présentation du rapport : Le rapport sera : – réalisé avec un logiciel de traitement de texte, – constitué en tout de 7 à 11 pages numérotées, – relié. Les parties I, III et IV peuvent comporter des dessins ou des photos. Attention ! Des points pourront être enlevés dans les cas suivants : pages non numérotées, document non relié, nombreuses fautes d'orthographe, rapport rendu en retard. Le rapport sera remis au professeur principal au plus tard le 2

des études de graphisme commercial à Pittsburgh puis continue à l'école des Arts visuels de New York. Il s'essaie à autant de disciplines que le collage, la peinture, les installations, la vidéo, etc. mais son mode d'expression privilégié demeure le dessin. À New York, et plus particulièrement dans l'East Village, il découvre la foisonnante culture alternative des années 1980 qui, hors des galeries et des musées, développe son expression sur de nouveaux territoires : rues, métros, entrepôts, etc. Il

français croque inlassablement la Grosse Pomme, fasciné par sa frénésie et ses buildings bariolés. Il était donc temps de réunir en un seul volume l'intégralité des 101 couvertures qu'il réalisa pour le prestigieux New Yorker, complétées par de nombreux dessins inédits. Surprise : on découvre dans ce magnifique ouvrage une cité loin des clichés. Car le New York de Sempé est peuplé de jazzmen, de danseuses, de cyclistes. Et s'il moque parfois les businessmen affairés, il leur préfère généralement les sous-bois