Destruction Créatrice Chomage

Cahuc, Zylberberg, Le chômage, fatalité ou nécessité ? Chapitre 1 : 10 000 emplois détruits par jour Les auteurs débutent leur livre par la mise en évidence d’un processus de « destruction créatrice » (« à l’échelle d’une nation, chaque année environ 15% des emplois disparaissent et chaque année environ 15% d’emplois nouveaux apparaissent ») qui est selon eux à la source de la croissance économique et donc indispensable. Ce processus a lieu de manière simultanée dans chaque secteur : il ne

Glorieuses à nos jours dans les pays développés. Il est admis que le progrès technique est souvent destructeur d'emplois car il remplace l'homme par des machines automatisées. Cependant, selon Schumpeter le progrès technique serait plutôt une « destruction créatrice » d'emplois. De plus, il modifierait la répartition et les qualifications des travailleurs. Alors qu'entraîne réellement le progrès technique sur l'emploi ? Ainsi, l'analyse des modifications qualitatives de l'emploi dues au progrès technique

l’entreprise, il s’agit dès lors d’augmenter les profits avec possibilité de licenciement pour rassurer les actionnaires. On parle de capitalisme actionnarial Pour Fitoussi un taux d’intérêt élevé conduit à un ralentissement de l’investissement et au chômage 2) L’influence de la demande anticipée  -anticipation : prévisions portant sur les évolutions des variables économiques, elles sont au cœur des politiques budgétaires des Etats -anticipation extrapolative : c’est le cas où le niveau anticipé

l'économiste autrichien J. Schumpeter, serait liée, selon cet auteur, au processus de « destruction créatrice » engendré par le rythme discontinu de l'innovation (grappes d'innovations). Celle-ci, avant de produire ses effets bénéfiques, disqualifie les produits et les modes de production antérieurs, engendrant des périodes de ralentissement économique, voire de dépression, génératrices de faillites et de chômage, avant qu'un nouveau cycle de croissance ne s'amorce. Notions clés Produit intérieur

- effet de déversement .thèse de Schumpeter : destruction créatrice : processus par lequel d’un côté des produits, des activités, des modes de fonctionnement sont détruits car anciens et devenus non rentables et de l’autre création de nouveauté pour les remplacer. => pas de chômage en pratique .mais thèse de Fourastié : le PT-> chômage temporaire + besoin de reconversion (nouvelles formations)

d'intérêt viales tx directeurs pour jouer sur la Q de monnaie en circulation (théorie d'Irvin Fischer MV = PT) → restructurat° d'une entreprise = réorganisation pour accroitre la productivité ou compétitivité → selon les périodes, si le tx de chômage < tx de croissance annuel de la FBCF alors les actionnaires risques de déserter les entreprises, faire baisser le court de l'action et faire devenir à l'entreprise une proie facile pour les OPA le cout relatif des facteurs de P°

Crise économique et délocalisations Les délocalisations sont souvent un sujet houleux et fortement médiatisé qui est perçu très négativement par la population car porteur d'une menace sur l'emploi et synonyme de chômage. Dans le contexte actuel de crise, les délocalisations sont d'autant plus un facteur d'inquiétudes que l'économie et l'emploi se retrouvent déjà fragilisés. Toutefois, si les pays en développement (PED), pays dotés d'une main d'oeuvre nombreuse et à bas salaire, sont souvent

l'économiste autrichien J. Schumpeter, serait liée, selon cet auteur, au processus de « destruction créatrice » engendré par le rythme discontinu de l'innovation (grappes d'innovations). Celle-ci, avant de produire ses effets bénéfiques, disqualifie les produits et les modes de production antérieurs, engendrant des périodes de ralentissement économique, voire de dépression, génératrices de faillites et de chômage, avant qu'un nouveau cycle de croissance ne s'amorce. Notions clés Produit intérieur

négative de l'emploi). En d’autres termes, au niveau macroéconomique, le niveau de l’emploi dépend de la croissance économique et de la productivité globale des facteurs. Globalement, on constate qu'une forte croissance de la productivité peut être créatrice d'emplois, mais dans la mesure où celle –ci reste inférieure à la croissance du PIB (1951-1973). A l’inverse, entre 1980 et 1990, la croissance annuelle du PIB est inférieure à la croissance annuelle de la productivité, on observe donc une diminution

II° La croissance comme remède au chômage. Rappel: selon le bureau international du travail, un chômeur est une personne sans emploi, à la recherche d'un emploi et disponible pour occuper une emploi dans un délai raisonnable. Cette définition standardisée du chômage permet d'effectuer des comparaisons internationales. Ce n'est d'ailleurs pas tant le nombre de chômeurs qui retient l'attention que la proportion de chômeurs dans la population active (taux de chômage = nombre de chômeurs/population