Destruction Créatrice Chomage

Aujourd’hui encore, ces craintes sont ravivées par l’extension des nouvelles technologies. Pour un bon nombre de nos contemporains, c’est d’ailleurs dans le développement sans cesse croissant du Progrès Technique qu’il faut chercher la cause du chômage actuel. Le Progrès Technique entraîne des bouleversements profonds dans l’organisation des systèmes productifs et jusque dans nos vies quotidiennes. L’usine automobile du Troisième Millénaire n’a guère à voir avec celle du début du siècle

permet de rétablir l’équilibre tant le marché est instable comme peuvent le montrer les crises successives qu’il connaît, ce à quoi les libéraux rétorquent que le marché s’autorégule, en prenant l’exemple de Schumpeter et de son concept de « destruction-créatrice », on voit qu’une crise permet en réalité « d’éliminer » les agents les moins performantes pour ne garder que les meilleurs. De plus, l’Etat intervient constamment lors des crises, ne laissant jamais le marché essayer de s’autoréguler et ainsi

Introduction : Accroche : « Une croissance plus riche en emploi, la réussite française » écrivait F.Lerais en 2001(doc 1). Le paradoxe est en effet étonnant. Longtemps considéré comme adepte de la croissance intensive (au profit d’une préférence pour le chômage), la France aurait privilégié une croissance plus extensive (reposant sur des créations d’emplois nombreuses) au cours des années 1990. Les Etats-Unis auraient suivi l’évolution contraire et grâce à des investissements massifs dans les technologies

cette chute conduit à une augmentation de stocks des entreprises. >> Entreprises vont freiner la production & diminution des investissements. Mais comme ils diminuent, la demande de travail baisse. Pas forcément du chômage, on peut faire diminuer le temps de travail. Mais à terme, le chômage se développe conduisant de nouveau à une baisse de la consommation et de la production. A ce moment là, tous les secteurs économiques sont touchés, demande de matières 1ères chutent, profits s’effondrent… Ce sont

croissance potentielle est inférieure à la croissance effective, cela signifie qu’il y a sousutilisation des ressources productives : les facteurs de production ne sont pas utilisés de façon efficiente. Cela se traduit notamment par un niveau du chômage d’autant plus fort que l’écart de production (négatif dans ce cas) est plus fort. Cette situation est souvent liée à une demande insuffisante adressée à l’économie. A l’inverse, lorsque la croissance effective est supérieure à la croissance potentielle

agent économique crée un effet externe lorsqu’il procure à autrui par son activité une utilité, un avantage gratuit ou une désutilité, un dommage sans compensation monétaire. 40. SMIC Salaire minimum interprofessionnel de croissance. 41. Taux de chômage Pourcentage de chômeurs dans la population active (actifs occupés + chômeurs). 42. Compétitivité-prix Facteurs permettant à l’entreprise de gagner des parts de marché qui reposent sur la diminution du prix des biens ou des services. 43. Compétitivité-hors

tertiarisation de l’économie ainsi que de la formation basique et continue. A- Le marché du Travail : 1 – Chômage : Le chômeur est une personne sans emploi est qui est à la recherche d’un travail. Le chômage est: conjoncturel (Keynes), structurel et frictionnel (classique), technique, saisonnier, technologique, partiel. Le chômage est dû à : accroissement de la pop. Active, affaiblissement de la croissance, baisse de la demande, concurrence (innovation, délocalisation

du PIB s’apprécie en volume ( en € cons tants , en réel ) autrement di t en éliminant la hausse des prix . • La comparaison des PIB se fai t à taux de change PPA (parité de pouvoir d’achat) 2. Les limi tes du PIB • Il néglige des activi tés créatrices de richesse • Et les external ités négatives • Le PIB par habitant masque les inégali tés 3. Les outils s tatistiques acquis en seconde et en première. • • Coefficient multiplicateur Cm = G1/ G 0 et % de réparti tion p = (a/A) X100 • Les Indices

 à plus long terme, transformer profondément l’économie  et la société. Comme des vagues puissantes, ces innovations révolutionnaires impulsent des fluctuations macroéconomiques de  croissance sur 20 ou 30 ans qui bouleversent l’économie par leurs destructions créatrices. Puis ces vagues d’expansion ralentissent  progressivement, l’économie se replie avant qu’une nouvelle innovation majeure apparaisse.  A court terme ou à long terme, au plan micro ou macroéconomique, l’innovation est toujours ce facteur saccadé et « irrégulier

l’une que l’autre et il convient de les encourager. Une souplesse contractuelle suffisante doit s’accompagner de transitions sûres entre les emplois. La mobilité ascensionnelle doit être facilitée, de même que la mobilité entre les situations de chômage ou d’inactivité et de travail. Des lieux de travail de qualité et productifs, une bonne organisation du travail et l’amélioration constante des compétences sont également essentiels. Les systèmes de 1 protection sociale devraient fournir des mesures