Destruction Créatrice

(1929 ou 2008), venant interrompre le trend (« tendance ») de croissance. Cette configuration cyclique de l'activité économique, étudiée notamment par l'économiste autrichien J. Schumpeter, serait liée, selon cet auteur, au processus de « destruction créatrice » engendré par le rythme discontinu de l'innovation (grappes d'innovations). Celle-ci, avant de produire ses effets bénéfiques, disqualifie les produits et les modes de production antérieurs, engendrant des périodes de ralentissement économique

l’entrepreneuriat C’est grâce à l’économiste Autrichien, Joseph Schumpeter (1950), que nous avons eu plus d’éclaircissement par rapport à l’entrepreneuriat. C’est le premier à parler de « destruction créatrice » dans la mesure où de nouveaux produits arrivent et remplacent les anciens. Cette destruction créatrice est à l’origine du dynamisme industriel et de la croissance à long terme. Pour Frank Knight (1967) et Peter Drucker (1970), l’entrepreneuriat consiste à prendre des risques énorme car un

hommes et du progrès technique qui accroît la productivité des facteurs Le facteur capital Croissance et progrès technique J. Schumpeter R. SOLOW P. ROMER, R. BARRO, R. LUCAS théorie des destructions créatrices : l’innovation portée par les entrepreneurs est un moteur de croissance : les destructions créatrices sont le processus d’apparition d’un modèle productif nouveau fondé sur l’innovation La croissance provient de l’augmentation du facteur travail et capital : pour le résidu, il l’explique

pour la phase A de 1848 à 1873, l'épuisement de leurs effets dynamiques, leurs retombées négatives sont à l'origine du ralentissement de la croissance et de tendances récessionnistes. L'évolution du capitalisme est ainsi marquée par une " destruction créatrice " : la disparition et l'apparition de nouvelles techniques, la " mise en place de nouvelles fonctions de production " rythment son développement. Cette analyse est parfois pour analyser le ralentissement de la croissance depuis 1974. Elle permet

se construit en 2 moments = étude de marché et plan de financement J.B Say Entrepreneur organisateur J. Schumpeter Processus de destruction créatrice => explique le rythme de l'évolution économique. Les mutations des structures économiques générées par le progrès technique se traduisent par un mouvement simultané de création d'activités nouvelles et de destruction d'activités dépassées. P. HOUZE HUMOUR= HUMILITE + AMOUR => Humilité en toute circonstant et amour pr ces clients, ses produits….

quiétude, de satisfaction totale et de durable de mon être, comment donc éviter les troubles tant de l’âme et du corps ? Epictète dans ses Entretiens reconnaît que : « ce n’est pas par la satisfaction des désirs que s’obtient la liberté, mais par la destruction du désir. » En effet, la satisfaction des désirs est synonyme d’aliénation, d’assujettissement à un tyran toujours insatisfait et jamais rassasié. Il semble plus prudent, plus raisonnable de se défaire totalement de ses désirs. Comment dès lors

de la croissance. On constate des cycles industriels où après une innovation majeure, l'économie entre dans une phase de croissance (créatrice d'emplois), suivie d'une phase de dépression, où les innovations chassent les entreprises dépassées et provoquent une destruction d'emplois. Pour décrire ce processus J. Schumpeter emploie le terme de «destruction créatrice » dans Capitalisme, socialisme et démocratie. J. Schumpeter avance également que l’innovation est un processus dynamique. En effet, lorsque

qualités: « L’argent n’est-il pas un moyen de traiter les relations humaines aussi sûr que la violence, et ne nous permet-il pas de renoncer au trop naïf usage de celle-ci? Il est de la violence spiritualisée: une forme particulière, souple, raffinée, créatrice, de la violence». Cette analyse vous semble-t-elle rendre compte de l’argent tel que le présentent les différentes œuvres au programme? INTRODUCTION Shakespeare dans Timon d’Athènes fait dire à un de ses personnages: «Allons, métal maudit, putain

considère les monopoles nécessaires à la bonne marche du capitalisme (contraire de la théorie néo-classique). Le monopole = pouvoir important à l'entrepreneur (il fixe alors les prix : price maker). B- La théorie des cycles ou le processus de destruction créatrice. Schumpeter montre (« Business cycles », 1939) que le phénomène de « grappes d'innovation » est à l'origine de l'expansion et de la récession qui lui succède. Les innovations sont à l'origine de 3 types de cycles (Kitchin ≃ 3ans, Kouglar ≃

industriel. Plusieurs pressions majeures s’exercent sur l’emploi: la course à la baisse des prix et les changements techniques qui débouchent sur la modification considérables des moyens de production (ce que Joseph Schumpeter appelait la destruction créatrice). Plusieurs causes sont à l’origine de ce phénomène, les nouveaux procédés techniques, l’évolution du secteur tertiaire, les importations des pays du Sud, la délocalisation et la sous-traitance. II) Causes : Le secteur industriel