Destruction de la couche d'ozone

respecté. 4/ 5/ Indicateurs Valeur maximales admises Valeurs planète 60D.1 Acceptation Oui/Non Energie totale consommée 2300 5.76 10+2 Oui Contribution à l’effet de serre 4,4 10+04 1.36 10+3 Oui Participation à la destruction de la couche d’ozone 2,1 10+01 1.72 10-3 Oui Potentiel d’acidification de l’air 2,1 10+01 5.61 Oui 6/ Valeur maximales admises Valeurs planète 60D.1 Acceptation Oui/Non < 30 cm3 24 cm3 oui 7/ Valeur maximales admises Valeurs planète 60D

l’établissement d’un scénario de transition à arguments pour l’existence d’un impact météoritique : On a trouvé un certain nombre de cratère d’impact quasiment tous effacés par l’érosion et dont la présence est certaine grâce à l’analyse de couches sédimentaires contenant des cristaux ayant subi une fusion partielle suivie d’un refroidissement rapide. Concernant la période , le cratère le plus probable se situe au Mexique (cotes atlantique); les 2/3 sont sous l’eau Diamètre compris entre

d'émission). On parle alors de pollution régionale qui ne peut plus être combattue localement mais à l'échelle internationale. Deux autres phénomènes de pollution mobilisent la communauté scientifique depuis les années 70 et 80 : la destruction de la couche d'ozone (par les CFC, HCFC et les oxydes d’azote) et le réchauffement climatique (impliquant de nombreux gaz tels que le dioxyde de carbone, le méthane, le protoxyde d’azote, les hydro et per-fluorocarbures, l’hexafluorure de soufre, le trifluorure

par exemple en France, la destruction de la quasi-intégralité des forêts au Moyen Âge, le bois étant un besoin des hommes à cette époque. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Effets_des_croissances_d%C3%A9mographique_et_%C3%A9conomique_sur_l%27environnement) Qui sont les coupables? On veut trouver des coupables mais il semble que tous soient responsables. Même si il est facile de pointer du doigt les pays surpeuplés, il n’y a pas qu’eux qui soient responsables de la destruction massive de l’environnement

2) La destruction de la couche d’ozone Entre 15 et 35 kilomètres au-dessus de la surface de la terre, se trouve la couche d’ozone. Elle concentre 90 % de l’ozone de l’atmosphère et intercepte la plus grande partie des rayons ultraviolets du soleil. Sans elle la vie serait impossible sur notre planète. Or, les scientifiques constatent l’apparition d’un « trou » dans cette couche protectrice en basse altitude. Plusieurs facteurs sont à l'origine de la diminution de la couche d'ozone, notamment

la consommation impactent négativement l’environnement. Les déplacements des populations est également négatif (pollution, bruit…) La production a donc une externalité négative sur l’environnement (pollution, déchets, déforestation, destruction de la couche d’ozone…) L’intérêt du développement durable c’est que certains agents économiques ont pris conscience de toutes ces externalités négatives, notamment certaines entreprises deviennent responsable, mais aussi certains consommateurs / ménages

sujet qui perçoit et accepte les conséquences de ses actes. » Ce n’est qu’en ce sens que le citoyen pourrait se garder de poser des actes qui contribuent à la destruction, non seulement de sa vie, à travers la destruction de l’écosystème par son action mue par le développement des technologies de pointe, mais également par la destruction de la vie des générations à venir : c’est ce que Hans Jonas traduit par « Ethique d’avenir ». Il dit clairement à ce propos : « L’avenir de l’humanité est la première

phénomène d’effet de serre est lié à la présence dans l’atmosphère de certains gaz qui piègent le rayonnement émis par la Terre (infrarouge). Une partie de ce rayonnement est réémis en direction du sol, contribuant ainsi au réchauffement des basses couches de l’atmosphère. La vapeur d’eau, le gaz carbonique, le méthane, les chlorofluorocarbones (CFC), contribuent directement à l’effet de serre. L’influence de ces gaz est variable selon leur concentration dans l’atmosphère et leur structure moléculaire

2) Ensuite, il intègre des activités nuisibles : production d’armes, de cigarettes 3) Le PIB additionne le "Bon" et le "Mauvais" Le PIB comptabilise les activités rémunérées quelle que soit leurs natures, positive ou négative. Exemple: La destruction d'un monument historique pour construire un parking souterrain augmente le PIB. C. Le PIB n'est donc pas un bon indicateur de bienêtre. 1) Le PIB n'est pas un indicateur du développement durable. Le PIB est basé sur une valorisation monétaire

consommation des ménages diverses contributions à la « vraie » richesse et au bien-être (Exemple : Une activité bénévole, le travail domestique). Puis il soustrait la valeur estimée des richesses perdues, notamment naturelles (destruction de la couche d’ozone, destruction de ressources non renouvelables…), mais aussi sociale (coût social du chômage, accident de la route, progression des inégalités, perte de temps libre supportée par ceux qui travaillent trop). Les principales difficultés dans le