Dette publique

transactions au niveau national sauf que là on a plus de choix et d’autres avantages économiques tels : * L’élimination des frais de change * Des marchés financiers plus intégrés * Une économie plus performante * Un cadre pour des finances publiques plus saine * Une voix plus forte pour l’union européenne dans l’économie mondiale * Des échanges commerciaux plus faciles * Un signe d’identité européenne * Emprunts faciles et à faible taux d’intérêt pour les consommateurs *

l’Etat permet d’obtenir une croissance forte et équilibrée, l’Etat joue un rôle essentiel en décidant des politiques budgétaires et monétaires : Schéma ISLM, Budget de l’Etat : soutien l’économie à travers le multiplicateur budgétaire Y=C+I+Dépenses publiques. Pour MUSGRAVE : fonction de répartition. L’Etat participe dans les collectivités et répond aux disfonctionnements. Un besoin de l’intervention de l’Etat après la seconde Guerre Mondiale pour la reconstruction du fait de des ravages des bombardements

d’hiver, mais aussi aux fortes hausses de prix des produits pétroliers et alimentaires. DETTE PUBLIC À la fin du quatrième trimestre 2010, la dette publique de Maastricht, qui est une dette brute, s’établit à 1 591,2 Md€, en hausse de 16,2 Md€ par rapport au trimestre précédent. Exprimée en pourcentage du PIB, elle se situe à 81,7 %, en augmentation de 0,2 point par rapport au trimestre précédent. La dette publique nette progresse de 26,5 Md€.

courent le risque d’entrer en déflation. La hausse des taux réels qui en résulterait aggraverait la récession. Les multiplicateurs budgétaires et l’absence de relais de la politique monétaire commandent, pour pouvoir maîtriser la trajectoire de la dette publique, de procéder à une relance budgétaire globale, en tout cas à l’échelle européenne, accompagnée d’une réduction de l’incertitude financière et des changes. Les prévisions de croissance présentées ici écartent pour l’instant le scénario déflationniste

périodes de croissance (modérée) et périodes de récession. Pendant ces périodes économiques particulières, plusieurs types de politiques sont traditionnellement mises en place, elles-mêmes assorties de différents outils développés par les autorités publiques. Définitions :  Période de croissance économique : période au cours de laquelle la quantité de biens et services produits et consommés dans la région visée est en augmentation continue. L'indicateur de cette augmentation est le PIB (produit intérieur

pour justifier une expansion des dépenses publiques dans certains domaines. Au Canada, comme ailleurs dans le monde, le niveau d'endettement des gouvernements devient préoccupant. Pour évaluer la situation réelle de l'endettement d'un pays, les analystes économiques doivent comparer le montant de la dette gouvernementale par rapport au revenu du pays en question. Par exemple : un pays dont le ratio dette/PIB dépasse 100%, indique que sa dette publique est supérieure à tout ce qu'il produit durant

produisant lui-même, par l’intermédiaire des services publics, soit en confiant la production au secteur prive subventionné. L’Etat finance cette production au moyen des prélèvements obligatoire (PO), sur les ménages et les entreprises. L’offre publique de service collectif répond à un triple objectif : combler les lacunes du marché faire bénéficier l’économie des effets externes positifs qui leur sont attachés (les infrastructures, la production de l’environnement…) les rendre accessibles à tous

5 | DETTE PUBLIQUE BRUTE Nous remarquerons que la dette publique brute de Porto Rico n’a cessé d’augmenter depuis les années 1997, en grande partie dû aux corporations publiques. En 2004, elle s’élevait à 34 000 000 000$, avec une part de 23.4milliards des corporations publiques. En 2005, elle était de 36 700 000 000$, avec une part de 25.5 milliards des corporations publiques. En 2006, elle montait jusqu’à 39 900 000 000$, avec une part de 27.2 milliards des corporations publiques.

------------------------------------------------- DM ECONOMIE - Quelles sont les limites de la « règle d’or » ? Adopter des « règles d’or », c’est garantir l’équilibre des finances publiques afin de protéger les générations futures de la dette et renforcer la crédibilité budgétaire de la France. Ces règles sont censées empêcher tout déficit public. En théorie implacable, elles présentent en réalité certaines limites : - Les Etats ayant adoptés des règles d’or refusent en réalité de se restreindre

Pacte de stabilité et de croissance, adopté en 1997 à Amsterdam, pose des limitations de déficits publics (3% du PIB) et de dette publique (60% du PIB). Document 1 : une réduction de la dette permet une réduction des charges d’intérêt, ceci fait diminuer les taux d’intérêt, ce qui favorise l’investissement privé, essentiel à la croissance économique. La charge de la dette est le deuxième poste de dépenses de l’Etat. Sa réduction libère des ressources pour le financement d’autres priorités.