Dette publique

contrôler la dette souveraine des États d'une union économique et monétaire dans le cadre de la globalisation financière ? Application à la zone euro". Jacques POIROT (BETA-CNRS, Université Nancy 2) 10h30 - 11h00 Pause-café 11h00 - 12h30 3 sessions parallèles Session 1 : L'intégration économique constitue-t-elle un axe stratégique de développement économique ? (Salle CESAR 1) Président de séance : Jacques POIROT (BETA-CNRS, Université Nancy 2) Le développement du marché de la dette en Tunisie : Diagnostic

politiques de réduction des dépenses publiques ? I Oui quand leurs poids excessif freine la croissance et le retour au plein emploi II les dépense publiques sont indispensables. A Dépense publiques moins efficaces depuis 1980s (politique keynésienne de relance bute sur la contrainte extérieure, influence de la théorie libérale) A Pas de corrélation entre taux de croissance et poids des dépenses publiques (EU croissance forte et déficits publiques élevés) B Elles peuvent freiner la croissance

d’intérêt des banques (facturés lors d’un emprunt), l’attitude des banques face aux emprunteurs (si les banques ont le pouvoir de titrisation => plus de facilité de négociation des entreprises avec les banques) l’état des finances publiques : le déficit et la dette publiques (influence l’augmentation des impôts) le prix des matières premières l’évolution des monnaies et de leur parité (ex : l’euro face au dollar). La montée de l’euro est favorable pour le commerce intérieur et pour l’importation mais

6) La politique budgétaire : Les déficits publique ce sont énormément aggravé depuis la crise en 2009 la France a eu un record déficit budgétaire avec 140 milliards d'euros en pourcentage du PIB on a atteint 8 % Le déficit 2009 s'explique a la fois a cause du plan de relance de l'économie 40Milliards € et surtout pour 100 milliards € les moins valus fiscal (baisse des recettes fiscal) en même temps que le déficit (1 année) la dette publique a fortement augmenté de 1600 milliards € en 2009

milliards $ (est. 2009)1 Économie de la Côte d'Ivoire 2 combustibles, biens d'équipement, denrées alimentaires Nigeria 29,5 %, France 16,8 %, Chine 6,9 %, Belgique 3,5 % (2007) 4 Finances publiques Biens importés Principaux fournisseurs Dette publique Dette extérieure Recettes publiques Dépenses publiques Déficit public Aide au développement 75,2% du PIB (est. 2007) 1 13,79 milliards $ (est. 31 décembre 2007) 3 20,8 % du PIB (est. 2007)3 20.5 % du PIB (est. 2007)3 Sources : [3] [4] [5]

d'un État membre donné ne doit pas dépasser de plus de 1,5 point celui des trois États membres présentant les meilleurs résultats en matière de stabilité des prix.
2. Situation des finances publiques :
a. Interdiction d'avoir un déficit public annuel supérieur à 3 % du PIB.
b. Interdiction d'avoir une dette publique supérieure à 60 % du PIB.
3. Taux de change : interdiction de dévaluer sa monnaie. En outre, l'État membre doit avoir participé au mécanisme de taux de change (MCEII) du système monétaire

puisqu’ils se sont engagés dans la recherche de l’équilibre budgétaire (comme le souligne le document 1) dès les années 90 afin d’atteindre les critères de convergence inscrits dans le traité de Maastricht (3% de déficit maxi et 60% de dette publique maxi pour les finances publiques) et être qualifié pour faire partie de l’UEM ! On peut donc considérer que les politiques conjoncturelles durablement restrictives ont non seulement accompagné la mise en place de la stratégie de désinflation compétitive au début

compte : - L’Etat : le système bancaire entretient des relations monétaires et financières multiples avec l’Etat, essentiellement en achetant une part des titres émis par le Trésor Public pour couvrir le déficit budgétaire (« monétisation » de la dette publique) - L’extérieur : l’économie française est largement ouverte sur l’économie mondiale ; aussi une part non négligeable de la création monétaire a un lien direct avec les opérations avec l’étranger. Les statistiques monétaires publiées par

d’administration » (article 13). En effet, le principal rôle des prélèvements obligatoires (impôts et cotisations sociales) est de permettre à l’Etat de financer son administration, ainsi qu’un certain nombre de services publics assurés par la fonction publique. Il est alors légitime de contraindre les agents économiques à supporter le coût de ces services, au moins en partie. Par ailleurs on peut également se demander si les prélèvements obligatoires ne peuvent pas aussi être utilisés comme un outil de

traduite par compatibilité entre déficit des paiements courants et service de la dette. A travers cette définition, on retrouve les grandes lignes d’un diagnostic applicable à de nombreux pays (africains ou non) et reflétant leurs difficultés à équilibrer leurs balances des paiements, à assurer le service de leur dette, à obtenir de nouvelles liquidités, à financer leurs importations ou à équilibrer leurs finances publiques. Les causes de ces difficultés sont multiples et proviennent, pour la plupart