Dette Sociale

bien pouvoir les différencier. a)) Définitions _ Economie : Etymologiquement, l'économie est l'art de bien administrer une maison, de gérer les biens d'une personne, puis par extension d'un pays. Plus généralement, l'économie est une science sociale qui étudie la production, la répartition, la distribution et la consommation des richesses d'une société. Le principe général que sous-tend l'économie est celui de la rentabilité. Elle consiste à consommer un minimum de moyens en vue de réaliser un

de surendettement qui sont inadaptées au nouveau profil des populations accueillies c'est-à-dire des personnes de plus en plus fragilisées socialement. Aussi, le sénat recommande de revoir les procédures pour y intégrer une dimension de prévention sociale. |Traitement du surendettement | Définition du surendettement : Est considéré comme surendetté : - Toute personne ayant accumulé

conditionnelle ou éventuelle. La seule condition est qu’elle soit déterminable. En outre, le gage peut être consenti pour garantir la dette d’un tiers. Dans ce cas, le constituant du gage et le débiteur ne sont pas la même personne, c'est ce qu’on appelait le cautionnement réel, jusqu’à ce que la cour de cassation s’oppose à cette formule. On parle aujourd’hui de la garantie pour la dette d’un tiers. S’agissant de l’objet du gage : il peut s’agir de tout bien meuble corporel, dès lors qu’il est dans le commerce

qui le conduirait à devoir en supporter le coût. Les biens en question sont des biens traditionnellement régaliens (CAD l'administration, la police, la justice, l'armée). II. La fonction de redistribution L'état pour des raisons économiques, sociales et politiques corrige la répartition primaire des revenus, celle que les mécanismes du marché réalisent. Cette nouvelle répartition s'effectue par le biais des impôts des allocations et la mise à disposition de biens publiques comme l'éducation

1988 jusqu'à la fin de l'année 1993, année au cours de laquelle le service de la dette extérieure (rapport entre la valeur des remboursements annuels e t celle des exportations) avait atteint le taux record de 86%. Les prévisions pour l'année 1994 amenaient ce taux à un pic de 92%. Autrement dit, l'équivalent de la valeur de l'ensemble des exportations devait être consacré au remboursement du service de la dette, alors que le fonctionnement du pays nécessitait par ailleurs des importations (alimentation

CIRCULANT DETTES Document 2 : Contenu du bilan ACTIF PASSIF actif immobilisé capitaux propres - Immobilisations incorporelles Fonds commercial 200 000 Capital social 1 000 000 Brevet 43 000 Réserves 120 000 Logiciels 11 600 Résultat 80 000 - Immobilisations corporelles Terrain 50 000 Bâtiment 350 000 Matériel de bureau 60 000 Matériel industriel 317 000

la créance, le droit de créance. C'est-à-dire le droit du créancier d’exiger une prestation du débiteur, et un aspect passif qui représente une dette. Par exemple le contrat de vente : en effet il y a obligation de payer le prix. Envisager du côté du vendeur, c’est une créance (on demande le prix). Du côté du débiteur c’est une obligation de payer, une dette. Cet aspect de contrainte est susceptible de varier selon le type d’obligation. A la source de toute obligation il y a toujours la loi. Un acte

en plus évident avec les différents plans d’ajustement budgétaire mis en place à travers la zone. De fait, les propositions franco-allemandes du sommet européen du 4 février vont toutes dans le même sens : pénaliser la consommation, durcir le cadre social et enlever aux États un peu plus de souveraineté. Il n’est donc pas étonnant que de nombreux gouvernements aient violemment protesté. Le sommet européen de mars 2011 devrait connaître une nouvelle étape dans cet affrontement et voir soit l’accord

actionnaires d’entreprise jouant un rôle stratégique. Peut être que le cas d’Heuliez sera cité en exemple comme c’est le cas avec Alstom. De plus certains économistes, comme Musgrave ou Keynes, prône un état providence qui a un réel rôle économique et sociale notamment son système de redistribution des richesses. Cette redistribution permet notamment de favoriser la consommation puisque la part de celle-ci est plus importante dans un ménage ayant de bas revenus que l’inverse. Enfin en période de crise

Après trois mois difficiles en Bourse, Facebook cherche toujours la martingale La descente aux enfers se poursuit pour Facebook. Mardi 14 août, l'action du célèbre réseau social a encore plongé de 5,65 % à New York, tout près des 20 dollars. Bien loin, en tout cas, des 38 dollars de l'introduction en Bourse, le 18 mai 2012, qui devait marquer le point d'orgue de la "success story" pour son fondateur, Mark Zuckerberg. En trois mois, le cours a chuté de moitié. Et effacé plus de 40 milliards de