Devant Deux Portraits De Ma Mère

lecture analytique Le voyage/L’évasion (2) « Le port » (41) : description d’un port avec ses mouvements ; lieu de départ « Enivrez-vous » (33) : il faut toujours être ivre La fuite du temps « Le désespoir de la vieille » (2) : peur de l’enfant devant elle ; elle ne plaît même plus aux enfants La haine des concitoyens « Un plaisant » (4) : il salue un âne ce qui fait dire au poète qu’il concentre en lui « tout l’esprit de la France » « Le tir et le cimetière » (45) : une voix sortant d’une tombe

illustrés comportant 25 portraits, principalement constituée du roi Louis XIII en son centre, entouré de ses prédécesseurs, des deux reines ainsi que du prince mais aussi et surtout des peintures de militaires aux figures historiques de haut rang ayant contribués au maintien de la Couronne de France et de la foi catholique. Cette galerie est soumise à une sélection rigoureuse par Richelieu lui-même. Ce sont les peintres Simon Vouet et Champaigne qui peignent les portraits présents. Ce tableau

comme une sorte d'antihéros mais qui a tout de même un certain charme : il est mystérieux, sensible et très social. C’est un homme au physique commun, de taille moyenne avec des yeux bruns et un grand nez qu'on remarque facilement, il n'a pas le portrait type de l'homme idéal. En fait, il est tout l'opposé de Lawrence, son rival. Mais ce qui le dérange le plus, « c'était que Camille se soit sédentarisée à Saint - Victor alors qu'il l'imaginait en mouvement, traversant les villes [...] » Il est né

dis qu’il ne peut pas avoir pire pour toi serait de devoir continuer ta préparation ici au palais avec mère. -Oui tu dis vrai sœurette, j’espère que se ne sera pas ainsi. -Attention, je crois avoir entendu des pas approcher. -Oui, tu as parfaitement entendu ma petite Sloane mais vous n’avez rien a craindre ce n’est que moi. Déclara une jeune femme au long cheveux blanc et de peau pale avec deux fines cornes blanches qui lui sortaient au-dessus des oreilles. -Delaney je crois que tu as effrayé a

boutiquiers d'en face ont plaqué d'étroites armoires; » Mais plus spécialement vers la fin de ce chapitre on s’intéresse plus à une boutique en particulier, cette boutique est logé par un homme et deux femme « « Le soir, lorsque la lampe était allumée, on voyait l'intérieur de la boutique » ; « D'ordinaire, il y avait deux femmes assises derrière le comptoir: une jeune femme au profil grave et une vieille dame qui souriait en sommeillant.  » « Plus bas, assis sur une chaise, un homme d'une trentaine d'années

des environs de la mercerie, du Pont-Neuf. Présentation de Madame Raquin, de Thérèse, du chat François, et de la chétivité de Camille et de leurs habitudes respectives. Chapitre 2 (p.24 à 30) : Raconte des événements passés. Madame Raquin est une mère étouffant Camille de soins. Il y a seize ans de cela, le frère de Madame Raquin, le capitaine Degans, lui apporta une petite fille venant d’Afrique : Thérèse. Thérèse, de nature forte à cause de son origine africaine, ne s’est jamais habituée à la

évoque un état récurrent. On pourra donc y lire la vérité profonde du poète. Comment le rêve devient-il la représentation de l’idéal amoureux ? LA PRÉSENTATION DU RÊVE Le sonnet s’ouvre sur la présentation du rêve dans un 1er vers rendu fluide par deux élisions du [e muet] et le choix de la voyelle nasale, grave, qui correspond aux coupes du vers. Avec l’enjambement sur le vers 2, Verlaine reproduit comme une plongée au plus profond de l’âme. L’adverbe « souvent » fait écho au titre, en suggérant

romantique, comme Victor Hugo, mais il est vite considéré comme un journaliste engagé et un romancier naturaliste.Thérèse Raquin est son premier grand succés. Zola entreprends ensuite le grand projet des Rougon Macquart (vingt romans). L'histoire de deux familles sous le seconde empire, qu'il va faire évoluer aux cours des générations. Il y traite l'hérédité. Jouant de sa notoriété, Emile Zola s'engage dans l'affaire Dreyfus en publiant plusieurs articles dont son célèbre "J'accuse" dans le journal

III_kor_R_LVI.inddActa Universitatis Wratislaviensis No 3129 ROMANICA WRATISLAVIENSIA LVI Wrocław 2009 JADWIGA COOK Université de Wrocław LE PORTRAIT DU PERSONNAGE PAR SES PAROLES: LES HÉROS DU ROMAN D’ANNA GAVALDA ENSEMBLE, C’EST TOUT EN FRANÇAIS ET EN POLONAIS Francis Berthelot remarque que « si les yeux sont le miroir de l’âme, la parole est celui de l’être, sous tous ses aspects »1. Cela concerne aussi les personnages d’un roman qui, à partir de XIXe siècle, à côté de la description physique

L’effervescence du départ (« Le 15 septembre » à « sans discontinuer ») «  Le 15 septembre 1840, vers six heures du matin,  la Ville-de-Montereau, près de partir, fumait à gros tourbillons devant le quai Saint-Bernard » - Point de vue adopté égal à celui d’un roman de Balzac, point de vue omniscient : indications précises de date et de lieu. - Le temps est doublement précisé : jour et heure. - Pour les lecteurs des années 1869, l’histoire que rapporte le roman est récente => normes du réalisme