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: c’est à partir du constat de la pensée que se déduit notre existence. Dans ce passage du Discours de la méthode, Descartes cherche à savoir ce qu’il peut y avoir d’indubitable. Si nous voulons être assurés de la vérité de nos connaissances, nous devons rejeter toutes celles qui sont incertaines. C’est ainsi que Descartes entreprend méthodiquement de douter de tout ce qui n’est pas absolument certain. Sera ainsi vrai et certain ce qui est indubitable, ce dont on ne peut douter. Attention, il

desservir. Il est tout a fait logique et normal de vouloir combler ses envies. Nous avons tous des désirs qui nous sont propre. Nous avons des désirs naturels qui nous sont indispensable pour vivre, dans ce cas nous devons satisfaire nos désirs, il en dépend de notre vie. Selon Epicure nous devons nous contenté du minimum car nous n'avons nul besoins de plus " Avec une miche de pain et d'eau je rivalise le bonheur avec Zeus". Manger, boire et dormir sont les fondements de notre vie, cela devrait nous suffire

limités des médias. Selon cette étude, les médias ne parviennent pas à nous dicter ce nous devons penser, pour des raisons évidentes puisque je consomme les médias avec un esprit critique. En revanche si les médias ont un réel pouvoir c’est celui de nous dire à quoi nous devons penser. Une enquête à déclarer que souvent dans nos conversations on reprenait des débats

être sûr qu'elle ne «fonce pas directement dans le mur», pour utiliser une expression claire et commune. Devons-nous être plus démocratique, république ou devons-nous vivre sous une dictature? Devons-nous donner le pouvoir sur la vie et la mort qu'à une seule personne, à plusieurs personnes ou à personne? Des questions qui sans réponses, nous empêchent d'avancer en tant que société. Nous nous devons de nous questionner, car une société qui n'avance pas, ne sert à rien. À titre d'exemple, l'histoire enseigne

tête dans le sable pour ne pas déplaire aux autres, pour ne pas voir ce qui devrait être fait pour être plus heureux. Puis, pour appliquer cet aspect au collège nous devons regarder droit devant nous et ne pas reculer. Nous avons tous un but et c’est d’obtenir notre diplôme. Nous sommes responsable de notre succès et nous ne devons pas attendre qu’il vienne jusqu’à nous. C’est moi qui veut contrôler mon moi et non l’environnement autour qui me contrôle. Avoir du fun Ensuite, il faut adopter la

Depuis bien longtemps, la société dans la quelle nous vivons ne cesse d’évoluer. Cette société s’est peu à peu formée sur une base de droits et de lois. Cela amène une question fondamentale, devons nous toujours obéir aux lois? Ces lois semblent avoir étés crées dans le but d’être respectées, il y en a de toutes sortes, mais elles ont toutes le même objectif, faire de notre société une société équitable. Ce qui viens par la suite est obéir à celles-ci, le mot obéir est sans doute la raison pour la

Introduction : Dépend-t-il de nous d’être heureux ? Nous devons pour répondre à cette question essentielle nous interroger sur les conditions de notre bonheur et sur les conditions de possibilité d’être heureux. De quels facteurs notre bonheur dépend-il ? Il y a des facteurs extérieurs face auxquels nous sommes dans une totale impuissance ? Mais quels sont l’autre facteur, n’a-t-on pas les moyens d’assumer notre bonheur en fonction de nos choix et de nos actes, l’homme se fait-il lui-même, sommes-nous

chauffage au sol pour un confort total dans chaque pièces, sans être déranger par un convecteur et leur chaleur étouffante. 3 : problèmes rencontrés Dans cette installation le mobilier est déjà implanté sur les plans de chauffage. Nous devons alors prendre les mesures et implanter à peu près les objets dans les pièces, tous ce qui est meubles, cheminé, plan de travail etc. 2 : la constitution d’un planché

celles de notre existence. Nous devons dans ce cas faire un présupposé à savoir que le bonheur soit défini pour tous, selon les genres de vie et aussi que celui est possible, ou encore devons-nous poser la thèse antagoniste selon laquelle le bonheur serait l’aspiration de tout homme mais que chacun a sa définition particulière du bonheur ; Enfin si nous posons l’idée d’un bonheur au sens d’une totale satisfaction que l’homme vise de manière essentielle et primordiale, devons-nous l’envisager comme un simple

concrète de notre existence • Seul un être libre peut donc faire l'expérience de l'angoisse. C’est parce que nous sommes libres que nous la ressentons, et que nous devons la ressentir à un moment ou à un autre. Nous ne sommes pas cohérents et infaillibles à tous les coups. Oui nous pouvons nous tromper. Mais est-ce une réalité que nous devons fuir ? N’avons-nous pas le droit à l’erreur ? Se tromper est humain, profondément humain (on dit bien « l’erreur est humaine »), et le sentiment lié à cette situation