Dévonien

conodontes, Hirnantia -causes : changements climatiques (sans glaciation à glaciation puis normal) , variations eustatiques , modif de la circulation océanique (refroidissement des eaux profondes) disoxie -taux d’extinction (57-85%) Crise dévonien crise marine 1 Ma 1 phase 50-75% Causes : rechauffement + anoxie , impact , refroidissement + regression Especes touchés : récifs , trilobites , dalmantidae , brachiopodes , Orthida Crise Permien/Trias 3 phases : 1augmentation temperature

avec les formations sous-jacentes. Le Stéphanien est il déformé? Même question pour le Dinantien (Carbonifère inf.). Noter le caractère à la fois légèrement discordant sur le Dévonien et en même temps déformé => flysh (faciès Culm) produit par le démantèlement des zones plus internes (MCF) syntectonique (déformé entre Dévonien et Stéphanien par orogenèse Montagne Noire, Cf. notice St Chinian, page 24). Bassin de Bédarieux: Dans le bassin de Bédarieux, l'Eocène est concordant avec les sédiments mésozoïque

mâchoire 2. Chondrycthiens (ex : requins, raie) => cartilagineux => GNATOSTOMES (av mâchoire) 3. Ostéichtyens => osseux (cartilage + phosphate de calcium) => GNATOSTOMES (av mâchoire) Amphibiens : (origine : - 400 MA = fin du Dévonien) => Transition Eau/Terre * Passage au milieu terrestre partiel => doivent retourner dans l’eau pour pondre (+ développement de la larve dans l’eau) * Peau modifiée (pour le milieu terrestre) (peau nue + mucus) => imparfait donc doivent

(abords de Donibane Garazi, Aldude, Orreaga,...). Les plus abondants parmi tous sont les énigmatiques traces de déplacement sur les fonds marins (cruzianes et bilobites) attribuées à des trilobites et autres invertébrés. Dévonien (395 - 350 millions d´années) Dans la période Dévonien, il y a quelque 380 millions d´années, une mer chaude et peu profonde couvrait la totalité de le Pays Basque. Dans se eaux ont proliféré des formes de vie à caractère récifal. Des colonies de bryozoaires, échinodermes

remplacement progressif sous l’impulsion de la sélection naturelle ou par extinction de masse. Les paléontologues définissent généralement 5 grandes extinctions:     À la fin de l'Ordovicien (-440 Ma): un tiers de la faune marine s'éteint.     À la fin du Dévonien (-367 Ma): l'écosystème de récifs disparaît presque complètement pour ne réapparaître qu’au Trias.     À la fin du Permien (-245 Ma): c'est la plus grande extinction ; plus de la moitié des familles d'organismes marins disparaissent et les vertébrés

produits de la photosynthèse (= séquestration de carbone), moins d’oxygène libre sera utilisé pour la respiration et plus la teneur en oxygène de l’atmosphère augmentera. C’est ce qui s’est produit au Carbonifère-Permien avec l’avènement, à la fin du Dévonien, des plantes vasculaires et la colonisation des surfaces continentales par les grandes forêts.

de l'ère Primaire ou paléozoïque. On rentre dans le Cambrien. C'est le boom de la vie, avec les trilobites, les éponges et les echinoderme -500.10^6 : C'est l'ordovicien marqué par les poisson et mollusques céphalopode -410.10^6 : Début du Dévonien, apparition des fougères, insectes et amphibiens -360.10^6 : Début du Carbonifère, apparition des conifères, insectes ailés, arachnides, myriapodes et des premiers reptiles. -295.10^6 : 3eme extinction massive. Près de 95% de la vie est perdue

passive orientale de l’Océan Atlantique. 4) Le faciès schistes verts a succédé au faciès schistes bleus d’où atteint lors de la remontée des matériaux avec maintien d’une certaine température associée à une baisse de pression. (Donc subduction au dévonien supérieur et exhumation au carbonifère inférieur (orogenèse hercynienne) 

système solaire : Mercure, Vénus, Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune, Pluton. • « Cambronne, s'il eut été dévot, n'eût pas carbonisé son père » permet de faire la liste des périodes géologiques de l'ère primaire : cambrien, silurien, dévonien, carbonifère, permien. • « Mais où est donc Ornicar ? » permet de se souvenir des conjonctions de coordination : mais, ou, et, donc, or, ni, car. • « Sur la racine de la bruyère, la corneille boit l'eau de la fontaine Molière », pour se rappeler

L’évolution des insectes : L’origine des insectes remonte aux aptérygotes, forme primitive d’insecte dépourvue d’ailes. Daté du Dévonien inferieur/moyen le début des insectes se fait avec les collemboles et les lépismes des insectes rampant qui fourmille sur le sol de la Terre il y à 400± Millions d’années. Tout au long de leur existence les insectes on connu une très grande prospérité, ainsi les chercheurs recensent un millions d’espèce d’insectes alors que le nombre final est estimé à un minimum