Dévonien

est définie par la disparition massive d’espèces, de genres ou de familles et l’apparition post-crise. Cela se traduit sur la courbe du document 1 par des inflexions. Ici nous pouvons en retrouver 5 : - limite Ordovicien-Silurien - limite Dévonien-Carbonifère - Limite Permien-Trias - Limite Trias-Jurassique - Limite Crétacé-Tertiaire (à ne pas rater !) Le document 3 permet de décrire les effets de différents évènements : Globalement les mêmes : diminution de l’intensité

est connu du Dévonien inférieur au Carbonifère supérieur, que C a une durée de vie très longue qui va de l'anté-Ordovicien au post-Carbonifère, que D va de l'Ordovicien supérieur au Dévonien inférieur, et que E va du Silurien supérieur au Dévonien supérieur, le seul temps où ces formes ont pu se retrouver ensemble dans le même milieu correspond au temps où elles ont pu vivre toutes en même temps, soit le Dévonien inférieur. L'assemblage et la couche qui le contient datent donc du Dévonien inférieur

étaient faites de bois, ont été découverts dans la carrière de Châteaupanne (Massif armoricain, Maine-et-Loire). L'importance de cette découverte est double : elle recule de 10 M d'années la date d'apparition du boisN 1, l'amenant ainsi au début du Dévonien ; et parce que la plante ne mesurait que de 10 à 20 cm de hauteur, elle infirme la théorie jusqu'ici prévalente en prouvant que le bois est apparu avant les feuilles et les graines, et s'est développé à l'origine pour aider la circulation de la sève

[pic] Vue macroscopique de l’échantillon [pic] Photo de lame mince de l’échantillon (grossissement x 40, L.N.) Nom commercial: Gris Tiflet Nom géologique: calcaire gris Provenance: Tiflet (15 Km au S de la ville). Age: Dévonien inférieur. Couleur : grise. Etude macroscopique: calcaire de couleur grise traversé par des veines de calcite et d’oxydes de fer. Etude microscopique: calcaire bioclastique à faciès récifal. [pic] Vue macroscopique de l’échantillon

Durant les 600 derniers millions d’années, on repère cinq crises majeures qui ont conduit à la disparition de nombreuses espèces et au renouvellement de celles-ci. La limite Ordovicien-Silurien il y a 435 Ma. La limite Frasnien-Famennien, à la fin du Dévonien il y a 365 Ma. La limite Permien-Trias il y a 250 Ma est la plus importante des crises en terme d’extinctions (96 % des espèces disparaissent). Elle marque la coupure entre l’ère Primaire et l’ère Secondaire. La limite Trias-Jurassique il y a 205

dès le début de la descente Axel nous énumère parfaitement, en partant des plus récentes aux plus anciennes, les époques géologiques qui se sont succédé sur terre : « pliocène, miocène, éocène, crétacé, jurassique, triasique, pernien, carbonifère, dévonien, silurien, primitif9 ». Tous ces propos préfigurent incontestablement le contenu du voyage : un voyage dans le temps ou l’ubiquité temporelle imaginée par Jules Verne enrichit une histoire qui sans cela risquerait d’être monotone… A – L’Ere Primaire

derniers millions d’années, on repère cinq crises majeures qui ont conduit à la disparition de nombreuses espèces et au renouvellement de celles-ci. • La limite Ordovicien-Silurien il y a 435 Ma. • La limite Frasnien-Famennien, à la fin du Dévonien il y a 365 Ma. • La limite Permien-Trias il y a 250 Ma est la plus importante des crises en terme d’extinctions (96 % des espèces disparaissent). Elle marque la coupure entre l’ère Primaire et l’ère Secondaire. • La limite Trias-Jurassique

Moscovien 315,2 ± 0,2) Bachkirien  323,2 ± 0,4 Mississippien cf. Dinantien Serpoukhovien 330,9 ± 0,2 Viséen  346,7 ± 0,4 Tournaisien  358,9 ± 0,4 Dévonien Supérieur Famennien  372,2 ± 1,6 Crise de la faune marine : extinction du Dévonien ; premiers vertébrés terrestres ; premières plantes à graines ; premiers arbres. Frasnien  382,7 ± 1,6 Moyen Givétien  387,7 ± 0,8 Plantes ligneuses : prêles, fougères… Eifelien

la durée de vie moyenne d’un genre est 1,7 Ma. 3 4 Doc. 5 à 7 (Rédiger un texte cohérent en respectant les consignes imposées). Les premières ammonites apparaissent au milieu du Dévonien (390 Ma) ; la diversité dans le groupe a beaucoup changé au cours du temps. Quatre crises ont marqué leur histoire : à la fin du Dévonien ; à la fin du Permien ; à la fin du Trias-début du Jurassique ; à la fin du Crétacé avec l’extinction définitive de toutes les ammonites. L’évolution dans ce groupe est marquée

pluricellulaires ne colonisèrent la terre ferme qu'à partir de la fin du Cambrien (pour mousses, lichens et champignons) et pendant l'Ordovicien (pour les premiers végétaux vasculaires et les arthropodes), le Silurien (pour les gastéropodes ?) et le Dévonien (pour les vertébrés). Depuis les années 1960, il a été proposé une hypothèse selon laquelle une ou plusieurs séries de glaciations globales eurent lieu il y a 750 à 580 millions d'années, pendant le Néoprotérozoïque, et qui couvrirent la planète