Dialogue L Avare

roman dialogué entre deux personnages « Lui » et « Moi » (le neveu de Rameau est réel, il a existé), deux personnages à la fois fictif mais dont l'un à sans doute existé. L'important est qu'ils représentent les deux tentations qui sont en l'auteur, une sorte de dialectique interne > discussion avec soi-même. « Moi » est un philosophe conventionnel, théorique, moral et même un peu idéaliste tandis que « Lui » est un personnage bohème, marginal, haut en couleur et qui à l'art du dialogue. Il provoque

femmes de vingt, quarante, soixante et quatre-vingts ans tout en mettant en avant la coquetterie des femmes. La principale source de critique politique est bien sûr le roi, c'est dire Louis XIV. Usbek trace un portrait de lui peu flatteur: à la fois avare et dépensier, lucide et aveugle mais surtout absolu, distribuant des récompenses ou blâmant de façon aléatoire. De plus Usbek refuse le despotisme (pouvoir absolu) et critique la monarchie de droit divin qui met en place un roi tel "un soleil qui porte

des textes, on peut classer les genres des textes en deux catégories : celle de l'argumentation et celle de la littérature. L'illustration de ces deux catégories se fera premièrement par l'argumentation qui peut être présentée sous la forme d'un dialogue, d'une correspondance ou d'un essai. Ensuite, se fera l'illustration de la deuxième catégorie celle de la littérature qui est possible grâce à la comédie, au talent des Lumières ou au théâtre. Pour finir, nous étudierons un exemple plus en détail

3.2. Division d’une pièce 3.3. Le langage dramatique 3. COMMENT REDIGER UN TEXTE DRAMATIQUE : 4.4. L’idée 4.5. Caractérisation des personnages 4.6. L’histoire ou la construction de l’intrigue 4.7. Les dialogues 4. PETIT LEXIQUE DE THEATRE BIBIOGRAPHIE NOTE DE L’AUTEUR La dramaturgie est : l’art de la composition dramatique. Ecrire est un art difficile, et il faut beaucoup de courage et de persévérance pour arriver à forger un texte dramatique

s’ils n’ont pas autre chose comme richesse. Par exemple, page 66 « Très bien, très bien ! Tu n’as rien d’autre chose ? ». En insistant comme il le fait, cela nous montre qu’il n’en à jamais assez, qu’il en veut toujours plus. Il est égoïste, radin et avare et également profiteur. Dans cette seconde partie, nous allons repérer les caractéristiques qui ont tendance à faire rire le lecteur. A la page 66, lorsque Ubu Roi lui demande qui il est, le noble lui répond qu’il est ruiné « Quels sont tes revenus

lui-même rentre sur la scène. À travers les paroles et le dialogue du début entre les deux amoureux Valère et Élise, on distingue les traits du personnage d’Harpagon. On peut citer ici Molière qui écrit dans la préface de « Tartuffe, » « Il ne tient pas un seul moment l’auditeur en balance. On le connaît d’abord le marque que je lui donne. » Ainsi dès le début de la pièce, on reconnaît Harpagon – père autoritaire, égoïste, rigide et avare. À propos de la comédie, Molière écrit dans la préface

Dionysos. II) Aristote : Le chant phallique Chorèges 1er auteur attesté Epicharme - Les Archarniens - Les Cavaliers - Les Grenouilles III) Molière = 3 nouveaux genres de comédies : - basse comédie = gestes - comique de geste : Avare, L’école des mensonges - Haute comédie : mœurs, mot : le médecin malgrès lui Comédie grec antique : - Comédie de mœurs : trait de société - Comédie de caractère : ridicule - Comédie romantique - Comédie héroïque - Comédie de farce :

classiques -pas d’ordre logique, plupart des répliques sans intérêt -dialogue chez Beckett pas la même fonction que dans le théâtre classique souvent aucune raison -didascalies composent 30% de l’œuvre langage -langage inventé, surtout insultes : « merdre », « de par ma chandelle verte », « phynance »  usage idiosyncratique -langage grotesque et vulgaire, modèle : Rabelais -des hyperboles, la redondance -dialogue selon les conventions classiques -peu de didascalies  provoque l’imagination

(v.2429) ce qui fait ressortir la différence entre l’ermite et le peuple Rat. Dans ce récit, La Fontaine établit une complicité avec le lecteur en intervenant. Question rhétorique. Pour la morale, le fabuliste s’adresse au lecteur(v.33) Dialogue avec le lecteurséduction du lecteur. II) Une satire du Clergé. 1)Un Tartuffe Un faux contemplatif, voca religieux associé à des termes qui véhiculent l’ironie. « ermitage »demeure de l’ermite. « ermite » « nouveau »étrange sorte de

j’ai appelé les bourreaux, j’ai appelé les fléaux, je me suis séché à l’air du crime, je me suis allongé dans la boue ou encore (dans nuit de l’enfer) les délices de la damnation ; un crime, vite, que je tombe au néant, de par la loi humaine, soyons avare comme la mer etc. Il remodèle le monde en inversant les valeurs traditionnelles et détruis les valeurs positives : la justice, l’espérance, la joie… : l’oubli des principes (les composés d’une beauté). La violence de cette révolte est appuyée par