Dialogue Romanesque Transformé En Dialogue Théâtrale

……………………………………page 25 Étude des œuvres ……………………………………..page 28 Œuvre 1 : Soundiata ou l’épopée manding, roman ………………………………page29 Le groupement de textes théâtraux ……………………………….page 37 Œuvre 2 : Le mariage de Figaro ………………………………..page 48 Expression écrite Questions Résumé Production écrite ………………………………………………………….page 53

les sujets soient plus riches s’ils plongent dans le Moyen Âge ou dans l’Angleterre Shakespearienne. Pour Balzac, le meilleur décor est celui d’aujourd’hui, à Paris et en province et il suffit de regarder autour de soi pour trouver les arguments romanesques les plus convaincants. Balzac et le réalisme Le courant littéraire dominant lors de la parution du « Père Goriot » est le réalisme. Qu’est-ce que le réalisme ? C’est la reproduction exacte, complète et sincère du milieu où l’on vit. Le

 entières  prouvent au contraire  qu’il existe un  langage capable  de réconcilier ces éléments  apparemment inconciliables1  ».  Son œuvre que nous avons au programme :  La nuit et le   moment,  est un  long  dialogue  entre  un  libertin   Clitandre  et  son  amie  Cidalise.  Ce  dialogue est celui d’un homme cherchant à séduire une femme en lui racontant ses  conquêtes, pour obtenir d’elle ce qu’il veut, car en lui faisant ces contes, elle prend  plus confiance en lui car il lui paraît touchant de sincérité même s’il se glisse nu dans 

........ 280 Bibliographie ........................................................................................................ 287 6 Résumé Notre travail interroge la représentation et l’attachement à la ville natale dans l’œuvre romanesque de François Mauriac, romancier français (18851970) et de Fouad al Takarli, romancier irakien (1927-2008). Notre point de départ est le suivant : le monde s’est métamorphosé, à cause de la mondialisation, en un petit village où l’individu cherche

romancier dans son livre. L’écrivain feint de ne tenir ses 4 Le Père Goriot informations que de son jeune héros, de ne montrer que ce que celui-ci a pu voir. Au début du récit, en rentrant d’un bal, Rastignac surprend d’abord Goriot en train de transformer en lingot un service de table en vermeil ; il perçoit ensuite « le son de l’or » dans la chambre de Vautrin, encore éclairée au cœur de la nuit pour une étrange visite (p. 45). Ce sont les premiers indices des « mystères » de la pension Vauquer

dans certaines névroses obsessionnelles), délires chroniques, mélancolies, monomanies et autres mythomanies et mégalomanies, etc. Sans parler des perversions, désordres psychiques et troubles de la personnalité… En un sens moins médical – et plus théâtral –, on relève cette autre définition : « caractère de ce qui échappe au contrôle de la raison » et, dans l’ordre de l’irrationnel, sont mentionnées « la folie des passions, la folie de l’imagination ». Puis sont évoqués des termes qui, de façon plus

vocations l’emportent sur les corbeaux, cela apparente l’article, par le biais de la citation de Bacon ( : philosophe du XVIIe siècle, voulant classer toutes les sciences en 3 branches : histoire, poésie, philosophie.), à une fable. C’est l’ultime dialogue avec le modèle des Encyclopédistes, sous un credo belliqueux & optimiste : le combat se poursuit, les Encyclopédistes seront vainqueurs. III. Capuchon. Multi-dialogisme de l’article : renvois, références & reproches :

le premier y tint un rôle. Les seuls moments excellents, ceux qui firent scandale à l'époque, sont dus aux quelques trouvailles originales, aux quelques délicieux détails que réussirent à y glisser les deux compères. Ainsi la course du muguet, le dialogue des animaux de la ferme, hommes travestis, et ce soldat qui, au milieu d'une orgie générale, s'effondre ivre-mort, attablé devant une bouteille de lait. Ces touches gratuites et poétiques, pour un moment, sauvent le film de la morne logique d'un

apparaissent les romans courtois, qui supplantent progressivement les chansons de geste, étant davantage adaptés au raffinement croissant de la société aristocratique. Cependant, l'histoire, sous la forme des chroniques, se dégage peu à peu des formes romanesques pour devenir, aux XIIIe et XIVe siècles, un genre à part entière. La poésie, alors chantée et accompagnée de musique, prend aussi son essor, avec les troubadours dans les pays de langue d'oc, et les trouvères dans les pays de langue d'oïl, pour

apparaissent les romans courtois, qui supplantent progressivement les chansons de geste, étant davantage adaptés au raffinement croissant de la société aristocratique. Cependant, l'histoire, sous la forme des chroniques, se dégage peu à peu des formes romanesques pour devenir, aux XIIIe et XIVe siècles, un genre à part entière. La poésie, alors chantée et accompagnée de musique, prend aussi son essor, avec les troubadours dans les pays de langue d'oc, et les trouvères dans les pays de langue d'oïl, pour