Dialogues avec l'ange

s’immoler, sortir avec l’ange qui sort, Suivre ce qu’on aima dans l’horreur de la mort, Dans le sépulcre ou sur les claies, Donner ses jours, son sang et ses illusions !... – Jésus baise en pleurant ces saintes actions Avec les lèvres de ses plaies. Rien n’égale ici-bas, rien n’atteint sous les cieux Ces héros, doucement saignants et radieux, Amour, qui n’ont que toi pour règle ; Le génie à l’œil fixe, au vaste élan vainqueur, Lui-même est dépassé par ces essors du cœur ; L’ange vole plus haut

séquence 1). - Le Supplément au Voyage de Bougainville : Œuvre de fiction qui commence comme un dialogue philosophique entre deux personnages, « A » et « B » : l’un prétend qu’il possède une partie inédite d’un récit du navigateur Bougainville, qui nous est donnée par la suite. - La tirade du vieux Tahitien s’adressant à Bougainville : Diderot y fait le procès du colonialisme : le plus civilisé dans ce dialogue n’est pas forcément celui qu’on croit. L’écrivain lui fait prononcer cette harangue (=discours

Certains artistes plus originaux ont donnés une interprétation personnelle de l’art du Caravage, ont apportés poésie propre. La Tour, Saint Joseph charpentier, vers 1640  Autour d’une bougie donne intimité et mystère aux sujets représentés. Dialogue silencieux s’établie entre eux. La lumière fragile rassemble ces personnages.    En quelques décennies des artistes puissants Carraches à Bologne et Rome et Le Caravage à Rome ont rénovés en profondeur la peinture européenne. Ils ont sortis

cette expression semble convenir certaines pices du recueil, ce n'est pas le cas pour d'autres - comme par exemple Le Chien et Le Flacon - qui, par leur inspiration franchement prosaque, par leur style familier et parfois agressif, par leur forme dialogue banale, n'appellent pas naturellement d'tre dsignes comme pomes, moins, par provocation, de dtourner le sens du mot dans le registre de la raillerie. Dans les milieux littraires, la locution pome en prose est communment employe, toujours en rfrence

déstabilisant mais tend à l’essentiel. I- « Une trame qui reconfigure le destin héroïque en terme d'humanité » a) Un récit déstabilisant mais qui tend à l'essentiel Le lecteur est directement impliqué dans le récit car celui-ci s'ouvre sur le dialogue du préposé au registre d'écrou avec des supposés interlocuteurs présents dans la taverne. Il serait envisageable d'émettre l'hypothèse qu'il s'agirait d'une entrée dans la poésie « in medias res » particulière au poète. Ici, le lecteur à une vision

Proust, À la recherche du temps perdu 4. Montaigne, Essais 5. Rabelais, Les Cinq Livres 7. Blaise Pascal, Pensées 8. Molière, Théâtre 9. Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions 10. Stendhal, Le Rouge et le Noir 11. Platon, Dialogues 12. Stendhal, La Chartreuse de Parme 13. François Villon, Le Testament 14. Rimbaud, Œuvres poétiques (y compris les Illuminations) 15. Cardinal de Retz, Mémoires (s:Mémoires (Cardinal de Retz)) 16. Tolstoï, Guerre et Paix 17. Saint-Simon

troyennes de la nation bretonne, écrire l’histoire et vulgariser la connaissance de l’Antiquité pour un public laïc (vogue pour le matériau antique) apports dans l’invention de l’écriture romanesque : portraits, descriptions, monologues, dialogues, importance du personnage féminin, amour... Arthur, un nom, une légende : nom issu d’un nom romain (Artorius, chef militaire des Bretons contre les envahisseurs saxons vers 500), à la frontière entre réel et imaginaire : figure légendaire

ses élèves, et l’harmonie revient dans leur lieu de réunion. « Pourquoi faire cela, si tu es tellement supérieur ? demande un voyageur. – Parce que, lorsqu’ils me défient, ils cherchent en vérité à me parler et que, de cette manière, je maintiens le dialogue », répond le guerrier. 31 A vant d’entreprendre un combat important, un guerrier de la lumière se demande : « Jusqu’à quel point ai-je développé mon habileté? » Il sait que des batailles qu’il a menées autrefois il a toujours retenu quelque

n’en ai jamais vu. » (p.45) Dans la scène 3 de l’acte II, Lennox dit juste avant la découverte du cadavre de Duncan par Macduff : lire p.71. Et Ross dit ceci « devant le château de Macbeth » à un vieillard, après le meurtre de Duncan : lire leur dialogue à partir du vers 943, pp.76-77. Le même Ross présente en ces termes l’Ecosse à Macduff qui s’enquiert de l’état de sa patrie, p.120, scène 3 acte IV : « La pauvre terre, / Presque épouvantée à se voir ! » (v.2015-2016) Mais l’ancrage historique de

(ainsi que de leurs héritiers : les longs métrages écrits par Billy Wilder – Sept ans de réflexion – Richard Curtis – Coup de foudre à Notting Hill – ou par les frères Farrelly – Mary à tout prix), je voulais retrouver le rythme très rapide et les dialogues au couteau qui entraînent les personnages dans des joutes verbales.   Dans le même temps, j'avais envie d'écrire une histoire qui emprunte le ton de la comédie et de mettre en scène un personnage très féminin, libéré et excentrique qui débarquerait