Diaspora arménienne

de la guerre. Les colonisés doivent quitter leur pays et s’adapter au climat et aux conditions dures de la vie. Des territoires sont occupés et les civils souffrent aussi des réquisitions et des indemnités à payer. En 1915 a lieu le GÉNOCIDE DES ARMÉNIENS: 1,5 millions de personnes sont massacrées. DEF *GÉNOCIDE = extermination complète de tout un peuple. LA MOBILISATION Les pays doivent fournir à l’armée des hommes mais aussi des armes et des munitions. Les Etats mettent en place une ÉCONOMIE DE

lance-flammes envoyés par les Allemands. Enfin, on connaît la guerre sous-marine qui s’est déroulée dans l’Atlantic Nord. Il y a également le génocide arménien : l’empire ottoman est en guerre contre la Russie, aux côtés de l’Allemagne et de l’Autriche-Hongrie, des Jeunes-Turcs sont au pouvoir. Le gouvernement donne l’ordre d’exterminer les Arméniens : le génocide est légalisé. En 1916, un événement dramatique arrive c’est la bataille de Verdun : de février à juin, il y a une attaque allemande, résistance

l’effort de guerre (première partie). Elles ont aussi été des guerres d’anéantissement particulièrement brutales et meurtrières pour les civils (deuxième partie). Elles ont connu enfin les premiers génocides de l’histoire du XX° siècle, celui des Arméniens en 19141918, celui des Juifs et des Tsiganes en 1939-1945 (troisième partie). Développement Première partie : La mobilisation des civils pour l’effort de guerre. Les civils ont participé à l’effort de guerre sous des formes diverses. – Comme combattants

que l' on doit essayé de readapter a la vie civile.La France a perdu 10% de sa population masculine active. 6 millions de personnes reviennent invalides : ce sont les "gueules cassées". À ces morts, s'ajoutent aussi les victimes du génocide des arméniens par les turcs en 1915 et les victimes de la grippe espagnole. Sur les lieux de bataille, les destructions matérielles sont très importantes, les reconstructions sont coûteuses. [modifier] Le nouveau visage de l'Europe L'Europe après la guerre

Les canons en action de Gino Severini Contexte : 1915 : génocide arménien, également défaite serbe. Ici le contexte, c’est la guerre de mouvenment qui se transforme en guerre de position. Severini, dans la logique du cubisme des "papiers collés" introduit le mot et l'onomatopée. Il glisse ainsi vers une peinture-poème. Certains des procédés peuvent paraître rudimentaires, le "bboumm" de la détonation par exemple. D'autres s'efforcent de préciser la technique elle-même, "perfection arithmétique"

disputent les unes aux autres le monopole de la primauté ». « L’identité, écrit Vidal-Naquet, se construit autour de l’exclusion et je n’admets pas l’exclusivité mémorielle, je la refuse absolument, d’où qu’elle vienne, juive, arabe, chrétienne, arménienne, etc. Et je n’admets pas non plus l’obsession de la mémoire en tant qu’obsession ». Lamémoire, écrivait-il, doit entrer dans l’histoire comme objet d’étude. Vidal-Naquet livrera ses derniers combats contre les LOIS MÉMORIELLES. « Je suis contre

violence de la guerre touche aussi tout le monde : Les veuves et les orphelins sont très nombreux à la fin de la guerre. Les civils sont parfois visés (villes bombardées...). La guerre est aussi le cadre dans lequel va se produire le génocide des Arméniens dans l'Empire ottoman. L'Etat ottoman va faire mourir environ un million d'Arméniens durant la Première Guerre mondiale. VI)Le bilan et les conséquences de la guerre : Le bilan humain est terrible : dix millions de morts au moins, des millions de

avec leur baïonnette ou leur couteau. La violence de masse sur les civils : le génocide des Arméniens : 1915 Un Génocide : extermination intentionnelle et systématique d’un peuple. Décrire et expliquer le génocide des Arméniens : - Arméniens : minorité chrétienne vivant à la frontière avec la Russie sur le front entre Ottomans et Russes. - Gouvernement ottoman a décidé d’exterminer les Arméniens en 1915 en les déportant vers des camps de concentration. - Environ 1 million de victimes

où la protestation contre cette loi était à son comble, paraissait, dans le Libération du 13 décembre 2005, cet appel signé par dix-neuf personnalités, qui associait dans un même rejet la loi Gayssot, celle reconnaissant le génocide dont les Arméniens ont été victimes, et la loi Taubira qualifi ant l’esclavage et la traite négrière de crimes contre l’humanité. Il se terminait sur une phrase péremptoire : « Des articles de lois successives – notamment lois du 13 juillet 1990, du 29 janvier 2001

l'Union Européenne. Les membres de l'Union Européenne exigent de la Turquie qu'elle admette la réalité du génocide Arménien perpétré entre 1915 et 1916. En effet la République turque refuse de reconnaître l'existence du génocide arménien. (Une des conditions de l'entrée de la Turquie relève de cette acceptation. ) « Nier la réalité factuelle et morale du génocide arménien relève non pas de l'étude historique mais d'une propagande destinée à affranchir les coupables de leurs responsabilités,