Dick Cheney

Opérations d’Urgence (PEOC) de la Maison Blanche, et qu'il y avait vu le vice-président Dick Cheney en discussion avec un assistant, lequel venait régulièrement l’informer de la progression du vol 77. On ne sait guère quand a commencé cet échange entre Cheney et son assistant. Quoi qu’il en soit, le vol 77 était repéré bien avant l’heure indiquée dans le rapport. Un rapport qui maintient, par ailleurs, que Dick Cheney n’est arrivé au PEOC qu’à 9h58. Un rapport qui n’a pas intégré le témoignage, fort

processus de déréglementation grâce aux nombreux appuis de K. Lay dans le monde politique. D’ailleurs K Lay est issu du monde politique puisque avant de prendre la direction d’Enron, il était secrétaire à l'énergie sous Ronald Reagan. G.W. Bush, Dick Cheney, Franck Wisner (ambassadeur des USA en Indes), Bill Clinton, John Wakeman (conservateur britannique)… la liste des politiques ayant bénéficié des largesses d’Enron en échange de tel ou tel service est longue, tant aux Etats-Unis qu’à l’étranger

en Indonésie, Eugene Rostow ou encore Richard Pipes, membre de la team B et du Comité, qui fut nommé au National Security Council. C’est aussi à cette époque que les néo-conservateurs rencontreront au sein de l’administration Donald Rumsfield et Dick Cheney. A la fin de l’ère Reagan étaient déjà fixés les objectifs les plus radicaux des néo-conservateurs. La fin de la guerre froide est alors l’occasion d’une réorganisation de l’agenda néo-conservateur. III TROISIÈME AGE  : RAIDISSEMENT DE LA

leur pays de leurs compétences. Géostratégiques : Comment expliquez-vous la tentation américaine de recruter des mercenaires (ex-officiers colombiens) en Colombie par la société Halliburton Latinoamérica, anciennement dirigé par le vice-président Dick Cheney (source El Tiempo) ? G.F. DUMONT : Le besoin crée l’offre. Partout dans le monde, ceux qui considèrent avoir besoin de mercenaires en recrutent. Rappelons par exemple ces slaves qui dirigeaient les avions ivoiriens de Laurent Gbagbo pour bombarder

extérieure marquée du sceau de ce que l’on pourrait appeler – selon le point de vue plus ou moins critique qui est adopté – un « impérialisme coercitif » ou un « universalisme messianique » n’est pas née avec l’administration républicaine Bush-Cheney. Bien qu’implicitement accepté, le changement de régime reste donc envisagé comme le produit d’un processus, supposé inéluctable, de maturation politique des sociétés non- démocratiques. Les États-Unis ne peuvent dès lors qu’accélérer

(ou FAUCONS) ont pris une part majeure dans le lancement de la guerre en Irak. Toutefois, l'administration Georges W.Bush n'était pas aussi monolithique qu'on pourrait le croire. En son sein résidaient des « nationalistes arrogants » comme Dick Cheney ou Donald Rumsfeld, pour qui la propagation de la démocratie ne fait pas partie des obligations de l'Amerique. Ils ont cependant contribué à l'élaboration du concept de « Guerre préemptive ». C'est à la guerre qui consiste à la projection de la

en tenant tête à une partie de leurs alliés, en particulier ceux de la "vieille Europe", à savoir la France et l'Allemagne. Cette politique unilatérale a été couronnée d'un net succès militaire puisque l'armée de Saddham Hussein, surévaluée par Dick Cheney comme étant la "quatrième du monde", a été littéralement pulvérisée. Mais, d'un autre côté, cette guerre a aussi révélé des faiblesses. Les Etats-Unis n'ont pas su tenir compte des avis ; ils n'ont absolument pas tenté de protéger les civils lors

sur les marchés à terme comme un malade. Rappelons en outre le secrétaire de l'armée (300 millions de $) ; Le conseiller économique du président Bush qui était consultant d'ENRON ; Le négociateur auprès de l'OMC ; Le vice président américain Dick Cheney, qui a lancé le plan de relance de l'énergie, qui a fait flamber les actions ENRON ce qui a aidé les dirigeants à vendre. IV. Les conséquences de la déréglementation : Bien que certains économistes comme restent nuancés sur ce point, pour

réseau pétrolier. Le choix fut facile pour l’administration Bush : protéger l’or noir du terrorisme plutôt que la forêt amazonienne de la déforestation. Ainsi, les intérêts économiques du pays de l’oncle Sam ne sont pas menacés. Le 5 mai 2001, Dick Cheney, le vice-président américain, annonçait un retour du charbon, de l’énergie nucléaire et des combustibles fossiles pour satisfaire les besoins de la population. Il alla même jusqu’à les qualifier « d’énergies du futur » lors de cette conférence de

et Rio de Janeiro, des données stratégiques concernant les dernières recherches de Petrogas ont disparu. Pour le transport, la compagnie brésilienne avait fait appel à la société Halliburton, dont l’ancien Pdg n’est autre que le vice-président Dick Cheney. Les accusations d’espionnage industriel ont alors fait la une des journaux et ce vol est devenu une affaire d’Etat. L’enquête diligentée par les plus hautes instances du gouvernement brésilien a finalement découvert que le vol avait été commis