Diderot Autorité Politique

est une monarchie absolue c'est à dire que le Roi possèdent les pouvoirs exécutifs, législatif ainsi que judiciaire. C’est un monarque de droit divin, c’est-à-dire qu’il est le représentant de Dieu sur Terre, et donc, possède une autorité indiscutable. Cependant, son autorité est quelques peu limitée. Il doit respecter les Lois fondamentales du royaume qui sont, d’être catholique, de combattre l’hérésie, de maintenir la paix et la justice, et de ne pas choisir son successeur. Mais, au 18e siècle, les

l'encadrement juridique des phénomènes politiques. Toute activité politique relève de la règle de droit, se doit d'être soumise au droit. Le droit constitutionnel est l'ensemble des règles contenues dans la constitution qui vont soumettre et encadrer l'activité politique. Ainsi l'État, premier producteur des normes, se doit d'être soumis au droit, à la constitution. La France est donc un État de droit. A) Saisir le phénomène politique La politique est une action ( programme,...) mais également

desquels s’engage le combat des Lumières, un combat qui sera à la fois de rupture et de continuité. Le XVIIe siècle s’achève dans un tourbillon d’idées mais aussi dans une atmosphère de conflit généralisée. La crise est à son comble : crise des idées politiques et sociales, guerres et crises des États, crise des idées et des sentiments où s’affrontent newtoniens et cartésiens... Sa fécondité, il la doit cependant en grande partie à ses crises. Dans sa poursuite des remèdes contre celles-ci, dans sa lutte

Michel Equyem de Montaigne est une figure fondamentale de la pensée de la Renaissance. Issu d'une famille fortunée, il reçoit une excellente éducation inspirée des préceptes humanistes. Magistrat de formation, Montaigne est très impliqué dans la vie politique de son pays en tant que conseiller à la Cour des aides de Périgueux et surtout maire de Bordeaux de 1581 à 1585. Fatigué par ces fonctions, le penseur se retire dans son domaine et sa 'librairie' pour se consacrer à la lecture et à l'écriture. Inspiré

en s’appuyant sur des arguments et des exemples fondés et précis. Dans l’article « Autorité » de l’Encyclopédie, Diderot conteste l’autorité, et plaide la liberté. Cela apparaît tout particulièrement dans la phrase : « Aucun homme n’a reçu le droit de commander aux autres ». Cet article de L'Encyclopédie définit l'autorité mais est aussi une critique de la monarchie absolue de droits divins. La théorie de Diderot est que l'autorité n'est pas naturelle. Il existe deux sortes d'autorité : celle qui

philosophes des Lumières aspirent à une autorité politique non despotique, à une morale libérée du joug de l'Eglise, à une société affranchie de la violence et du fanatisme mais aussi l'émancipation intellectuelle, politique et parfois sociale de l'humanité. Il s'agit là des grandes préoccupations d'un siècle qui débute symboliquement par la Révolution anglaise et s'achève avec la Révolution française. La tradition chrétienne ne distingue pas religion et politique, de ce fait toute rébellion contre

collectif qu’elles produisent. Comment ce tableau illustre-t-il l’idée de communauté savante ?L'essor des sociétés savantes en Europe date du XVIIIe siècle. Elles réunissent des intellectuels qui échangent sur des sujets philosophiques, artistiques, politiques ou scientifiques, ouvrant un champ nouveau dans la connaissance et dans sa diffusion. Aujourd'hui, la notion de « communauté savante» souligne le fait que le chercheur fait partie d'un réseau : ses travaux sont le fruit d'interactions et de débats

Lumières. Les penseurs, scientifiques et écrivains impriment cette époque de leurs esprits critiques en se donnant pour tâche d’éclairer (d’où la métaphore de la lumière) par la « Raison » une humanité plongée dans l’obscurantisme : les anciennes idées politiques et religieuses qui nient tout progrès et tout nouveau savoir et qui s’opposent à la science et à la diffusion des idées nouvelles et progressistes ; à l’image d’Emmanuel Kant (philosophe allemand) qui scande en 1784 : « Sapere aude ! Aie le courage

« révolution »= changement brutal. A partir de 1789 : La France connaît une révolution. Le système politique en place, la monarchie absolue, est brutalement remplacé par un nouveau régime. Si le changement est brutal, les causes sont anciennes. 3 types de causes : -des causes philosophiques, issues des Lumières, -des causes sociales et économiques, dues à la situation immédiate, -des causes politiques, présentées par des modèles de révolution que sont les révolution anglaises et américaine. I. Les

élaboration. Le message de soumission qu’elle développe est fort, tant face à l'empereur que face à Dieu. Le pouvoir est toujours d'origine divine. L'obéissance religieuse sert la politique. À tel point que, sous Constantin, le catholicisme devient religion licite (en 313) par l'édit de Milan et prend même une place en politique. En 380, Théodose, avec l'édit de Thessalonique, fait du catholicisme une religion d'État. Il existe aujourd'hui encore des tribunaux ecclésiastiques qui appliquent le droit canonique