Differences Et Points Communs Entre Totalitarisme Et Régime Autoritaire

Mais on voudrait tenter de démontrer ici qu’elle est demeurée constamment présente en tout cas dans ce champ, depuis le positivisme, notamment depuis 1890 avec les écrits de Garofalo jusqu’à aujourd’hui, en passant bien sûr par la phase des États autoritaires des années trente, mais aussi, après guerre, par le courant de la défense sociale nouvelle. La voici aux premières loges dans les réformes d’aujourd’hui après qu’elle ait muté ; non pas tant peut-être en raison des évolutions de la psychiatrie

distinctions entre l’Etat et le pouvoir à la fois dans le temps et dans l’espace. 1. Distinctions Etat et pouvoir dans le temps Le phénomène étatique est un phénomène daté dans le temps contrairement au phénomène du pouvoir qui existe depuis toujours.Il existe l’Etat cité et l’Etat nation. L’Etat cité : il est nait au Vème siècle avant J.C, et les disciples de Socrate étaient qualifié de médecins qui guérissaient Athènes de ces maux. Platon est un ancêtre du totalitarisme alors qu’Aristote

et une histoire communes. La conception française, inspirée de Renan, fait primer un vouloir-vivre ensemble; ici, c'est la volonté collective de vivre ensemble fondée sur une histoire commune qui prime. Cependant, il n'y a pas forcément coïncidence entre Etat et nation. En effet, des nations peuvent être écartelées entre plusieurs Etats, et des Etats peuvent être multinationaux. De plus, certaines nations, comme par exemple la Palestine, peuvent ne pas être dotées d'Etat. D'un point de vue temporel

Emmanuel KANT, Projet de paix perpétuelle (*) ✓ Georg Wilhelm Friedrich HEGEL, Philosophie de l’Histoire ✓ Karl MARX, Le Capital ✓ Alexis de TOCQUEVILLE, De la démocratie en Amérique (*) ✓ Raymond ARON, Démocratie et totalitarisme ✓ http://www.philagora.net/philo-poche/ (cours de philosophie niveau terminale) ✓ http://www.philosophiepolitique.net/ (forum de philosophie politique) ✓ http://www.doc-etudiant.fr/ (forum étudiant multidisciplinaire)

CONCORDANCE AU NIVEAU FÉDÉRAL ......................................... 30 4.6. DÉMOCRATIE DE CONCORDANCE ET GROUPES D'INTÉRÊTS.......................................................................... 31 4.7. LA DÉMOCRATIE DE CONCORDANCE EST UN RÉSEAU ENTRE ORGANISATIONS ............................................. 31 4.8. LES MENACES QUI PÈSENT SUR LA DÉMOCRATIE DE CONCORDANCE ........................................................... 32 4.9. PETITE CONCLUSION À PROPOS DE LA DÉMOCRATIE DE CONCORDANCE

contexte sociohistorique et culturel1939-1960Contexte historiqueÉvènements marquantsSeconde Guerre mondiale. Occupation de la France par le régime nazi, celle-ci divisée entre collaborateurs et résistants. Après-guerre et constat de l’holocauste et des destructions provoquées par la bombe atomique. Division du monde en deux blocs entretenant la Guerre froide entre les États-Unis et l’Union soviétique. Décolonisation par suite du désir de libération des peuples sous tutelle européenneContexte politiqueBloc

Savant et le Politique. - La liberté : difficulté de définir la liberté : la liberté extérieure de « faire ce que je veux » de Spinoza ou Hobbes ou la liberté intérieure par laquelle je me détermine moi-même de Rousseau ou Kant. Malgré ces différences, la liberté permet à l’homme d’être l’auteur souverain, de fait et de droit, du monde humain. Et c’est dans la démocratie que la souveraineté humaine est mise en œuvre et en scène (ex : l’élection au suffrage universelle). La difficulté réside

avoir à l’esprit les grands mécanismes : lire, interpréter, qualifier… Le travail essentiel du juriste est de définir des notions, d’où l’importance capitale d’apprendre les définitions des concepts juridiques données. Chacune des notions apporte un régime juridique qui lui est propre. Il faut savoir distinguer ces notions et ensuite appliquer une solution de droit à une situation donnée. L’important est de comprendre les grands principes qui irriguent le Droit. La théorie générale du Droit transcende

on peut avoir une conception plus large de la politique, on peut l’appréhender comme la science du pouvoir, l’approche de Weber par ex, qui considère que toutes les relations de pouvoirs, dominant/dominé sont de nature politique. Relève du pouvoir entre gouvernant/gouverné. Ce qui fait que la politique serait donc l’activité de ceux qui exercent ce pouvoir institutionnalisé, ce pouvoir exercé au nom de l’état, de ceux qui détiennent au nom du pouvoir le monopole de la coercition. La politique étant

« inhérents à sa personne, inaliénables et sacrés », et donc opposables en toutes circonstances à la société et au pouvoir. Ainsi le concept de droits de l’homme est-il par définition universaliste et égalitaire, incompatible avec les systèmes et les régimes fondés sur la supériorité ou la « vocation historique » d’une caste, d’une race, d’un peuple, d’une croyance, d’une classe ou d’un quelconque groupe social ou individu ; incompatible tout autant avec l’idée que la construction d’une société meilleure