Différence Névrose Psychose Pour Freud

spécateur recoit et s'imagine un monde imagination semble permettre la quête du bonheur : Socrate passe par étude descartes médecine pleine satisfaction de nos désir la dureté dur réel oblige l'imagination a soulager notre âme pascal freud imagination nous trompe : trompe l'oeil totalitarisme media imagination monstre pourtant elle ne semble pas toujours essentiel sartre elle permet la fuite : : honte ... oui non : analyse freudienne imagination est la pour

Elle apparaît en général entre 15 et 35 ans et le plus souvent vers l’âge de 20 ans. C’est une psychose, une affection mentale caractérisée par un relâchement des modes habituels d’association des idées, un affaiblissement de l’affectivité, un repliement sur soi-même avec perte de « contact vital avec la réalité » c’est surtout ce qui fait la gravité de la maladie et c’est ce qui la différencie de la névrose. Pour Bleuler, cette notion recouvre celle de démence précoce, de paraphrénie une grande partie

la fois, ouverture et fermeture, moteur et résistance à l'inconscient. Après que Freud eut écarté le traitement cathartique, puis renoncé à la pratique de l'hypnose et de la suggestion, le transfert devint la clef de voûte, au fondement même de la cure...Dans la construction de la théorie psychanalytique, ceci ne lui épargna pas les déconvenues de l'interprétation . Par ailleurs, dans les textes fondateurs de Freud, il est très difficile de trouver quelque référence à la cure d'adolescents. Si nous

1967 et l'adolescent son point de butée...ajouterions nous volontiers. Avec l'adolescent il est en effet très difficile sinon impossible de se référer à la cure type et à sa direction.... .Hormi à quelques exceptions près de jeunes suffisamment névrosés adressant une demande à un psychanalyste et pour commencer accepte de s'allonger sur un divan. Le dispositif de la cure appliqué à l'adolescent relève à ce stade d'une gageure car elle se heurte à une aporie...Que ce soit les tenants des PIP,

30 CHAPITRE III PERSPECTIVE PSYCHANALYTIQUE ET LE ROMAN FAMILIAL DES NÉVROSÉS 3.1 Pertinence du cadre théorique freudien . .. . . . . .. .. . . . .. .. .. . . . . . . . ... . . .... .. 34 35 38 41 3.2 Le rêve, la découverte de l'inconscient et la théorie du refoulement 3.3 Le roman familial des névrosés 3.4 Le genre romanesque, Vendredi ou les limbes du Pacifique, et le Roman familial des névrosés .. .. .. . .. .. .. . .. . .... ... .. .. .. ... .. .. .. ... .. .... IV

INITIATIQUES 30 CHAPITRE III PERSPECTIVE PSYCHANALYTIQUE ET LE ROMAN FAMILIAL DES NÉVROSÉS 3.1 Pertinence du cadre théorique freudien . .. . . . . .. .. . . . .. .. .. . . . . . . . ... . . .... .. 34 3.2 Le rêve, la découverte de l'inconscient et la théorie du refoulement 35 3.3 Le roman familial des névrosés 38 3.4 Le genre romanesque, Vendredi ou les limbes du Pacifique, et le Roman familial des névrosés .. .. .. . .. .. .. . .. . .... ... .. .. .. . .. .. .. .. . .. .. .... 41 IV

Sigmund FREUD (1908) “ La création littéraire et le rêve éveillé ” (Traduit de l’Allemand par Marie Bonaparte et Mme E. Marty, 1933). Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, bénévole, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

période les recherches se multiplient rapidement pour explorer un domaine qui se révèle très vite extrêmement vaste. Il s’agit en effet de prendre comme objet d’étude l’animal comme l’homme, de considérer celui-ci dans sa généralité comme dans ses différences, d’étudier le malade et le sujet dit normal, l’enfant comme l’adulte, l’individu pris isolément aussi bien qu’inclus dans ses groupes sociaux, familiaux ou culturels. La grande diversité de ces problèmes a forcément entraîné une diversification

« Le commerce de l’enfant avec la personne qui le soigne, écrit Freud, est pour lui une source continuelle d’excitation sexuelle et de satisfaction partant des zones érogènes, d’autant plus que cette dernière (en général, la mère) fait don à l’enfant de sentiments issus de sa propre vie sexuelle, le caresse, l’embrasse et le berce, et le prend tout à fait clairement comme substitut d’un objet sexuel à part entière. » [1]. Et Freud d’ajouter que la mère serait effrayée de savoir ce qu’elle fait.

« Le commerce de l’enfant avec la personne qui le soigne, écrit Freud, est pour lui une source continuelle d’excitation sexuelle et de satisfaction partant des zones érogènes, d’autant plus que cette dernière (en général, la mère) fait don à l’enfant de sentiments issus de sa propre vie sexuelle, le caresse, l’embrasse et le berce, et le prend tout à fait clairement comme substitut d’un objet sexuel à part entière. » [1]. Et Freud d’ajouter que la mère serait effrayée de savoir ce qu’elle fait.