Diktat De Munich

..................5 2 : Années d'études et de souffrances à Vienne .....................................................................12 3 : Considérations politiques générales touchant mon séjour à Vienne..................................36 4 :Munich.................................................................................................................................66 5 : La guerre mondiale ............................................................................................

très succinctement. Le facteur déclenchant communément évoqué est l'arrivée au pouvoir de Hitler, le 30 janvier 1933, et il est clair que l'installation dans la première puissance du continent européen d'un régime acharné à prendre sa revanche sur le diktat de Versailles et à conquérir un vaste "espace vital" ne pouvait qu'avoir un effet très fortement déstabilisateur. Mais il ne faut pas oublier que le Japon, en envahissant la Mandchourie chinoise en septembre 1931, avait déjà considérablement affaibli

après la « Nuit de Cristal », les nazis voulant par la violence forcer les Juifs à quitter l’Allemagne. 4) La marche à la guerre : L’objectif à court terme d’Hitler est de remettre en cause le traité de Versailles considéré en Allemagne comme un « Diktat ». L’armée allemande est reconstituée avec en 1935 la création de la Wehrmacht, la rive gauche du Rhin remilitarisée l’année suivante, sans véritable réaction française. L’Allemagne nazie soutient militairement pendant la guerre d’Espagne le général

1920, et tout le monde est persuadé que la guerre va être perdue par ce pays. On met donc le charbon à l’abri. Mais la Pologne renverse la tendance. Sentiment de trahison. Problème reste pendant toute l’entre deux guerres. Lors de la conférence de Munich en 1938, quand Hitler récupère les Sudètes, les Polonais récupèrent Teschen suite à la débâcle. II) L’esprit des traités. A) un édifice homogène Construire un nouvel ordre géopolitique, et les négociateurs veulent construire une paix

arché° · 1925 : révolte Syrie nécessite envoi armée · Diktat de Versailles : début janv 1919 Versailles 1er problème :traitement vaincu non invité (seul° signature)

sont longtemps isolé, jusqu'à a la première guerre mondiale et s’engage désormais dans les RI. L’image que l’on donne de leurs puissances également. La puissance et l’image que l’on en donne joue beaucoup. Les traumatismes également. Le syndrome de Munich en 1938, le syndrome de Verdun en 1916-1917. Ces traumatisme jouent beaucoup dans les RI. Les commémorations également. Mémoire mal digéré qui ont un rôle important. Les questions d’identités. Existe-t-il une identité européenne. Notamment à Paris

Allemagne est l'unique responsable de la guerre ce qui ne va pas du tout passer du coté des Allemands. Les puissances victorieuses disent cela. C'est ce que l'on appelle: mensonge de la culpabilité allemande. L' Allemagne dit que Versailles est un diktat. Que c'est une paix dictée. La France a trop voulu mettre l'Allemagne à genoux. Du coté Italien, elle commence du coté de l'Autriche Hongrie et en 1915 elle change de camps et fait partie des puissances victorieuses. L' Italie aurait voulu obtenir

Allemagne. Les Allemands ont le sentiment qu’ils n’ont pas été vaincus, mais que le pays a été trahi par l’arrière, par les politiciens ou encore les criminels de novembre (1918), ceux qui ont signé l’armistice, les nationalistes appelleront cela le diktat de Versailles5. Ce n’est pas l’armée qui a perdu la guerre, mais l’arrière qui s’est effondré. 1. L’Allemagne en révolution Elle aboutit à un changement de régime, la république de Weimar. Mais dans la suite, il y a une autre révolution, la révolution

Maginot qui doit le protéger du IIIe Reich). 2 Munich : l’ultime clivage Comme les autres démocraties, la France courbe l'échine face à l'Anschluss en mars 1938 : ce n'est là -pense-t-on !- que l'expression de la réunion de populations allemandes quant il s'agit en fait d'accepter la notion d'espace vital ; mais la paix est sauve. Quand Hitler menace la Tchécoslovaquie de dépeçage, Daladier et l'Anglais Chamberlain se précipitent à Munich pour signer un traité. A son retour au Bourget, le

guerre et de carburant dues par leurs alliés. Les traités de Versailles, de Saint-Germain, de Trianon et de Neuilly suscitent rancœurs et désirs de reconquête chez les peuples allemands, autrichiens, hongrois et bulgares. En Allemagne, on fustige le diktat du traité de Versailles, les lourdes indemnités de guerre et la perte de "terres allemandes" comme la Haute-Silésie. Le ressentiment est particulièrement fort en Italie, où l'on parle de «victoire mutilée», l'Italie n'obtenant pas l'attribution des