Diktat

République de Weimar connaît une forte agitation politique et sociale. Au début de l'année 1919, le gouvernement libéral et les corps francs affrontent les spartakistes. Par la suite, la vie politique se stabilise mais le mécontentement reste fort face ou Diktat du traité de Versailles, qui impose de lourdes indemnités à l'Allemagne, l'occupation d'une partie de son territoire et l'interdiction de se militariser. Si le nationalisme favorise la création du parti national-socialiste des travailleurs allemands

Guerre mondiale Le règlement du premier conflit mondial, par l'intermédiaire des traités de 1919 et 1920, a suscité nombre de rancúurs en Europe. En Allemagne tout d'abord, dès les années 1920, se fait jour un véritable ressentiment à l'égard du « Diktat » de Versailles. Les efforts de rapprochement franco-allemand, sous l'impulsion du Français Briand et de l'Allemand Stresemann permettent de masquer ce ressentiment mais pas de le faire disparaître. Aussi, à la fin des années 1920, c'est sur la base

grave. Désignée comme responsable de la Première Guerre mondiale par le traité de Versailles, elle doit payer de lourdes réparations aux vainqueurs (en particulier à la France). Une partie importante de la population allemande ressent très mal le « diktat » de Versailles qui provoque colère et frustration. Ce sentiment favorise la montée d'un nationalisme allemand à l'esprit revanchard qui réclame une Allemagne forte et expansionniste (les défenseurs du pangermanisme veulent une reconquête de tous

provoquées essentiellement par les difficultés économique –inflation, conditions de vie difficiles-. Le règlement de la paix entraîne également des frustrations parfois très profondes, comme en All où le traité e Versailles est considéré comme un Diktat ou chose imposée ou en Italie, pays vainqueur mais qui voit ses revendications territoriales écartées (terres irrédentes et protectorat sur l’Albanie). Les démocraties n’arrivent pas à surmonter ce climat de mécontentement et une partie de l’Europe

république se heurte immédiatement à une double opposition : l’extrême gauche révolutionnaire et l’extrême droite nationaliste. Mais cette République devient impopulaire pour deux raisons essentielles : 1/ Elle accepte le traité de Versailles ou Diktat de Versailles qui humilie le pays et qui fait naître le nationalisme. En effet, à l’issue de l’armistice à laquelle l’Allemagne n’a pas été associée à la table des négociations, on lui inflige des réparations en termes financiers pour...

Analyse du comportement (voir mapping) 1. Les années 80 / 90 : l’apparence comme socialisation Ce sont les années où l’apparence se vit comme une norme sociale extrêmement codifiée (c’est alors le règne du style BCBG) et où s’impose le double diktat de la minceur et de la jeunesse, incarné jusqu’à l’excès par Kate Moss. L’apparence représente avant tout l’expression d’un statut social, constituant dès lors un puissant moyen d’intégration, avec des marques utilisées comme des signes extérieurs

sein du petit DAP (parti allemand des travailleurs) qu’il doit espionner au profit de l’armée. Une nébuleuse conservatrice bavaroise (nationalistes et anciens combattants) critique la nouvelle république de Weimar qui signe en juillet 1919 le « diktat » de Versailles. Dans ce contexte de dénigrement du pouvoir, Hitler développe ses qualités de tribun : il donne, le 12 août 1920, sa première conférence, « pourquoi sommes-nous antisémites ? », dans la brasserie Bürgerbraukeller de Munich. Il sait

espagnole. - Le génocide arménien CONSEQUENCES Politiques -Création de la SDN - Plus de républiques - Les problèmes de nationalités demeurent: Dantzig, sudètes, Istrie, Dalmatie. -Le Traité de Versailles est mal accepté par les allemands (diktat). a) Une Europe redessinée Le Traité de Versailles signé avec l’Allemagne le 28 juin 1919 cherche avant tout à éviter qu’elle refasse une nouvelle guerre. Les autres traités signés avec l’Autriche, la Hongrie ou la Turquie démembrent les empires

PEUT ON FAIRE DES REPROCHES A LA BONNE CS ? Rousseau qualifie la conscience d'«instinct divin», alliant alors nos pulsions animales au pouvoir suprême, qui permet à l'homme de distinguer le bien du mal. En effet, l'homme, cet être si singulier, possède la pensée et ses réflexions lui ont permis d'inventer le concept de moralité. Ainsi, la bonne conscience devient le juge de l'esprit, et règne chez celui qui «éprouve le sentiment de n'avoir rien à se reprocher» (Lalande). Mais est-il si facile d'acquérir

européennes par son ampleur et son traumatisme immédiat et à long terme. Cette guerre a alors favorisé la remise en cause des régimes politiques existants et laisse une Allemagne ridiculisée devant la signature du Traité de Versailles, perçu comme un « diktat ». Dans les années 30, l’Europe voit alors naître et s’épanouir des systèmes politiques d’un genre nouveau : les totalitarismes, c’est-à-dire un système politique ne se contentant pas de contraindre mais fondé sur le contrôle de la société par un