Dindon sauvage

Le Mythe du Bon Sauvage Le mythe du « bon sauvage » est l'idéalisation des hommes vivant en contact avec la nature. L'idée que le « bon sauvage » vit sur un paradis terrestre avant le péché originel s'est développée au 18ème siècle , ayant pour origine les explorateurs et les conquérants de la Renaissance. En effet, dès la fin du 15ème siècle Cristophe Colomb (en 1492) , Vasco de Gama (en 1497) , Magellan (en 1519) et Jacques Cartier (en 1534) avaient respectivement fait route vers l'Amérique

(l25/26). Interrogations qui sont des interpellations pour B et le lecteur sur le comportement des colonisateurs. Il y a ici une vision du bonheur qui repose sur le mythe du bon sauvage vision idéalisé du bonheur. Mythe forgé par le 18° siècle : Diderot pose le problème du colonialisme, il pense que les peuples « sauvages » sont plus heureux que les occidentaux (idées exotiques/utopiques) par leur simplicité sens de vertu chimérique.

L'homme à l'état naturel n'a aucun contact avec ses semblables : il vit de manière individuelle et indépendamment des autres, et il n'a pas besoin des autres. Du coup, chez les hommes sauvages, il n'y a pas de guerre et de notion de propriété : ils n'aspirent ni à posséder un espace privé ni à asservir autrui. L'homme sauvage est « sujet à peu de passions » : il n'a donc aucune raison de nuire à ses semblables comme le fait l'homme social.  L’opposition nature - culture culture : la culture désigne

autant » etc.) antithèse (l.13) – – – – 3) – – dernière phrase Indien (l.27 à 29) = équilibre parfait ; groupement binaire rapprochement morale protestante : nature pourvoit besoins nécessaires supériorité Indien par rapport € mythe du « bon sauvage » Vanité réfléxion mort : inutilité plaisirs + biens terrestres question Indien (l.18) CCL : - récapitulatif toutes étapes – Léry pose base réflexion à partir expérience perso. OUVERTURE : Les Essais Montaigne à travers extrait « Des coches » :

égyptiens sont des philosophes, or ils tuent les roux, donc pourquoi ne pas rendre les noirs esclaves. * Rappel du commerce triangulaire : « collier de verre »l.18 * // : « nègres n’ont pas de sens commun//notion policée » : cf au Mythe du bon sauvage * « l’or » l.18 : cf à la cupidité des Européens Arguments religieux * Raisonnement basé sur l’absurde avec un syllogisme implicite nous sommes chrétiens, or on rend esclaves les noirs, donc ils ne sont pas des hommes. * Allitération

suite connaissance avec les Kerkabon, qui le logent et en quelque sorte, l’adoptent. En effet, l’abbé de Kerkabon découvre qu’il est son oncle. L’Ingénu est un Huron ayant de nombreuses qualités malgré une éducation limitée (en écho au mythe du bon sauvage) et surprend par son charisme, lequel fera succomber Mlle de Saint-Yves. Mais l’amour entre ces deux protagonistes est impossible. En effet, Mlle de Saint-Yves, doit être la marraine de l’Ingénu quand il sera baptisé, ce qui, selon les préceptes catholiques

permet une socialisation de l'éduqué ce qui permet d'avancer dans la vie. Hors ces relations aux autres signifie qu'on ne peut se former soit même quand on est isolé, quand est est séparé de la société. Dans le film de François TRUFFAUT L’Enfant Sauvage, inspiré de l'histoire de Victor de l'Aveyron, on peut observer un enfant (Victor) qui est découvert par des chasseurs et amené au Dr Itard (François TRUFFAUT). Cet enfant aurait été abandonné dès son plus jeune âge et aurait grandi sans aucune éducation

les troupeaux de chevaux sauvages), Eusébio (le grand père de Folco qui est pêcheur), le manadier (patron d’Antonio), Rita (la jument mère de Crin Blanc), le petit frère de Folco (Petiot ou Petitou), Giusèpe (ancien gardian, ami d’Antonio). LIEU : La Camargue (dans le Sud de la France en Provence) CHAPITRE 1 : LES BOHEMIENS Alors que Folco se déplace dans les marais sur le barquet (petite barque) de son Grand-Père Eusébio, il tombe nez à nez avec un poulain sauvage tout blanc et sa mère. Folco

Relevés : I.1) -prise de position claire de l’auteur : pronom personnel « je » et présent gnomique. « il n’y a rien de barbare » (l.1) = jugement, aphorisme, réflexion personnelle. -texte construit sur l’opp. prétendu barbare/prétendu civilisé : l.5 « sauvages » (répété) -progression de l’argumentation : Thèse sous forme d’assertion (l .1) construite sur paradoxe pour choquer le lecteur Argument n° 1 : on juge que de par les usages de son pays (l. 3 « parfaite religion, parfaite police.

philosophe des Lumières, rédaction de l'encyclopédie avec Voltaire et Diderot. 1750, développement de son idée essentielle : l'homme naît bon dans la nature mais c'est la société qui le corrompt. Opposition avec idée des lumières → né le mythe du bon sauvage = idée d'un bonheur originel perdu avec progrès des sociétés I: Un texte argumentatif fondé sur une fiction. -Double nature du texte → Texte présente caractéristiques aussi bien argumentatif que narratif, nombreux passé l.35, nombreux liens temporels