Dionysos

entité plutôt qu’un groupe d’individus. Dans la seconde génération de tragédies athéniennes, le chœur avait plus souvent un rôle central dans la pièce. Dans Les Bacchantes d’Euripide, par exemple, le chœur, qui représente les servantes fanatiques de Dionysos, devient un des personnages principaux. Bien qu’Eschyle ait réduit à 12 le nombre de choreutes, le chœur garde une grande importance dans ses pièces. Ainsi il tient le rôle clé du protagoniste dans Les Suppliantes, et celui de l’antagoniste dans

Apollon Léto est vénérée à Délos Chronos Saturne Fils d’Ouranos et Gaia Dieu du temps Rhéa Cybèle Fille d’Ouranos et Gaia et femme de Chronos Déesse de la terre et des animaux, on la représentait vivant au fond des bois, sur les montagnes Dionysos Bacchus Fils de Zeus et Sémélé Dieu de la vigne Déméter Cérès Fille de Chronos et Rhéa, mère de Perséphone Déesse du blé, de l’agriculture et de la moisson. Perséphone Perséphone Fille de Déméter et Zeus, femme d’Hadès Reine des enfers

pour sa famille. On peut donc dire que la représentation est la... 2 Le théâtre est né et s’est développé au cours des VI et Vemes siècles avant JC en Grèce. Il était tout d’abord utilisé lors de représentations pendant les cérémonies dédiées à Dionysos (dieu du vin et de la fête) sous forme de concours où le gagnant remportait un bélier. Les pièces jouées étaient des tragédies (histoires dramatiques) et seuls les hommes pouvaient être acteurs. Pour les rôles féminins, ils changeaient simplement

l'humanité, le "théâtre" désignait l'acteur qui racontait, qui revivait une expérience de chasse, de conflit, pour la partager avec son groupe (tribu, famille...). Dans la civilisation occidentale on considère les cortèges en l'honneur du dieu grec Dionysos comme les premières représentations théâtrales, bien avant le VIe avant Jésus-Christ 3. C'est en effet d'abord à l'époque grecque antique qu'apparaît le Theatron (θέατρον, qui vient de θεάομαι : regarder, contempler). Le terme désigne alors l'hémicycle

l'humanité, le "théâtre" désignait l'acteur qui racontait, qui revivait une expérience de chasse, de conflit, pour la partager avec son groupe (tribu, famille...). Dans la civilisation occidentale on considère les cortèges en l'honneur du dieu grec Dionysos comme les premières représentations théâtrales, bien avant le VIe avant Jésus-Christ 3. C'est en effet d'abord à l'époque grecque antique qu'apparaît le Theatron (θέατρον, qui vient de θεάομαι : regarder, contempler). Le terme désigne alors l'hémicycle

mot dédale vient de DAÏDALOS "Dédale", architecte légendaire grec, constructeur du labyrinthe de Crète et père d'Icare. (Un dédale est un labyrinthe.) L'adjectif dionysaque vient de DIONYSOS, dieu de la Vigne, gai, bon vivant et parfois cruel. (dionysaque qualifie ce qui a rapport à la signification prêtée à Dionysos dans la mythologie.) Le mot écho vient de ÉCHO, nymphe des eaux et des bois, personnification de l'écho. Le mot égérie de EGERIA "égérie", nymphe qui conseillait Numa Pompilius, roi

été foudroyé par Zeus pour le punir d'avoir révélé des mystères à ses élèves, d'autres parlent d'un soulèvement populaire qui aurait causé sa mort, d'autres encore justifient sa mort par la jalousie éprouvée par Bacchantes (femmes qui célébraient Dionysos) qui l'aurait déchiqueté car Orphée était resté fidèle à Eurydice. Il faut savoir que c'est autour de ce mythe que se fonda l'orphisme qui est un courant philosophique selon lequel la descente d'Orphée en est le modèle. Le mythe d'Orphée illustre

Orphée aperçut la lumière du jour il se retourna pour vérifier qu’elle était bien derrière lui et il la perdit ainsi pour toujours. Lorsque Dionysos envahit la Grèce, Orphée négligea de l’honorer. Tous les matins il se levait pour saluer l’aube sur le sommet du mont Pangée et il prêchait qu’Hélios qu’il appelait Apollon, était le plus grand des dieux. Dionysos le livra aux Ménades. Elles attendirent que leur maris aient pénétré dans le temple d’Apollon dont il était le desservant, firent irruption

jpgI/ Métamorphoses de Zeus et des dieux Zeus Zeus est célèbre pour ses innombrables aventures avec des mortel(le)s, des déesses et des nymphes : Danaé, Alcmène, Sémélé, Léto, Europe, Ganymède, etc. Il est le père de nombreux dieux : Arès, Athéna, Dionysos, Hermès, Apollon, Aphrodite et Artémis ; de nombreux héros : Héraclès, Persée, Castor et Pollux, etc. Avatar | Femme/MaîtresseAmant | Enfants(s) | Apparence d'Amphitryon | Alcmène | Héraclès | | Ananké | Les

sont en effet avant tout la représentation de la vie, vie qui est à la fois une comédie et une tragédie. Séparer la comédie de la tragédie, suppose une définition rigoureuse des deux termes. Or ces deux sous-genres sont mal définis. Dans son ouvrage Dionysos, Pierre-Aimé Touchard distingue la tragédie grecque, française et élisabéthaine. La première représente l'homme accablé par le destin, la seconde se concentre sur la psychologie individualiste des personnages, et la troisième est le lieu de libération