Dioscures

contemporains qui osent adorer devant lui le dieu“Amour”. Enfin, et toujours à titre seulement d’exemple, L’accumulation d’exemples ne constitue pas une argumentation. par quel " miracle " les Dioscures (ces dieux dynamiseurs du monde, venus tout droit de la tradition védique) Aucun miracle, on peut en être assuré. Les Dioscures, “Enfants de Zeus”, ne proviennent pas du Veda: ces dieux grecs et les dieux indiens sont issus en commun de la tradition indo-européenne: il n’existe pas de relation de génération entre

deux lances. On a reconnu des soldats romains en bas à gauche. Mais l'équipement romain se prête mal à cette interprétation. On a aussi reconnu des divinités. La femme à double lance serait Diane accompagnée de Mercure. On a cru reconnaître les Dioscures, Castor et Poluxe. On pense aussi avoir reconnu Mars. La partie haute prête à moins de débat. On y reconnaît Auguste assis sur un trône, le pied assis sur un bouclier. Il est à demi-nu, il est représenté comme un héros ou un demi-dieu. Il est couronné

on  l’a  dit,  était  encore  une  fillette,  au  village  dʹAphidna  en  5 6  Attique : région grecque dont Athènes est la capitale.   Hélène est fille de Léda que Zeus s’est transformé en signe pour aimer. De leur union sont aussi nés les Dioscures (Castor et  Pollux), ainsi que Clytemnestre.  Hélène, considérée comme la plus belle femme de Grèce, a plus tard épousé Ménélas, roi de  Sparte. Enlevée par Paris, prince troyen, elle est devenue le prétexte qui a déclenché la guerre de Troie. Clytemnestre a épousé 

qui est intégré à Rome au 8ème siècle ACN et devient culte au 4ème siècle ACN. Il protège le commerce et amène la victoire. Esculape (Asklépios), a été introduit en 291 ACN dans le but de mettre fin à une épidémie. Nous pouvons également citer Dioscures. Rome n’emprunte pas ses divinités qu’à la Grèce mais aussi à l’Orient. En 204 ACN, Rome est menacé, les Romains font alors appel à des Dieux étrangers : Cybèle (déesse d’Asie Mineure), qui est responsable du bien-être. Le Sénat romain décide d’introduire

ou de Saturne, divinités par trouvées jusqu'ici nous, dans représentées cette position. FiG. 38, Elle représentait aussi f]gure-t-elle vénéraient le taient Fragment de peut-être pierre votive les Dioscures; peut-être un Hermès Trismégiste. Les Grecs qui comme le dieu de la science, ordinairement tenant un volumen le représen- dans de l'une ses mains. Fragment d'une FiG. 38. colonnelle figurant un

rois, savants et guerriers étaient aussi paysans et artisans, et ceci d'autant plus aisément qu'une intense sacralité était associée à tous les actes de la vie. Cincinnatus retournant à sa charrue, l'épisode du vase de Soissons, les mythes des Dioscures révélant qu'en période de nécessaire renforcement de l'autorité les Européens élisaient deux dictateurs pour qu'ils se surveillent l'un l'autre et ne profitent pas du pouvoir à des fins personnelles, la règle parallèle du duumvirat chez les Romains

MYSTÈRES d'ÉLBVSIS 2 18 MYSTÈRES EN GÉNÉRAL Mystères de Zeus en Crète ^; Mystères d'Hécate à Égine, « où il y avait probablement des rites expiatoires et où on demandait à la déesse de pro- téger contre la folie ^ »; Mystères des Dioscures, les « enfants-chefs », à Am~ phissa ^; Mystères d'Antinoos à Mantinée *; Mystères de Dryops chez les Antinéens ^; Mystères de Héra à Argos et à Nauplie ^; Mystères des Gabires, à Thèbes, établis par Métha- pos '; Mystères de Sagra

hellénique. - Peinture. Caractère CHAPITRE IV De 598 à 491 av. J.-C. - Servius Tullius. - Tarquin le Superbe. - Les livres sibyllins.- Julius Brutus et Tarquin Collatin, consuls. - Valerius, vainqueur des Étrusques. - Bataille de Régille. - Les dioscures. - La République. - Gouvernement de Rome. - Lutte entre les patriciens et les plébéiens. - Dictature.- Appius Claudius et Valerius. - Les tribuns. - La loi agraire. - Spirius Cassius, victime du Sénat. - Les Fabius. - Publilius Valero. - Loi Publilia

Boarium [004777-78]. On a découvert une partie sa décoration architecturale en terre cuite et quelques statues de grande taille. Les temples de Saturne sur le Forum Romain (496 av. J.-C.), de Mercure (495 av. J-C.), de Ceres (493 av. J.-C.) et des Dioscures (Castor et Pollux sur le Forum—484 av. J.-C.) datent aussi de cette première phase. Celui de Ceres au pied de l'Aventin était décoré d’après Pline par des artistes grecs. Selon Pline, la statue en terre cuite de Jupiter du temple capitolin est l’œuvre

sommeil de son amant pour allumer une lampe et percer le mystère, mais perdit son amant divin et devint esclave d’Aphrodite. - Le thème de la délivrance d’une prisonnière par ses frères fut illustré par Hélène prisonnière de Thésée et délivrée par les Dioscures. - Le thème de la tache de sang indélébile, qui est le signe qu'un forfait, souvent un meurtre, a été commis, a pu être décelé dans la ‘’Gesta romanorum’’ qui date de l'an 1300 environ et où une matricide garde sur ses mains des traces de sang indélébile