Dioxyde d'azote

combustions incomplètes, quel que soit le combustible. A Paris, en 1994, il a fait 12 morts et 152 hospitalisés. Le dioxyde de soufre (SO2) est émis principalement lors de la combustion du fuel et du charbon, du gas-oil par les diesels et du raffinage des pétroles. Sa présence dans l’air ne doit pas être supérieure à 250 microgrammes par m3. Ce polluant est forte baisse. Le dioxyde de carbone (CO2), même si c’est un constituant naturel de l’atmosphère, contribue également à la pollution atmosphérique

Sommaire : 1-introduction 1-Introduction : L'air que nous respirons peut contenir des centaines de polluants, préjudiciables pour notre santé, Sous forme gazeuse, liquide ou solide. Les polluants tels que SO2, HAP, métaux lourds, oxydes d’azote, radon, CO, O3, amiante, COV et formaldéhydes, polluants allergéniques sont considérés Comme des indicateurs de pollution de l’air, nuisibles pour la santé. Ils font donc l'objet d'une Réglementation. Il faut distinguer les épisodes de pollution intense

incolore. L’air sec est composé d'environ : • environ 78 % de diazote, • environ 21 % de dioxygène, • environ 1 % d'autres gaz dont : - les gaz rares (principalement de l'argon : 0,9%), - d'autres gaz (dioxyde de carbone, ...), - et vapeur d'eau. 2. Contexte et enjeux QUELQUES CHIFFRES CLES • 11 millions de tonnes de polluants émis en France chaque année dans l'atmosphère. • 13 polluants de l'air surveillés en permanence

(gaz carbonique, méthane, oxydes d'azote, etc.) qui augmentent artificiellement l'effet de serre. Si cet ajout à l'effet de serre naturel est faible (environ +1 %), il amplifié par la vapeur d’eau et a ainsi contribué à l'augmentation de la température moyenne de notre planète d'environ 0,5 °C observée dans la seconde moitié du vingtième siècle. Quels sont les gaz participants à l'effet de serre ?  Les plus abondants naturellement sont la vapeur d'eau, le dioxyde de carbone et le méthane. Le protocole

qui motive  leur emploi. Quelques exemples d’applications fonctionnelles des nanomatériaux sont mentionnés ci‐ dessous, en partant d’une application « basique » et en terminant par une utilisation de pointe.  En cosmétique, les nanoparticules de dioxyde titane (TiO2) sont utilisées pour améliorer la  filtration des UV des crèmes solaires dites à filtration minérale. En effet mises sous forme de grains  de diamètre de l’ordre de 50‐100 nm, elles présentent une bonne absorption des UV tout en diffusant 

principalement des gaz et particules rejetés dans l’air par les véhicules à moteur (sauf ceux électrique), les installations de chauffage, les centrales thermiques et les installations industrielles : dioxyde de carbone (qui n'est pas à proprement parler un polluant), dioxydes de soufre et d’azote, poussières, particules radioactives, produits chimiques (dont certains engrais et pesticides), etc. Les véhicules à moteur De plus en plus nombreux, ils rejettent deux types de gaz portant atteinte à

animaux d'élevage (ruminants). Mais aussi par les cultures de riz et les émissions de gaz naturels, il y a aussi la vapeur d'eau (H2O) mais qui n'entre pas en compte avec notre sujet puisqu'il est naturel, mais encore l'ozone (O3) et le protoxyde d'azote (N2O) et les halocarbures dont le CFL soit chlorofluorocarbone peut communément apellé fréon dont les principales sources sont les systémes de réfrigération et de climatisation ainsi que leur untilisation en tant que propulseur dans les bombes à aèrosol

survenu à Londres entre le 5 et le 9 décembre 1952. Durant ces cinq jours, un nuage épais de fumées provenant des usines et des chauffages individuels au charbon a stagné sur le bassin londonien. Les concentrations de particules en suspension et de dioxyde de soufre (SO2) ont atteint des niveaux de plusieurs milliers de microgrammes par mètre cube (les concentrations actuelles sont plutôt de l'ordre de la dizaine de microgrammes par mètre cube), entrainant un excès de mortalité : environ 12 000 décès

qui s’amplifie au fil des années. Pour faciliter notre information sur la qualité de l’air en France, un indice de la qualité de l’air a été élaboré : l’indice ATMO. Il est calculé chaque jour à partir de la surveillance de quatre polluants (dioxyde de soufre, ozone agressif, etc). Ceci est un tableau regroupant les valeurs de l'indice ATMO II – Les effets de l’air pollué sur la santé : Chaque jour, un adulte inhale 10 000 à 20 000 litres d’air. En plus de l’oxygène et l’azote

métalliques, les rideaux et tentures et les toitures en zinc... Les analyses faites pendant plusieurs mois ont donné des valeurs de 2,2 cm3 d’acide sulfureuse par m3 par air calme et 1,4 cm3 par vent fort...   La concentration en acide sulfureuse (ou dioxyde de soufre SO2) était donc de 5.900 microgrammes (ou (5,9 mg) par m3 par vent fort et 3 700 microgrammes par vent faible. Ces concentrations sont des valeurs moyennes, ce qui laisse supposer qu’il y avait des pointes de pollution avec des niveaux bien