Dis-moi qui tuer

les aimes encore. En lisant la suite de cette lettre j'espère que tu te rendra compte de ta méprise en me les laissant ! Comme je te l'ai dis précédemment je suis indignée, outrée, révoltée, irritée, choquée, scandalisée ! par le fait que tu es pu nous abandonner ainsi. Tu sais forcement que j'aime profusément nos chérubins, mais je n’hésiterai pas à les tuer pour accentuer ma vengeance. Tu vas comme toujours me comparer à Scylla la Tyrrhénienne, mais cette injure ne m'atteint plus à présent, car

tests sur des rats pour vos cosmétiques et autres, prêts à tuer par pur plaisir ! – Quelque chose qui ressemble à un homme ? Regarde-toi dans un miroir et tu en verras un. – Pardon ? Moi un homme ? Jamais ! – Bien sûr que tu en est un, ou du moins tu l'es devenu. Habités par votre haine contre les hommes, vous avez fini comme eux, vous vous êtes même approprié leurs langues, leurs cultures, leurs technologies, même leurs vêtements. Et tu dis que nous sommes cruels, et vous,,que faites-vous de nous 

a des fois de l'amour pour Madame). Monsieur passe un coup de fil, il est libéré de prison. Les deux bonnes s'affolent parce que c'est elles qui l'ont fait arrêter et ont peur que Madame et Monsieur le découvrent. Elles donc du thé empoisonné pour tuer Madame avant qu'elle n'aille voir Monsieur. Madame rentre et commence à parler d'elle-même avec Claire et Solange. On apprend qu'elle est désespérée et que si Monsieur va au bagne, elle l'y suivra; on remarque que Madame est égoïste. Les bonnes apprennent

revenues teintes de votre sang. Nous sommes libres, et voilà que tu as enfoui dans notre terre le titre de notre futur esclavage. Tu n’es ni un dieu ni un démon, qui es-tu donc pour faire des esclaves ? Orou, toi qui entends la langue de ces hommes-là, dis-nous à tous, comme tu me l’as dit à moi-même, ce qu’ils ont écrit sur cette lame de métal : Ce pays est à nous. Ce pays est à toi ! et pourquoi ? Parce que tu y as mis le pied ! Si un Otaïtien débarquait un jour sur vos côtes et qu’il gravât sur une

michel@acContacts : Grégory Michel // gregory.michel@ac-amiens.fr Jonathan Rouviller // 03 22 22 24 76 // jonathan@comdepic.com 62 rue des Jacobins, 80 000 Amiens 03 22 22 20 20 / www.comdepic.com « Ce que l'on aime avec violence finit toujours par vous tuer.» Guy de Maupassant dans La Nuit 2 Sommaire Biographie de Maupassant Fiche élève (biographie de Maupassant) Portrait de Ladislas Chollat Entretien avec Ladislas Chollat Résumé du Lit 29 Le contexte politique Le Lit 29, satire sociale et

trouve folle à mener aux loges, elle, de verse des larmes pour un fend-le-vent qui prenait son argent et qui allait boire avec des rien-de-drôle. Et les chimères qu’il lui contait après, c’est pas disable! » (p.209) o « Remarque ben ce que je vous dis : on en saura peut-être jamais la fin de tout ce qu’il nous a pris, ce survenant-là. C’est une permission du bon Dieu qu’il soit parti! » (p.210) • Sous-argument 1.3 : Pour Pierre-Côme Provençal, la sédentarité est supérieure au nomadisme car il

généralement personne ne les soupçonne. Ils utilisent toutes les races pour servir leurs desseins diaboliques. Ils divisent pour mieux régner, fournissent les armes et de l'argent aux deux côtés d'une guerre, encourageant les gens à se battre et s'entre-tuer, dans le but d'atteindre leurs objectifs. Ils encouragent le terrorisme et la guerre atomique et provoquent délibérément les famines mondiales. Leur premier but est de former un gouvernement mondial pour avoir le contrôle complet du monde entier, en

corrige, la justice condamne mais la justice ne tue pas. La justice française ne peut pas être immorale or la peine de mort est immorale. Tuer est immorale. Alors oui, les crimes commis par les personnes concernés sont immoraux mais est-ce une raison pour s’abaisser à leur niveau ? Devons-nous répondre à la violence par la violence, à la mort par la mort ? Moi, je le dis et je le répète, je crois en la morale des Français et je suis convaincue que la France ne mérite pas de réinstaurer des mesures barbares

MESSAGE POUR LE DIRECTEUR GÉNÉRAL I Il y a quelques jours, au commencement de février 1900, je reçus la visite d'un de mes amis qui vint me trouver à Londres où je réside en ce moment. Nous avons tous deux atteint l'âge où, en fumant une pipe pour tuer le temps, on parle beaucoup moins volontiers du charme de la vie que de ses propres ennuis. De fil en aiguille, mon ami se mit à invectiver le Département de la Guerre. Il paraît qu'un de ses amis vient d'inventer une chaussure qui pourrait être très

« Fais en bon usage, ma Chérie ». À cet instant précis, je ne compris pas la signification de son propos. Je la compris bien plus tard. Ce cadeau contenait deux livres. Le titre du premier me laissa perplexe, je ne savais quoi en penser : Deux jours à tuer de François d’Epenoux. Je dois avouer que la couverture de cet ouvrage éveilla en moi une certaine curiosité : Un homme dans un jardin, seul face à la mer, comme un retour à la nature… Quel secret renfermait ce livre ? J’allais bientôt le découvrir