Discours Aristide Briand

le texte 1 est issu d’un journal officiel radical de Saint Nazaire, signé par Aristide Briand lui-même. Né en 1862, il fut un brillant élève dans sa scolarité car il recevait de nombreux prix tels que la version latine et grecque, 1er prix de version grecque au concours général, 2ème prix d’histoire et d’anglais au lycée de Nantes dont il était boursier. Après avoir été élève du collège de Saint-Nazaire, Aristide Briand entre comme élève boursier au lycée de Nantes. Aussi, il passe directement en

que ces criminels car même s’il n’est pas lui-même un bandit, se réjouir de voir ces têtes coupées « pour lesquelles [ton] Dieu a souffert » (l.24) est aussi mal que de tuer directement quelqu’un. Dans son discours extrait du Journal officiel, annales de la Chambre des Députés, Aristide Briand déclare qu’une société qui applique la peine de mort n’est pas une société civilisée. Il qualifie cela de « meurtre social » (l.9) qui se cache par honte, au même titre du meurtre privé qui lui « se cache par

effectuera toutes ses études, il se sent « ultra-patriote ». Mais après les révélations de l’horreur de la guerre, il devient pacifiste et partisan d’un rapprochement franco-allemand. Il s’intéresse alors à Aristide Briand qu’il admirera toute sa vie et auquel il rend hommage en publiant Moi, Aristide Briand en 1981. 1926 : Jean Bruller publie son premier album de dessins, 1931 : Jean Bruller se marie avec Jeanne Barrusseaud qui gère une librairie à Paris. 1940 :Jean Bruller devient menuisier, ne voulant

l'Ecole alsacienne où il effectuera toutes ses études. Mais après les révélations de l’horreur de la guerre, il devient pacifiste et partisan d’un rapprochement franco-allemand. Il s’intéresse alors à Aristide Briand qu’il admirera toute sa vie et auquel il rend hommage en publiant Moi, Aristide Briand en 1981. 1923 : Jean Bruller obtient son diplôme d’ingénieur de l’Ecole Bréguet. Il dirige la revue qu’il vient de créer, L’Ingénu. 1928 : Jean Bruller rencontre Diego Brosset qui devient un ami jusqu’à

monarchistes appuient cette demande avec l’objectif de déstabiliser le régime et de mettre un terme à la République. Le 4 mai 1877, la Chambre des députés s’empare du débat. Léon Gambetta, qui trouve que Jules Simon n’est pas assez ferme, prononce un discours enflammé dans lequel il dénonce les positions ultramontaines. Il termine en considérant « traduire les sentiments intimes du peuple de France » lorsqu’il cite son ami Alphonse Peyrat : « Le cléricalisme ? Voilà l’ennemi. » Jugé trop modéré par les

et à l'Ecole alsacienne où il effectuera toutes ses études, après les révélations de l’horreur de la guerre, il devient pacifiste et partisan d’un rapprochement franco-allemand. Il s’intéresse alors à Aristide Briand qu’il admirera toute sa vie et auquel il rend hommage en publiant Moi, Aristide Briand en 1981.  Jean Bruller devient célèbre en   publiant Le Silence de la mer, publié clandestinement, car il parle de la résistance contre le nazisme, mais ce projet avorte à cause d’une perquisition de

européenne fondée sur le droit et sur la paix. Les penseurs européens : L'Europe doit s'organiser sans l'hégémonie d'une puissance. Victor Hugo = après la guerre de 70, volonté construction des Etats-Unis d'Europe "Soyons les Etats-Unis d'Europe" discours du 1er mars 1871 à l'Assemblée nationale. Ses idées paraissent utopistes tant les rivalités nationales sont fortes. 2) L'entre-deux-guerres : les occasions manquées • contexte favorable jusque dans les années 30 : Fin de la première guerre

Soyons la même République, soyons les États-Unis d'Europe, soyons la fédération continentale, soyons la liberté européenne, soyons la paix universelle[5] ! » Cette expression sera d'ailleurs reprise, dans les années 1920 par Aristide Briand. Un autre célèbre discours de Victor Hugo en faveur de la création d'une union du continent européen, est l'appel à l'union européenne en faveur de la Serbie pour l'aider dans sa lutte d'indépendance contre l'occupation turque[6]. Après la Première Guerre

jamais remplacer le pasteur ou le curé, parce qu’il lui manquera toujours la radicalité du sacrifice de sa vie et le charisme d’un engagement porté par l’espérance” Cette citation de monsieur Sarkozy, président de la république, est extraite d'un discours réalisé au Vatican le 20 décembre 2007. Tout d'abord, essayons de comprendre le sens des paroles de notre Président. Si l'on suivait la logique des précédentes paroles de Monsieur Nicolas Sarkozy, le rôle de l'instituteur ne se trouverait pas dans

contentèrent de transmettre leurs bons vœux au mouvement. A l’issue de ce congrès, Aristide Briand, ministre français des affaires étrangères et plus tard premier ministre, devint en 1927, président d’honneur du mouvement Paneurope, ce qui constituait une avancée importante. En effet, Coudenhove nourrissait l’espoir que, grâce à Briand, l’idée de l’Europe se propagerait depuis la sphère privée jusqu’au cœur même du pouvoir. Briand se donna du temps, et ce n’est qu’en septembre 1929, lors de la réunion de