Discours Contre Fortune

épuisée en peu de temps ; et, maintenant que je suis sans un sou, ils ont la barbarie de me repousser brutalement lorsque je fais un pas vers elle. Il n'y a qu'un instant, qu'ayant osé m'en approcher malgré leurs menaces, ils ont eu l'insolence de lever contre moi le bout du fusil. Je suis obligé, pour satisfaire leur avarice et pour me mettre en état de continuer la route à pied, de vendre ici un mauvais cheval qui m'a servi jusqu'à présent de monture." Quoiqu'il parût faire assez tranquillement ce récit

attachèrent des colliers d'or, et les Heures à la belle chevelure la couronnèrent des fleurs du printemps. Minerve entoura tout son corps d'une magnifique parure. Enfin le meurtrier d'Argus, docile au maître du tonnerre, lui inspira l'art du mensonge, les discours séduisants et le caractère perfide. Ce héraut des dieux lui donna un nom et l'appela Pandore, parce que chacun des habitants de l'Olympe lui avait fait un présent pour la rendre funeste aux hommes industrieux. Mariage d'Épiméthée et de Pandore

qui laissent entendre le personnage, didascalie, verbes d’action, présent d’énonciation (=nous le voyons en train d’agirPrésence du dialogue (discours direct) : cela donne à entendre les personnages. Chaque personnage se caractérise par son discours.Acis dialogue avec Acis (ou moraliste à Acis) mise en valeur de l’obscurité de son langageArrias : discours pour se défendre, insistances + réponse de SéthonNicandre : fausse modestie, grossiereté, maladresse Théodecte : bruit, pas de parole

président de la République au suffrage universel directe, Mitterrand appelle à voter contre. Le oui l'emporte avec 62,25 % des suffrages exprimés. En 1965, il est le candidat unique de la gauche à l'élection présidentielle. Il axe sa campagne sur le changement comme l'indique son slogan de campagne : "Un président jeune pour une France moderne". Au second tour, Mitterrand est battu avec le score de 45,51 % des suffrages contre 54,49 % au général de Gaulle. En 1969 lors du congrès d'Alfortville est crée le

voyaient le présent et l'avenir dans l'appui de sa main puissante. » Mais Bonaparte voyait en Madame de Staël une femme beaucoup trop influente et n’était pas d’accord avec ses idées républicaines. Elle est alors chassée de France et se retourne contre Bonaparte. « Ce qui caractérise le gouvernement de Bonaparte, c'est un mépris profond pour toutes les richesses intellectuelles de la nature humaine : vertu, dignité de l'âme, religion, enthousiasme, voilà quels sont, à ses yeux, les éternels du

déterminées par le mode d’acquisition, par la position du prince au moment où il devient maître de l’Etat. La politique est définie comme un exercice de domination. Définit deux sortes de principats : héréditaire et nouvellement acquis (par fortune heureuse ou vertu) Les subdivisions en deux parties donnent une impression d’assurance et d’objectivité - Chap II : Dans un principat héréditaire le prince a seulement à prolonger l’ordre établi. En cas de perte du pouvoir il peut espérer

harmonie avec la magnificence de ses fortunes territoriales. Cet espace mis entre une classe et toute une capitale n’estil pas une consécration matérielle des distances morales qui doivent les séparer ? ». Condamné par Balzac (cf. La Duchesse de Langeais) car ce monde n’a pas su s’adapter aux temps modernes, il suffirait, écrit-il dans un autre contexte, « d’un coup de hache pour trancher le fil de sa vie agonisante ». Le quartier de la Chaussée-d’Antin, par contre, est un quartier neuf, qui ouvre sur

qui sera rebaptisé Pléiade en 1553. Le groupe se donne pour mission de définir de nouvelles règles poétiques. Dans ce cadre, du Bellay rédige en 1549 une « Défense et illustration de la langue française ». Il y prône l’usage du français en poésie, contre celui du latin, jusqu’alors quasi-exclusif. Son projet est de rendre la langue française moins « barbare et vulgaire » en l’enrichissant avec ses amis de la Pléiade. Il souhaite également re-populariser les genres poétiques utilisés pendant l’antiquité

du peuple) et se propose à l'épreuve du commandement et des lois. Il y glisse une menace voilée adressée au Coryphée, le soupçonnant de corruption (au service des esprits rebelles). Il faut noter que lors du règne d'Œdipe, Créon menait une vie de fortune tranquille, comme un roi, sans toutefois devoir se soucier de toutes les angoisses du pouvoir. Le Garde vient alors informer le roi de la violation de son décret, sans toutefois connaître l'identité du coupable. Le Coryphée suggère à celui-ci que

multiplient favorisant une monoculture (une culture par domaine). Les esclaves offrent une main-d’œuvre abondante et bon marché. Ils sont dirigés par un esclave nommé l'intendant car le maître n’est pas toujours l’exploiteur direct de son domaine. Par contre, ils ont plus de chance de gagner leur liberté, à travers leur travail. b)Les esclaves employé par une familia Urabana : Cette famille vit à la ville. Les esclaves effectuent des travaux à l'intérieur de la maison. Ils font aussi les courses pour