Discours De Gaulle 31 Janvier 1964

bourgeoisie : le pouvoir revient aux notables. Louis Napoléon Bonaparte est élu au suffrage universel le 11 décembre 1848. Chapitre 1 : Le second empire : de 1852 à 1870 : Louis Napoléon Bonaparte vient à Dijon le 1er juin 1848 et prononce un discours : «  la France ne veut ni retour à l’ancien régime, ni laisser d’utopies funestes et impraticables ». Il désire mettre un terme à la révolution et combiner pouvoir fort et suffrage universel (≈ dictatorial) Article 45 de la constitution de 1848 :

« destructions épouvantables » (général de Gaulle), hors de proportion avec l’enjeu du conflit, que pourrait entraîner une agression contre les intérêts vitaux[1] de la France. Cette doctrine inscrite dans la politique de défense française, fait de la dissuasion une arme de riposte (ou de seconde frappe) : la France ne saurait l’employer en premier mais en réaction à une attaque grave. Elle a été réaffirmée par le président J. Chirac lors de son discours devant l’IHEDN en 2001 (annexe I, document

contradictions du monde colonial dans l’Entre-deux-guerres A/ Des empires à leur apogée - Durant l’Entre-deux-guerres, le monde colonial connaît son extension maximale, puisque 42% des terres émergées en relèvent (surtout Afrique et Asie), soit 31% de la population mondiale - Ce monde colonial est immense avec 3 empires principaux : - Le plus important, l’empire Britannique contrôle les Indes, qui sont la perle de leur empire (les rois Britanniques successifs porteront le nom de « souverain

serait qu’un état colonial, c’est un etats européen , pour eux c’est une colonie. La ligue est opposée à la création d’un état juif. Les métropoles plus ou moins prêtes. La Grande Bretagne relativement prête car les British se sont entrainé car en 31 après une démarche longue et réfléchie, le parlement britannique à voter le statut de WEST MINSTER qui accordait l’indépendance à 4 états qui avaient joué un rôle clef en tant que colonie dans la première guerre mondiale. Le Canada, l’Australie, la

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du Comité central lui-même nommé par le Congrès du Parti. Le Conseil des ministres de l'URSS assure la mise en œuvre de la politique décidée par le Politburo, sous la direction de son Président : cette fonction fut assurée par Alexis Kossyguine de 1964 à 1980, avec une certaine autonomie vis-à-vis du Secrétaire Général, Brejnev, dont l'autorité ne fit cependant que s'accroître jusqu'à sa mort en 198216. Le Président des États-Unis, élu au suffrage universel indirect, est le chef du pouvoir exécutif

que l’on redoute de voir attenter aux droits naturels et imprescriptibles du citoyen : de l’autre, nécessité pour le gouvernement de disposer des moyens nécessaires à la satisfaction des services publics. » (Weil et Pouyaud) Le droit est tjrs un discours de pouvoir. On voit qu’il a une dimension politique. Section IV : Le DA : définition retenue : « Le DA est l’ensemble des règles juridiques distinctes de celles du droit privé qui régissent l’activité administratives des personnes publiques » (Rivero

et les Extra-terrestres, en 1978. Données clés Nom de naissance Louis Germain David de Funès de Galarza Naissance 31 juillet 1914 Courbevoie (Seine) Nationalité Drapeau de France Français Décès 27 janvier 1983 (à 68 ans) Nantes (Loire-Atlantique) Profession Acteur Pianiste Films notables La Traversée de Paris (1956) Le Gendarme (saga, 1964-1982) Trilogie Fantômas (1964-1967) Le Corniaud (1965) La Grande Vadrouille (1966) Oscar (1967) La Folie des grandeurs (1971) Les Aventures de

les arguments duquel, il cita le retrait du décret Crémieux, parmi les raisons qui l'avaient fait renoncer à revendiquer la citoyenneté française). Par la suite, en 1943, le Comité français de la Libération nationale présidé par le général de Gaulle rétablit le décret Crémieux. Puis, il adopta, le 7 mars 1944, une ordonnance qui reprenait, en les élargissant, les dispositions du projet Blum-Viollette, en faveur des musulmans. À partir de 1946, les colonies françaises sont devenues des

donc s’’attacher à comprendre l’’enjeu du rôle du président de la nouvelle République roumaine. Iliescu comme le général De Gaulle en 1944 et en 1958, symbolisent « l’’homme providentiel », celui qui a sauvé la Nation de périls extérieurs et intérieurs. A ce titre, ils prétendent à une certaine légitimité. Ils deviennent présidents des structures en place. Le Général De Gaulle incarne le résistant à l’’oppresseur de 1940 à 1944, le libérateur du 25 août 1944. Il est élu, le 13 novembre 1945, président