Discours De Mme De Beauséant A Eugène

: Le Père Goriot Honoré de Balzac, Le Père Goriot, 1835 Chapeau : Eugène de Rastignac, jeune homme issu de la noblesse pauvre de province, est monté à Paris pour y étudier le droit et tenter de réussir dans le monde. Il se rend chez sa cousine, la vicomtesse de Beauséant. Celle-ci vient d’apprendre la trahison du duc d’AjudaPinto, son amant, qui va la quitter pour se marier ; elle accepte cependant d’être pour Eugène une sorte de mentor, conseillère expérimentée et digne de confiance. Notes

nous est proposée dans cet extrait ? Que révèle le discours de Mme de Bauséant sur elle-même ? Comment s’organise la leçon donnée au novice ? Situation du passage. Rastignac vient de faire une bêtise chez Madame de Restaud : la porte de l’une de fille du père Goriot lui sera désormais fermée. Il va chez sa cousine, la très aristocratique et très en vue Madame de Beauséant qui va lui proposer son aide. Se souvenir que Madame de Beauséant est une femme blessée sentimentalement mais d’une dignité

1ère lecture analytique Goriot : Début du roman à« …dans son cœur peut être » Intro :Balzac est né à Tours en 1799 et est mort à Paris en 1850. Il est l’un des principaux représentants du réalisme. Ils affirment vouloir : « faire concurrence à l’état civil », il voulait représenter tous les aspects de la société de son temps. Son œuvre la plus grande et la plus variée comprend des romans historiques comme Les Chouans (1829). Il y aussi des romans philosophiques comme La Peau de Chagrin (1831)

l’abbé qui enseigne à Lucien le monde de la noblesse tout comme dans l’extrait du Père Goriot de Balzac où Mme de Beauséant enseigne ce monde à Eugène de Rastignac. Honoré de Balzac est un écrivain, romancier, dramaturge, journaliste, imprimeur et critique littéraire français. Il appartient à un milieu bourgeois. Il est l’inventeur du roman moderne. Cet extrait est tiré du roman de Balzac intitulé Illusions perdues. C’est l’un des plus longs romans de la Comédie Humaine. Il a été publié en trois

siècle. Honoré de Balzac est né à Tours le 20 mai 1799 et décédé à Paris le 18 août 1850. Il est considéré comme le plus grand écrivain français dans le domaine du roman réaliste du roman philosophique et du roman fantastique. Baudelaire le considérait comme un visionnaire.[2]. Mais il est difficile à classer dans l'une ou l'autre catégorie, son œuvre couvrant un champ si vaste que les critiques, tant de son siècle que du siècle suivant, passeront beaucoup de temps à lui chercher une étiquette appropriée

s'installe a Paris en 1914, Balzac va au pensionnat du fait des discordes avec sa mère. Il devait être notaire mais veut devenir homme de lettre. En 1820, il débute par un échec avec sa pièce Cromwell. C'est seulement en 1828 avec Les chouans qu'il commence à se faire connaître. Sous la restauration, il va chercher une solution dans un légitimisme moderne, organisé et unificateur. Après être entré en contact avec Mme Hanska en 1832, elle lui donne un fils en 1836 et il se marrie avec elle

laisserez crever à chaque relais, vous arriverez ainsi au faite de vos désirs. Voyez-vous, vous ne serez rien ici si vous n’avez pas une femme qui s’intéresse à vous. Il vous la faut jeune, riche, élégante. Mais si vous avez un sentiment vrai, cachez-le comme un trésor ; ne le laissez jamais soupçonner, vous seriez perdu. Vous ne seriez plus le bourreau, vous deviendriez la victime. Si jamais vous aimiez, gardez bien votre secret ! ne le livrez pas avant d’avoir bien su à qui vous ouvrirez

Tout au long de chacun de ces deux romans se tisse l’éducation d’un jeune homme, Eugène de Rastignac chez Balzac, Frédéric Moreau chez Flaubert, qui cherche à percer dans « le monde », cette « chose vague, miroitante et indéfinissable », dit le narrateur de L’Education qui observe par les yeux de Frédéric. Plus précisément, les deux scènes que nous allons analyser présentent chacune une femme, chez Balzac Clara de Beauséant, une grande dame de l’aristocratie « au moment de sa chute » sociale ; chez Flaubert

naquit le 20 mai 1799 à Tours (ville sur la Loire). A huit ans, il entre comme pensionnaire au collège Vendôme où il y passera six années. Il en est retiré le 22 avril 1813. En 1814, sa famille déménage et s’installe à Paris. Elle inscrit Honoré au collège Charlemagne. A dix-sept ans, il commence des études à la faculté de Droit et simultanément comme petit-clerc chez un avoué. A vingt ans, en 1819, il obtient son baccalauréat de Droit mais il abandonne ses études pour se consacrer à la littérature. Il

| | |Quand le corbillard vint, Eugène fit remonter la bière, la décloua, et plaça religieusement sur la poitrine du bonhomme une image qui se | |1 |rapportait à un temps où Delphine et Anastasie étaient jeunes, vierges et pures, et ne raisonnaient pas, comme il l'avait dit dans ses cris| | |d'agonisant. Rastignac et Christophe accompagnèrent seuls, avec deux croque-morts, le char qui menait le pauvre homme à | | |Saint-Étienne-du-Mont