Discours De Pierre Mendes

ministérielle. B) La volonté de réviser la constitution. Phrase d’accroche : Cette citation « Le gouvernement rend compte à l’assemblée comme le serviteur à son maitre » est de Pierre Mendès France dans laquelle il affirme que le gouvernement de est à la merci du parlement. Délimitation :Cet extrait de texte est un discours à la nation francaise prononcé le 24 septembre 1934 par Guston Doumergue. Ce dernier est un homme d'État français,président de la République française sous la IIIe République

économique, propagande, violences, à illustrer de nombreux exemples précis : nuit de Cristal, camps de concentration, lois de Nuremberg, … *Aboutir à une notion indispensable : il s’agit d’un régime totalitaire II Travail sur documents : 1. Discours de Pierre Mendès France qui date du 26 avril 1965 intitulé « l’avis d’un membre du gouvernement de Léon Blum sur le front populaire » 2.Gouvernement du front populaire à direction socialiste, dirigé par Léon Blum. C’est un gouvernement d’alliance de la

renforcement des forces de l’ordre. Mendès- France déclare alors « Entre l’Algérie et la France, il n’y a pas de sécession concevable » Le gouvernement lance un programme ambitieux de réformes, croyant que le mécontentement vient de la misère et du mal développement  Mais ne se décidant ni pour l’intégration, ni pour la reconnaissance des spécificités algériennes, la réforme mécontente les européens d’Algérie comme les nationalistes de Messali Hadj. Le gouvernement Mendès-France tombe ainsi en février

de la rencontre entre une situation et un homme : le Général De Gaulle. Aujourd’hui, force est de constater que la Vème République est toujours en place. Dans un discours historique prononcé à Bayeux, première ville libérée, le 16 juin 1946, le Général De Gaulle énonce son idéal conceptuel de l’état et des institutions. Ce discours inspira vivement les constituants de 1958 et le Général De Gaulle sera considéré comme « le père fondateur de la Vème République » A l’occasion de la commémoration

très éloignés de ceux qui animent aujourd'hui le FMI. Contestant une proposition américaine, plusieurs pays s'opposent alors aux "quotes-parts" qui leur sont allouées et qui détermineront leurs droits de vote au sein de l'institution. "En dépit du discours très éloquent et émouvant du délégué des Etats-Unis, (....) je tiens à dire que les quotes-parts proposées pour mon pays sont inacceptables", s'écrie le représentant iranien. Le délégué chinois campe sur la même ligne mais tient à dire qu'il "hésite

Constantinois s'organisant en groupes d'autodéfense. 2e rang : discours de Charles de Gaulle au GG d'Alger (« Je vous ai compris ») ; rassemblement d'« Européens » au Forum d'Alger le 13 mai 1958 avec bannières « de Gaulle au pouvoir » et « Ville d'Hussein Dey » ; anciens combattants musulmans « harkis » au Forum en 1958. 3e rang : insurrection de la semaine des barricades en janvier 1960 ; émeutiers anti-indépendantistes du FAF jetant des pierres aux M8 Greyhound de l'Armée française le 9 décembre 1960

question de l’Algérie : c’est cessez le feu et négocions. Il n’obtient pas l’investiture. - Coty décide de confier le gouvernement à Pierre Pflimlin qui lui est un partisan de la négociation avec le FLN. Pflimlin obtient la confiance de son gouvernement. En réaction le 13 mai à Alger les « ultras » (partisans de l’Algérie française), sous la direction de Pierre Lagaillarde et du général Massu, vont réaliser un putsch militaire à Alger et vont créer un comité de salut public sous la direction du

Mitterrand dans un éditorial du Courrier de la Nièvre. Les auteurs et commanditaires de l'attentat, Philippe Castille, Michel Fechoz et René Kovacs notamment, avaient motivé leur action par la nécessité de remplacer le général Salan, considéré avec Pierre Mendès France comme le liquidateur de l'Indochine, par un général authentiquement favorable à l'Algérie française. Pour François Mitterrand, « Raoul Salan garde le droit de récuser certains de ses accusateurs qui, pour corriger la maladresse de l'avoir

malade, le 31 décembre 1882. La République lui réservera des obsèques nationales. A EDGAR FAURE (18 août 1908 - 30 mars 1988) N é à Béziers en 1908, Edgar Faure achève ses études à Paris où il devient avocat à 20 ans et se lie avec Pierre Mendès-France. Pendant la guerre, il rejoint l'Afrique et assure, en 1944, l'administration du Comité Français de la Libération puis du gouvernement provisoire, à la demande du Général De Gaulle. Il siège en 1947 au Tribunal de Nuremberg et, la même

exécutif est placé sous le contrôle d’un assemblée élue au suffrage universel ,contrebalancée par une seconde Assemblée élue au suffrage indirect : le conseil de la république. Ce projet de régime parlementaire dénoncé par le général de Gaulle dans son discours de Bayeux ,le 16 juin 1946 est accepté lors du référendum du 13 octobre de 1946 . (53% oui et 30% abstention) La chute de la IVème république : Il y a des tensions au sein du système le RPF (rassemblement du peuple français)est dissout en 1953