Discours De Simone Veil

|fonctions. | |Situation 3 : La loi Veil et le |Montrer que l'Etat, interpellé |En quoi la violence de ce débat |-Présentation du projet de loi |- Maîtrise de la fécondité |- Expliquer le contexte, le |- Parole professorale contextualisant | |débat sur l'IVG |par les problèmes de la société |révèle-t-elle les difficultés de|par Simone Veil (texte+vidéo |-Respect |rôle des acteurs et les |l'avortement

MANGROLIA Promotion 2009/2012 Hozaïfa Groupe X4 Evaluation de rattrapage de l’unité 6.1 : Méthodes de travail  « Simone Veil : Non aux avortements clandestins » de Maria Poblete « Simone Veil : Non aux avortements clandestins » est un ouvrage biographique écrit par Maria Poblete paru en mars 2009 aux éditions Actes sud. Bibliographie : Maria Poblete est une journaliste née au Chili en 1964. Suite au coup d’Etat

fut le levier essentiel qui permit aux femmes d’acquérir dignité et autonomie, impliquant en amont consentement, droit au divorce et le droit de disposer de son corps librement. L'exigence de nouveaux partages apparut dans le "Deuxième Sexe" de Simone de Beauvoir fait valoir la femme comme un individu égal au sexe masculin, certaines réformes sont alors appliqués afin d'effacer des inégalités omniprésentes; • 23 décembre 1980. Loi relative à la répression du viol. 8 mars 1982. Première Journée

la naissance d'un nouvel individu de l'espèce. Comment est-elle élaborée ? Simone VEIL, femme militante, réussit à faire entendre ses idées concernant l’avortement. C’est ainsi qu’après de long débats des nombreuses mésententes entre les députés, le 26 novembre 1974 le projet de loi sur l’avortement est présenté à l’Assemblée Nationale. Une nuit entière  a été consacrée à son élaboration, une nuit tendue comme le précise Simone Veil.  Environ 484 députés ont donné leur votes : 284 ont voté pour et 189

|Heures 1 et 2 |Heure 3 |Heure 4 |Heure 5 | |Thème |Les changements économiques et|Les changements politiques |La situation : Simone Veil |Les limites de ces avancées | | |sociaux | |et le débat sur l’IVG | | |Problématique |Qu’est ce qui, dans l’histoire|Comment

et le travail, Les droit de la femme et Les femmes et la politique. I. IVG :   • En 1974, l’assemblée des évêques se prononcent contre l’avortement . • La loi Veil est une loi française, votée le 20 decembre 1974 et mise en place le 17 Janvier 1975, qui légalise l’avortement dans certaines conditions. Encouragée d'après Simone VEIL, cette loi s'associe alors la loi Neuwirth , qui légalisait la contraception à partir de 1972. •En 1982, mise en place du remboursement de l’ IVG par la Sécurité

Dates résumés: Dans son édition du 5 avril 1971, le Nouvel Observateur publie une liste de 343 femmes qui s’accusent du délit d’avortement, dont des personnalités publiques parmi lesquelles Simone de Beauvoir, Catherine Deneuve, Marguerite Duras, Gisèle Halimi, Jeanne Moreau, Françoise Sagan. L’article fait sensation et sert de manifeste — baptisé, par provocation, par Charlie Hebdo, manifeste des 343 "salopes" — pour la défense des femmes à disposer de leur corps. Dans le même numéro du

Simone Veil, née Simone Jacob le 13 juillet 1927 à Nice (Alpes-Maritimes), est une femme politique française. Rescapée de la Shoah, elle entre dans la magistrature comme haut fonctionnaire jusqu'à sa nomination comme ministre de la Santé, enmai 1974. À ce poste, elle fait notamment adopter la « loi Veil », promulguée le 17 janvier 1975, qui dépénalise1 le recours par une femme à l'interruption volontaire de grossesse. De 1979 à 1982, elle est la première femme à présider le Parlement européen élu

féminine dans la société est L’identité de Genre. Elle fait référence à la manière dont la société catégorise les personnes en fonction de leur sexe. Les chaînes de l’identité de genre sont dénoncées par Simone de Beauvoir dans son livre Le Deuxième Sexe , paru en 1949. Simone de Beauvoir est une femme de lettres engagée, elle est estimée comme une théoricienne importante du féminisme. Dans Le Deuxième Sexe , elle montre que les

Simone Veil, née Jacob1 le 13 juillet 1927 à Nice (Alpes-Maritimes), est une femme politique française. Rescapée de la Shoah, elle entre dans la magistrature comme haut fonctionnaire jusqu'à sa nomination comme ministre de la Santé, en mai 1974. À ce poste, elle fait notamment adopter la « loi Veil », promulguée le 17 janvier 1975, qui dépénalise2 le recours par une femme à l'interruption volontaire de grossesse. De 1979 à 1982, elle est la première femme à présider le Parlement européen élu