Discours Jean Rostand

Objet d'étude : le théâtre, texte et représentation.Textes :  Texte A - MOLIERE, La Critique de l'Ecole des femmes (1663), scène 5Texte B - Edmond ROSTAND, Cyrano de Bergerac (1897), acte I, scène 3Texte C - Paul CLAUDEL, Le Soulier de satin (1929), Première journée, scène 1Texte D - Jean ANOUILH, Antigone (1944), Prologue.   Texte A -  Molière, La Critique de L'Ecole des femmes.   [La Critique de L'Ecole des femmes met en scène un débat entre des personnages adversaires et partisans de la pièce

société démocratique de l'antiquité, dans laquelle il était donc important de pouvoir influencer les choix et les décisions des citoyens. Aristote en propose une théorie dans son ouvrage la Rhétorique, au IV° avt JC. Elle est alors comprise comme un discours destiné à mener vers certaines conclusions un public non spécialisé, par le moyen d'un raisonnement. Dans ce contexte de la démocratie, on constate que l'argumentation a ses origines partie liée avec la liberté, mais aussi avec l'affrontement (on

Izambard, un de ses professeurs l'encourage à ses essais poétiques. Il fera plusieurs fugues, admirateur de Verlaine, il l'invite à Paris. Il y aura des ruptures et des retrouvailles. En 1873, il publie les Illuminations surtout le Bateau Ivre. Jean de La Fontaine : 1621/1695, naît en Champagne (Picardie), il fréquente le séminaire, puis va vers le droit. Il épouse une jeune fille de 14 ans et à un enfant, il obtient le titre d'avocat au barreau de Paris, et à la charge de maître des Eaux et Forêts

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Descartes, sa conscience ne cesse d’être au monde. Or, pour qu'un mensonge ait lieu, il est nécessaire qu'il y ai deux personnes qui ne soient pas dans la même situation : celle qui, dans son discours, cache volontairement une vérité, et donc en a conscience, et celle qui est susceptible d'être trompée par un tel discours, et donc qui ignore la fausseté. Or, si l’homme veut se mentir à lui-même, il faudrait que ce soit la même personne qui adopte en même temps deux rôles opposés. Il ne serait alors pas possible

tropes, contrairement aux non-tropes : sont assez rares (essentiellement métaphore et métonymie) et changent le sens propre des mots. De même les figures opérent différents niveaux : certaines au niveau du mot, d’autres de la phrase, d’autres du discours et d’autres hors du texte... Ainsi une figure (macrostructurale) peut en contenir plusieurs autres (microstructurale). Les figures et leurs effets : aucun (comme les catachrèses car rentrés dans le langage courant) attention (soulignement

effet, il se distingue des autres puisqu’il ne se contente pas seulement d’exister à travers des textes écrits. Il demande presque toujours à être interprété sous la forme d'une représentation scénique. De plus, il est constitué intégralement de discours direct. Par ailleurs, les rapports humains sont tels qu’ils nous amènent parfois à être en désaccord avec notre prochain au cours de certaines conversations. Ainsi, ce style d’échange peut aller du simple débat d’idées jusqu’au conflit, tout en passant

« boum »« crac »« roucoulement » | | la paréchèse | rapprochement excessif de syllabes identiques dans des mots successifs | « Même et marine Marmara,Tu tues un temps tendre à périr. L'âme erre amène en des désirsQui quitte enfin un art à rats »— Jean Lescure | | la prosonomasie | [stylistique] répétition dans une phrase ou une formule de deux groupes de mots à la sonorité similaire | « Le ticket chic, le ticket choc »— Publicité | répétition morpho-syntaxique | l’accumulation | énumération

artistiques. Le courant littéraire qui a caractérisé ce siècle est le surréalisme, qui est surtout un renouveau de la poésie (André Breton, Robert Desnos...), mais aussi l'existentialisme (Albert Camus, Jean-Paul Sartre), qui représente également une nouvelle philosophie (L'existentialisme est un humanisme de Jean-Paul Sartre). La source première chez les artistes de ce siècle est en rapport avec les conflits politiques de l'époque. La guerre est ainsi présente aussi bien dans la poésie que dans les romans

Écoutez bien, ne toussez pas ». Pourtant, Molière dans La Critique de L'École des femmes met en scène des spectateurs de L'École des femmes, une comédie jouée quelques mois auparavant et objet d'une querelle. D'une façon plus marquée encore, Edmond Rostand, dans l'ouverture de son drame Cyrano de Bergerac, nous présente un théâtre au lever du rideau. Ainsi nous pouvons nous demander dans quelle mesure le spectateur est partie prenante de la représentation théâtrale. Comment celui qui n'est au départ