Dissertation Aussi Vaine Que Les Nuages

supervision permanente, sans un niveau de développement personnel élevé, on ne peut réellement prétendre au titre de coach. De plus, nous vivons une époque particulière car en ce moment, l’univers de l’accompagnement et du coaching n’a jamais été aussi mal traité par les médias. Les raisons sont souvent très simples : faire mousser les ventes de certains magazines ou bien détourner les règles de base de l’accompagnement psychologique et des personnes elles-mêmes pour obtenir l’audimat nécessaire

modeste et de l’homme de bien dans les temps ordinaires ne se distingue guère que par la succession de ses ouvrages et le nom de ses amis. Heureux l’écrivain vraiment favorisé par la fortune qui ne laissera point d’autres souvenirs à l’histoire ! Aussi, à part une anecdote qui traîne dans tous les recueils et qui ne fait pas assez d’honneur à la politesse de la jeunesse française pour qu’on aime à la répéter, on croirait que l’interprète ingénu de Scheherazade a passé à dormir, comme son héroïne

semblait alors le comble de la magnificence. Figurez-vous que ces coquins-là avaient non -9- seulement de bons souliers, mais encore des boucles d’argent. Je voyais du coin de l’œil tous ces regards stupides fixés sur mon habit, et peut-être aussi sur mes souliers, ce qui me perçait le cœur. J’aurais pu d’un mot faire peur à tous ces gens ; mais comment les mettre à leur place sans courir le risque d’effaroucher les dames ? car la marquise pour se donner un peu de courage, comme elle me l’a

me semblait alors le comble de la magnificence. Figurez-vous que ces coquins-là avaient non -9- seulement de bons souliers, mais encore des boucles d’argent. Je voyais du coin de l’œil tous ces regards stupides fixés sur mon habit, et peut-être aussi sur mes souliers, ce qui me perçait le cœur. J’aurais pu d’un mot faire peur à tous ces gens ; mais comment les mettre à leur place sans courir le risque d’effaroucher les dames ? car la marquise pour se donner un peu de courage, comme elle me l’a

la morale ! Répétons-le, vous êtes un invité. Vous en avez tous les privilèges : vous asseoir dans l’intimité de ceux qui vous attendent et qui vous ont préparé un petit extrait de leur oeuvre, une petite anecdote de leur cru ! Mais vous possédez aussi le léger défaut de certains convives : celui d’arriver en retard ! On sait bien que vous n’avez jamais voulu descendre Rodrigue et Chimène, pas plus que Vautrin ou Lantier, ou tout autre héros qui aurait tenté de vous échapper ! Vous avez simplement

la morale ! Répétons-le, vous êtes un invité. Vous en avez tous les privilèges : vous asseoir dans l’intimité de ceux qui vous attendent et qui vous ont préparé un petit extrait de leur œuvre, une petite anecdote de leur cru ! Mais vous possédez aussi le léger défaut de certains convives : celui d’arriver en retard ! On sait bien que vous n’avez jamais voulu descendre Rodrigue et Chimène, pas plus que Vautrin ou Lantier, ou tout autre héros qui aurait tenté de vous échapper ! Vous avez simplement

cette routine journalière. À partir d’aujourd’hui, cette chambre ne sera plus mon chez-moi. — Tessa ! — Je suis levée ! En bas, le bruit des portes de placards qui s’ouvrent et se ferment en claquant indique qu’elle est au moins aussi paniquée que moi. J’ai l’estomac noué et, sous la douche, je prie pour que mon angoisse se dissipe au cours de la journée. Jusqu’à présent, toute ma vie n’a été qu’une succession de tâches accomplies en prévision

titre marquait efficacement l’attitude de l’homme en général, même cultivé, en présence des produits de la science : aviation, radio, télévision, cinéma, multiplication des produits synthétiques, médecine scientifique et chirurgie..., en présence aussi de ces conséquences qui lui apparaissent comme la rançon de cet essor scientifique : l’énergie atomique utilisée à des fins militaires, la surindustrialisation, le spectre toujours renaissant du chômage... Face aux applications pratiques des sciences