Dissertation Catharsis

Certains spectacles font réfléchir, dénoncent des choses, ont des portées politiques et se veulent ouvertement didactiques. D'autres font rêver, rire ou pleurer, mais ça va aussi au-delà du pur divertissement. Le théâtre a toujours eu un rôle cathartique (voir ce qu'Aristote en dit à propos de la tragédie qui permettrait aux spectateurs de purger leurs passions), et ça n'est pas pour rien si les gens se précipitent en masse au spectacle, prennent sur leur temps de vacances pour aller dans des festivals

poétiques). Certaines notions comme la métaphore et l'expression sont néanmoins plus longuement traitées dans la Rhétorique. Mais on peut aussi mettre en relation la Poétique et la Politique d'Aristote dans la mesure où la notion clé qu'est la catharsis fait son apparition dans ces deux livres. Présentation succincte Le plan de la Poétique d'Aristote n'est pas toujours parfaitement cohérent et facile à déterminer. Néanmoins on peut établir les points suivants : 1. Dans les chapitres 1 à 5, Aristote

voie à la psychanalyse proprement dite, dont la méthode cathartique constitue pour ainsi dire l’échelon initial. Mlle Anna O..., le premier cas traité, était une patiente de Breuer, tombée malade après la mort de son père et qu’il soigna par la catharsis sous hypnose. Ainsi put-il libérer ses affects coincés. Les quatre cas suivants furent traités par Freud lui-même. D’un grand intérêt scientifique sont les trois essais théoriques : la Communication préliminaire, de Freud et Breuer, De la théorie

Ce monologue est l’aboutissement de l’exaltation de Solange face à Claire-Madame. Solange, en proie à une sorte de transe, imagine alors le meurtre de Claire-Madame, sa condamnation et sa mort. L’analyse consistera à étudier cette vision de Solange, que l’on pourrait qualifier de projection imaginaire ou cérémonie théâtralisée du meurtre qu’elle commet (métaphoriquement), de sa condamnation et de son exécution. I) - Vous étudierez, dans un premier temps, les différentes étapes de cette vision

modèles antiques s’appuient-ils ? 4. Qui sont les principaux théoriciens de la doctrine classique au XVIIème siècle ? Les principes du classicisme 5. L’art doit plaire et instruire. Ainsi le théâtre permet selon la théorie aristotélicienne de la catharsis, la purgation des passions. Comment la définirez-vous ? 6. Maîtriser son art. Les classiques sont persuadés que la beauté ne peut être le fuit du désordre ou du libre jaillissement créatif. Donc, à quoi doit-il se conformer ? 7. Ce qui est invraisemblable

énonciation s'adressant à deux destinataires distincts. De manière générale, le théâtre est une double énonciation en ce sens qu'un personnage, sur scène, lorsqu'il s'adresse à un autre personnage, s'adresse également aux spectateurs. d) e)  La catharsis est l’une des fonctions de la tragédieselon Aristote. Il s’agit de libérer les spectateurs de leurs passions en les exprimant symboliquement. L’idée est que le spectacle tragique opère, chez le spectateur, une purification des passions. f) 6)

Atrides) Quels sont les éléments qui provoquent (chez le lecteur) la terreur ou la pitié ? Plan : I] La terreur comme un composant attendue dans un dénouement tragique. II] La pitié permettant entre autre de nuancer la culpabilité de Phèdre III] Le catharsis but ultime qui débouche ici sur un retour à l’ordre I] La terreur comme un composant attendue dans un dénouement tragique. (mort de Phèdre comme une purification) A) Le caractère odieux de la mort d’Hyppolyte (Cf paroles de Thésée) v.4 : « Prenez

à commencé par ce déguiser pour finir par jouer. Deux genres : -La comédie (Faire réfléchir à la politique, au comportement des citoyens.) -La tragédie (Ce débarrasser de ces mauvaise émotion par l'identification au personnage. [La Catharsis selon les Grecs.]) Sophocle (-495 /-406 Av Jc) à écrit 120 pièces de Théâtre, il en reste 8. Il à joué un rôle politique. P23 à 32 L’orgueil d'Œdipe le pousse vers « l'hybris » , la démesure. Il sombre vers la colère, il imagine des choses

Bérénice, Racine Acte V, scène 7 Bérénice de Racine est une pièce de théâtre tragique écrite en 1677, siècle du classicisme. Il y est question d’un empereur Romain Titus amoureux de Bérénice, reine de Palestine. Le mariage entre les deux ne peut se faire à cause de la loi romaine qui cite qu’un homme ne peut se fiancer avec un autre membre. Titus a préféré le pouvoir et a donc renvoyé B. dans son pays. C’est alors qu’Antiochus intervient pour prendre soin de B. mais il tombera follement amoureux

t'en veux accablé » A travers le verbe vouloir, Auguste montre sa toute puissance. Je, Je, Je, Je … Auguste se met en avant, il s'impose et décide ; il a retrouver sa gloire - Morale Corneille veut montrer que n'importe quel Tyran, peu évoluer. Catharsis = émulation = purgation des passions Auguste tyran devient « bon » Ouverture : - Citation « le lion et le rat » - Bérenice de Racine : dénoument similaire, personne ne meure, inattendu - Mise en scène Bible : « pardonner à ceux qui nous ont offensés