Dissertation Catharsis

refléter dedans. Si la tragédie s’éloigne trop de nous par le fait que ses personnages et situations semblent être hors du commun des mortels, elle s’en rapproche à partir du fait que ses héros soient avant tout humains, puis par le biais de la catharsis. Il est vrai que les personnages de la tragédie soient, avant d’être extraordinaires, des êtres humains. Ceux sont des personnages de types humains qui partagent des sentiments universels, partagés par tous : l’amour, la haine, la passion, la

présentées aux yeux que pour montrer tout le désordre dont elles sont cause.” Le dramaturge prend ici parti et sous-entend donc que les passions ne sont qu’un prétexte qui renferment la vraie finalité de la tragédie : la libération des passions, la catharsis selon Aristote. Les idées de ces deux hommes se confrontent au premier abord mais en réalité s’entendent et se précisent l’une l’autre. *** D’abord, les tragédies grecques ou classiques présent des passions exacerbées qui mènent les personnages

méthode cathartique (faire revivre à la patiente une supposée scène traumatique et émotions liées sous hypnose). Un jour elle lui raconte dans qu’elles conditions un de ses symptômes est apparu, après cette confidence ce symptôme disparait : la catharsis : la purge par la parole. L’hypnose cache selon Freud, un certain nombre de phénomènes importants. Transfert : un processus par lequel les désirs inconscients se transfèrent sur les thérapeutes. Par la parole, le patient va revivre et rejouer

excellence. En abordant Médée dans sa tirade elle se compare en quelque sorte à elle c. Fatalité et catharsis Cette fin est marqué par la fatalité qui rappelons le est la marque de tragédie classique, en effet ici, Phèdre est en proie à sa destiné annoncé depuis le début, c’est « le ciel » c'est-à-dire les dieux qui sont responsable de cette fin, la Catharsis est atteinte dans cette tirade, la catharsis qui en grecque signifie purification, est l’épuration des passions grâce à la représentation dramaturgique

public éprouve du plaisir à s'émouvoir pour des personnages perdus, impuissants. Dans "Britannicus", le spectateur se distrait du jeu des passions (jalousie et pouvoir) mais ne tire aucune leçon morale de cette "naissance d'un monstre". C. La catharsis "Purgation des passions", selon Aristote. Comme le carnaval, le théâtre est une libération salutaire. Par "empathie", le spectateur réagit devant une action souvent désespérée ou absurde: 1. Rôle de la comédie: remède plus efficace que toutes les

Comportement de DJ différent de celui d’un honnête homme. « notre départ » = lâcheté; + mensonge. *Pour Sg, le tabac est un art de vivre en communauté « il réjouit », « il instruit », plaisir sans méchanceté qui rapproche les gens. Tabac purifie => Catharsis (fonction au théâtre de purger les mauvaises passions en les montrant). =>Le tabac serait la métaphore de la représentation théâtrale. b) L’éloge paradoxal -> hérité de l’Humanisme : plaisanteries d’H de lettres (ex; Erasme : Eloge de la Folie)

jouée devant une assemblée ; la présence de l’assemblée est prépondérante dans la définition que fait Corneille de la tragédie, afin que « s’opère la purgation des mœurs, propres aux émotions suscitées par le théâtre » : il s’agit du phénomène de catharsis, propre aux tragédies, et qui montre bien l’importance de la représentation sur scène. Cet aspect est en partie valable pour la comédie ; en effet elle a aussi pour but de corriger les mœurs, mais par le rire (« castigat ridendo mores »), ce qui

imitation esthétique. En jouant la tragédie, le comédien va se libérer de ses passions personnelles en les jouant ( certes différemment mais en les exprimant au travers de quelqu’un d’autre : un personnage ) c’est d’ailleurs sur ce modèle de la catharsis aristotélicienne que Freud mena ses première cure s analytiques.

noyé dort entre eux dans le lit. Durant le chapitre XXV, la passion s’est transformée en haine violente, en souffrances physiques et morales auxquelles s’ajouta la peur l’un de l’autre. D’après Aristote, la visée ultime de la tragédie est la catharsis, c'est-à-dire la purification des spectateurs qui sont confrontés à la représentation d’émotions intenses (la terreur et la pitié) dont ils se trouvent libérés par l’effet de mise à distance induit par le spectacle tragique. Dans ces pièces, les

sociale et aux mœurs de leur pays), et la bienséance linguistique (pas d'excès de langage qui sont remplacé des figures d'atténuations et une syntaxe équilibrée) – La tragédie doit susciter la terreur et la pitié du spectateur afin de faire naître le catharsis (« purgation des passions »). La tragédie assume une fonction de mise en garde.