Dissertation Surnaturel

la mort de Goliath, et la trahison de Judith. - Il faut ajouter dix médaillons contenant des sujets historiques, et plus de cinquante figures isolées qui servent d'ornement. La difficulté capitale des sujets que j'ai indiqués, c'est le caractère surnaturel des personnages. Sans doute chaque peintre, selon son génie, pourra écrire avec d'autres lignes, avec d'autres couleurs, ces poèmes dont la Bible nous a donné le scénario. Mais la première loi, la loi souveraine qui doit présider à ces inventions

vache). La Magie est un ensemble de pratiques, de rites, de croyances, en rapport avec le surnaturel, qui, à la différence de la religion, ne fait pas intervenir la volonté de ses puissances, mais suppose au contraire qu’elles sont plus ou moins contraintes de produire les effets escomptés lorsqu’on accomplit les rites appropriés. Ainsi la Magie apparaît comme une technique et suppose des forces surnaturelles immanentes, tandis que la religion postule au contraire une certaine transcendance du sacré

voit comme un fou ou un malade : :l.14,l.34 II) La modernisation du mythe d’Œdipe A) Le registre fantastique - Jocaste en fantôme : didascalie fait d’elle un pers onirique+« paraître » souligne son évanescence - Croyance surnaturelle expliquée par Jocaste : sub. de cause l.3 : seuls les aveugles voient les fantômes, ce qui est confirmé par la réplique énigmatique de Tirésias : l.15 : « ils »= Oe. et Antigone sous la « bonne garde » de Jocaste qu’il peut donc voir, lui aussi

questions sur l’existence du surnaturel. Idée secondaire 1.1 : Selon le narrateur, l’invisible existe. Citation 1.1 : « Mais celui qui me gouverne, quel est-il, cet invisible ? Cet inconnaissable, ce rôdeur d’une race surnaturelle ? Donc les invisibles existent ! » (p.76) Explication 1.1 : Le fait de se questionner sur l’invisibilité d’un être qui le pourchasse nous démontre la folie du personnage. L’utilisation de la métaphore du rôdeur d’une race surnaturelle par Maupassant nous démontre

second temps nous nous attacherons au fait qu’il introduit dans cet univers des phénomènes que la raison ordinaire ne parvient pas à expliquer, et enfin, nous démontrerons que le lecteur « hésite entre une explication naturelle et une explication surnaturelle des événements évoqués ». En conclusion, on peut dire que l’auteur, Théophile Gautier introduit dans sa nouvelle toutes les caractéristiques qui font de La Morte amoureuse un récit fantastique. On a vu qu’il « oblige [son] lecteur à considérer

expérimenter les facultés insoupçonnées et obscures de l’esprit humain. Cet engouement pour un surnaturel païen est largement inscrit dans la littérature, fantastique ou non. Du côté russe, on peut penser à la séance de tables tournantes dans Anna Karénine, mais Gogol lui-même nous donne un exemple de l’atmosphère qui pouvait régner dans la société pétersbourgeoise : « Les esprits étaient alors très attirés par le surnaturel, et peu de temps auparavant le public avait été fort intéressé par des expériences de

thème de la mort d’amour. Ainsi le vers 20 « Mon cœur me fit Si mal du jour où il s'en alla » est composé de 13 syllabes et son rythme heurté évoque la souffrance et le sanglot. Le vers 26, allongé jusqu'à 17 syllabes traduit le grandissement surnaturel du personnage féminin. Si l'on s'attache au portrait dressé par le poète, on s'aperçoit que l'apparence physique de la Loreley est réduite à sa chevelure et à son regard. Les expressions évoquant sa chevelure montrent la blondeur en relation

caches. « Le boucliers » : le metal vient temperer l’epanchement feminin. « Armoire a doux secrets » : Baudelaire cherche toujours la profondeur. V24 : la femme procure son seulement un plaisir charnel, mais aussi spirituel. V31 : un pouvoir surnaturel est attribue a la femme. Dans cette strophe il ya le mariage entre mouvement prospectif et mouvement alternatif. V 29-30 : les 2 sorcieres sont les jambes, c’est l’image renversee des jambes dans la robe. « Dans un vase profond » : la profondeur

mort de l’héroïne. c) Lieux et personnages Les personnages, les lieux et les éléments magiques sont caractéristiques des contes : - « une sorcière » (v.1), - « trois chevalier » (v.21) - un « beau château » (v. 28) - le pouvoir surnaturel et maléfique de la jeune femme dont le regard « laissait mourir d’amour tous les hommes à la ronde »( v. 2) 2) La réécriture de la légende a) L’origine Le poème « La Loreley » est fortement inspiré d’une légende inventée par

 Rimbaud détient la capacité d’ « écouter les  étoiles  ». Le  voyant atteint  donc l’inconnu,  là où nul  homme  n’est  parvenu avant lui, en  découvrant  par  exemple « des  ombres fantastiques ». En somme, un voyant doit forger  l’image d’un  visionnaire  investit de pouvoir surnaturel : « inspecter l’invisible et entendre  l’inouï ».    De  plus,  le  dépassement  du  réel  s’effectue  généralement  en  personnifiant  les  objets.  C’est en  effet le  cas dans «  Le  Buffet  »  où ce meuble  peut  conter des histoires  qui est représenté comme une personne âgée