Divinités égyptiennes

signifie la « Voie des Dieux ». Les pratiquants de cette religion croient en plusieurs dieux et aiment et respectent la nature. En effet, les Japonais pensaient que des divinités (Dieux) appelés « kami » existaient dans la nature, dans les arbres, les montagnes, la mer, le vent. Des sanctuaires sont construits pour honorer les divinités. - 1- II – LE BOUDDHISME Le bouddhisme commence en Inde. Il est arrivé au Japon au

les légendes possèdent des frontières floues. Grecs : domaines religieux et mythologiques riches mais divisés. Chacun avait sa divinité, son récit d'origine, mais le fond mythologique était le même notamment depuis les épopées (Tésode 8ème avant JC) et Homère. Romains : ils s'approprient les mythes et les rituels des territoires conquis notamment les divinités grecques (ex Dionysos devient Bacchus) I Le mythe de la création du monde La culture grecque : de nombreux récits des origines

1. Les femmes dans l'Odyssée permettent à Ulysse de (re)trouver le bon chemin 1. Athéna (l’adjuvante) « avoir un bon copain » Brassens 2. Les femmes remettent Ulysse sur le droit chemin  « ceux qui pense droit marchent de travers » Dypréau -elles aiguillent par leurs actions (adjuvantes) ou leurs exactions (envoyées de Poséidon etc.) 3. Pénélope moteur de la poursuite du voyage « les chemins qui vont droit devant s’escaladent » Vignault -patrie, amour

s'aimaient que trop ! leurs soins et leur tendresse Approchaient des transports d'Amant et de Maîtresse. Le Ciel même envia cette félicité : Céphale eut à combattre une Divinité. Il était jeune et beau ; l'Aurore en fut charmée, N'étant pas à ces biens chez elle accoutumée. Nos belles cacheraient un pareil sentiment : Chez les Divinités on en use autrement. Celle-ci déclara ses pensers à Céphale ; Il eut beau lui parler de la foi conjugale : Les jeunes Déités qui n'ont qu'un vieil Epoux Ne se soumettent

première personne du pluriel. | | Le texte passe d'une demande d'aide adressée à Dieu à une exhortation adressée aux hommes. | B. Une prière déiste Le dieu de Voltaire n'est pas celui d'une religion particulière. Le dieu auquel il s'adresse est une divinité unique, universelle dont les attributs (grandeur, majesté, puissance...) sont ceux qu'on retrouve dans la plupart des religions.  C. Le but humanitaire de la prière : la dénonciation de l'intolérance 1. Les différences entre les hommes sont

envisager une forme de religion dans les limites de la simple raison (sans référence à une quelconque transcendance divine) ? Définition de la religion : La religion correspond à un culte rendu à une ou des divinités voire à la nature dans son ensemble considérée comme une divinité (panthéisme) ou attribue une âme ou un esprit à différents éléments de la nature (animisme). Elle se traduit par un ensemble de croyances partagées par un groupe humain donné et de rites pratiqués par ce groupe

pouvant l’être sans douleur de la femme aimée, il devient alors l’adorateur de l’inconstance. 2) Il emprunte le langage de l’adoration religieuse  La tournure « O » est réservée pour invoquer un destinataire sacrée. « Divine » : pléonasme. La divinité est personnifiée.  Usage des impératifs : fréquents dans les prières « Aie pitié », « guéris » : demande, « change » : Désir de conversion, change : fin vers 8. V.6-8 : Strucuture en parallèle : « J’ai tourné le médire en langage » Oxymore/paradoxe

Il avait acquis ces deux chefs-d'oeuvre et, pendant des nuits, il rêvait devant l'un d'eux, le tableau de la Salomé, ainsi conçu : Un trône se dressait, pareil au maître-autel d'une cathédrale, sous d'innombrables voûtes jaillissant de colonnes trapues ainsi que des piliers romans, émaillées de briques polychromes, serties de mosaïques, incrustées de lapis et de sardoines, dans un palais semblable à une basilique d'une architecture tout à la fois musulmane et byzantine. Au centre du tabernacle

héroïne fondatrice Béroé, l'une des innombrables maîtresses de Dionysos (Nonnos de Panopolis, Dionysiaques, divers chants). Éros et son double jumeau Antéros passent parfois pour ses enfants, alors que selon Hésiode, Éros est une des premières divinités, non engendré mais issu directement du Chaos. La vengeance d'Aphrodite[modifier] La Vénus d'Arles, dont le prototype est attribué à Praxitèle, restaurée par Girardon comme tenant la pomme du jugement de Pâris. La vengeance d'Aphrodite est

déesse la « nouveau-née »et porte Chloris ou Flore la nymphe. A sa | |droite, elle est reçue par un personnage féminin, | |l'une des Heures (la divinité du printemps) tentant, malgré le vent, de la couvrir d'un voile rouge parsemé de motifs floraux, pour cacher une | |nudité déjà bien dissimulée par la déesse elle-même.