Docklands

immobilière qui est la conséquence des baux emphytéotiques favorise l'émergence des lieux à la mode pour des durées éphémères. Carnaby Street n'est plus qu'un souvenir de l'époque des Beatles, les pubs de Hampstead rivalisent avec ceux de Chelsea, les Docklands tentent un rééquilibrage à l'Est. Au-delà subsiste la nébuleuse des centres secondaires, vieux villages ou nouveaux centres noyés dans les suburbs. Mais devant l'étendue nouvelle des agglomérations, les quartiers anciens même paupérisés conservent

immobilière qui est la conséquence des baux emphytéotiques favorise l'émergence des lieux à la mode pour des durées éphémères. Carnaby Street n'est plus qu'un souvenir de l'époque des Beatles, les pubs de Hampstead rivalisent avec ceux de Chelsea, les Docklands tentent un rééquilibrage à l'Est. Au-delà subsiste la nébuleuse des centres secondaires, vieux villages ou nouveaux centres noyés dans les suburbs. Mais devant l'étendue nouvelle des agglomérations, les quartiers anciens même paupérisés conservent

facility management, a conforté ce profil résilient. L’exercice a été caractérisé par une bonne résistance globale de l’activité et des marges, grâce notamment à d’importantes commandes dans le domaine des infrastructures de transport (extension du Docklands Light Railway et rénovation de la station Tottenham Court Road pour le métro de Londres ; réaménagement du terminal sud de l’aéroport de Gatwick) et à un volume d’affaires en progression sur le marché des bâtiments scolaires ; sept projets ont été

certains bâtiments industriels du XIXe ou du début XXe sont alors réhabilités pour accueillir du public (musées, restaurants, hôtels, quai pour les paquebots de croisières avec des promenades le long des quais…). C’est le cas à Londres avec les Docklands, à Barcelone avec le Port Vell ou encore à Marseille avec le projet Euroméditerranée. Ce mouvement de reconquête des « waterfronts » (fronts de mer), parti des États-Unis d’Amérique (Boston, Baltimore…), est aujourd’hui présent dans l’ensemble

masculine à Londres. En outre, ce lieu démesuré mais commode, surprenant mais familier, est au cœur d’un nœud de transports : la ligne de métro Jubilee, qui a été prolongée, reliant le quartier au centre-ville, l’extension et le développement du Dockland Light Railway, un métro automatique aérien, la création d’un réseau ferroviaire local et, à partir de 2018, l’arrivée de Crossrail, sorte de RER est-ouest, en témoignent. Sans compter la proximité de l’aéroport international de la City, qui dessert

pointers. Algy and I have been here for ten years so we know virtually everyone.” 1. takeover : (here) taking control of a company. 2. ghastly : frightening, bad and unpleasant. 3. Canary Wharf : large business and shopping development, in the London Docklands. 42 Sujet 4 – Le sujet 35 40 45 Nancy seemed doubtful. ”I’m kinda hoping to find a decent hairdresser. I find the salons here a little... dull.” Her eyes took in Philly’s chubby face and her lank brown hair, pushed back for the occasion with

première). Il est intéressant de remarquer là aussi l’implantation polycentrique de ces fonctions ; même si la City demeure le quartier financier emblématique, ces activités se sont desserrées dans Mayfair à l’ouest et dans le quartier rénové des Docklands à l’est. P. 108 à 115 Dossier 1 Centres et périphéries de l’espace mondialisé A. L’inégale intégration des territoires Réponses aux questions 1. L’indice KOF mesure la mondialisation sur une échelle de 1 à 100 ; il a été publié pour la première

Cette puissance financière est indissociable de la vocation maritime de la ville : le port de Londres reste le premier du monde pendant tout le XIXe siècle. En contrepoint, on pourra montrer aux élèves des images de la réhabilitation du quartier des Docklands pour illustrer le devenir de ces lieux dans une nouvelle logique de mondialisation depuis les années 1980. Document 1 : Londres, une place financière majeure. La période envisagée couvre l’apogée de la domination de Londres en tant que place financière