Docteur Watson

s’agit d’une affaire grave. » Holmes s’adressait moins à moi qu’à lui-même. Cependant ma mauvaise humeur ne tint pas contre l’intérêt qu’éveillaient ses paroles. « Qui donc est Porlock ? demandai-je. — Porlock est tout simplement un pseudonyme, Watson, un signe d’identification derrière lequel se dissimule un individu fuyant et fertile en ressources. Cet individu m’avisa, dans une précédente lettre, qu’en réalité il s’appelait différemment, et qu’il me mettait au défi de le dépister entre les millions

Capitaine des pompiers Résumé : L’histoire se passe à neuf heures du soir‚ à Londres, dans le salon de M. et Mme Smith. Ils ont fini de dîner, et bavardent au coin du feu (ils parlent notamment d’une famille dont tous les membres s’appellent Bobby Watson). Les Martin, un couple d’amis, arrivent et attendent dans le salon des Smith, assis l’un en face de l’autre, ils ne se connaissent apparemment pas. Le dialogue s’engage, et leur permet cependant de constater une série de coïncidences curieuses :

capitaine des pompiers. La pièce est complètement marquée par l’absurde, il n’y a aucune intrigue à part les dialogues inutiles des personnages. D’abord, Mme Smith devant son mari décrit le repas anglais qu’ils ont fait. Ils évoquent la mort de Bobby Watson et sa généalogie. On assiste au premier débat, il porte sur la médecine. Mary annonce l’arrivée des Martin qui vont après un long dialogue, tirer la conclusion qu’ils sont mariés. Alors le repas commence avec des échanges de formules de politesse

Présentation de l’auteur : Walter Hesbeen est infirmier et docteur en santé publique de l'Université catholique de Louvain (UCL-Belgique) et Lauréat de la Fondation Van Goethem-Brichant pour la réadaptation. Il a été directeur des services hospitaliers du Centre neurologique William Lennox (Ottignies-Louvain-la-Neuve, Belgique), puis professeur à l'École nationale de santé publique (Rennes, France) et ensuite responsable de l'Unité de recherche et développement de l'École La Source (Lausanne,

; trapu; yeux bruns; sourcils noirs; visage éveillé et combatif; hâlé; de bonne race; maintien assuré; courageux; hérite près d'un million de livres de Charles; accent américain; amoureux de Beryl Stapleton; a entrepris un long voyage avec le docteur Mortimer. Baskerville, Hugo. Ancêtre  de  Charles;  propriétaire  du  manoir  de  Baskerville  au  temps  de  la  Grande  Révolte; profanateur; impie; à demi sauvage; humeur impudique et cruelle; tué par un chien gigantesque après avoir causé la mort d'une jeune paysanne 

de la jeune paysanne assassinée par Hugo Baskerville, mais il était plutôt membre d'une autre branche des Baskerville. C'est l'héritage qu'il convoitait. On aurait sans doute dû voir un indice, quand Beryl Stapleton tente de convaincre le docteur Watson de repartir pour Londres. Déjà, une lettre d'avertissement avait été envoyée à Henry Baskerville. Ne pouvait-on penser que c'est Beryl qui avait envoyé la lettre ? Beryl Stapleton n'aurait pas pu se rendre à Londres sans que son "frère" le

anxieuse sur l'avenir de l'Humanité. Contre les menaces qui pèsent sur l'Humanité, Huxley veut lutter avec ses armes d'intellectuel et d'écrivain. Il veut mettre en garde ses lecteurs. En 1937, Huxley part s’installer à Hollywood, en Californie. Le docteur Margaret Corbett lui apprend la Méthode Bates pour rétablir sa vue radicalement, il écrira un livre à ce sujet, «L’art de voir» en 1942. Après la Seconde Guerre mondiale, Huxley demande la citoyenneté américaine, qui lui est refusée parce qu’il refuse

infirmier : penser et agir dans une perspective soignante, Masson, mai 2002, 208 pages.HESBEEN W, travail de fin d’études, travail d’humanitude .Se révéler l’auteur de sa pensée, Masson, décembre 2005, 144 pages. | NOTE SUR L’AUTEUR | Infirmier et Docteur en santé publique de l’université de Louvain.Aujourd’hui responsable de l’unité de recherche et développement de l’Ecole La source de Lausanne(Suisse) et secrétaire général de l’institut La Source de Paris. Il est membre fondateur et rédacteur en

s’arrête pas à l’enveloppe extérieure des humains, il peut également lire les pensées et l’intériorité des personnes. Cette omniscience lui ajoute un caractère inquiétant. Aucun sentiment n’intervient dans son analyse, c’est la raison pour laquelle Watson reproche à Sherlock Holmes d’être une machine sans aucun sentiment humain. « Le

en Bohême où elle vit avec son mari. Elle meurt au début de livre. • Adjoint de Stres : on ne connaît pas son nom. Il travaille avec Stres et s’occupe surtout des archives. Lui et Stres ont une relation comparable à Sherlock Holmes et le docteur Watson. • Mère de Doruntine aussi nommée Madame-mère : elle est veuve de ses neufs garçons et se sens très seule. Elle veut aussi revoir sa fille qui vit en Bohême. Elle meurt elle aussi au début du roman. • L’imposteur : on sait très peu de