Doit On Desobeir A La Loi

"Toute loi, avons-nous dit, vise l'intérêt commun des hommes, et c'est seulement dans cette mesure qu'elle acquiert force et valeur de loi. Dans la mesure, au contraire, où elle ne réalise pas ce but, elle perd sa force d'obligation (…) Or, il arrive fréquemment qu'une disposition légale utile à observer pour le bien public en règle générale devienne, en certains cas, extrêmement nuisible. Car le législateur, ne pouvant envisager tous les cas particuliers, rédige la loi en fonction de ce qui se présente

notre existence, nous obéissons. Avant tout aux lois physiques comme à nos besoins naturels, nous obéissons aussi inéluctablement tout au long de notre vie sociale à un Maître polymorphe. Cette entité supérieure à nôtre personne par sa sagesse ou son pouvoir, est tantôt le parent puis le professeur, mais aussi un chef, l’État ou encore la société ; avant, pour son ultime ordre, d’empoigner la faux. Sommes-nous pour autant condamnés à courber l’échine sous le poids du cours de la vie ? Une telle pensée

sujets sur la justice, cette question pose le problème du fondement du droit positif, à savoir s'il existe ou non un droit idéal, ou si tout droit se ramène au droit positif, c'est-à-dire s'il n'existe pas de justice en dehors des lois. Que dire du droit du plus fort ? Est-ce en écoutant ce que dit le droit que nous connaissons et faisons ce qui est juste ? Pour savoir ce qui est juste, suffit-il de consulter la loi ? -L'impossibilité de fonder le droit sur le fait Le droit est nécessairement institué:

Markos Kapsaskis TL Bac Blanc de Philosophie : L´obéissance à l´État est-elle toujours une obligation ? L´obéissance politique est-elle toujours un choix ? Lorsqu´on est obligé de faire quelque chose on peut le faire ou pas à la suite d´un jugement sur l´affaire en question. De l´autre part, si on est contraint de quelque chose il n´y a aucun jugement, on est soumis à la contrainte. La société s´organise en base d´une obéissance générale à un État qui détient le pouvoir. On peut penser que cette obéissance

sont nécessaires. La référence à la bonté naturelle des hommes – que la société aurait pervertie – est d’ailleurs le seul argument sérieux des anarchistes qui défendent l’absence totale de lois. Si, en revanche, nous pensons que le mal est une réalité humaine, qu’il existera toujours des individus menaçant la vie des autres ou l’équilibre de la société, alors il faut des lois pour dire les règles communes, ce qu’encourent ceux qui les violent. = définition de la loi : une règle organisant la vie ensemble

Qu’est-ce que le droit ? = ensemble des règles à caractère juridique existant à un moment et un endroit déterminés. 1 Une règle = disposition d’ordre ou d’interdiction. Ex : - Tu ne peux pas tuer ( interdiction - Tu dois déclarer ton enfant à la naissance ( obligation Un écart n’est donc pas permis (= est une règle impérative) D’un autre côté il y a les règles supplétives : ce sont des règles à partir desquelles les gens peuvent s’écarter. 2 Une

Le terme ‘’Totalitarisme’’ est un régime politique a parti unique crée après la deuxième guerre mondiale qui n’accepte aucune opposition de la société et qui prend pouvoir de toute les activités à l’intérieur de celle-ci. Le mot ‘’Totalitarisme’’ signifie étymologiquement ‘’système tendant à la totalité’ ’Hannah Arendt, philosophe et historienne, est une des premières à penser que le régime totalitaire est une forme de violence politique. Ce régime politique manipule la société en leur soumettant

mode d’exercice particulier de son pouvoir de direction. Selon le code du W, le pouvoir disciplinaire s’exerce à la suite d’un comportement du salarié que l’employeur considère comme fautif. La finalité immédiate du pouvoir disciplinaire est donc de punir, de sanctionner. Le pouvoir disciplinaire c’est l’E des règles qui ont pour fonction d’encadrer cette possibilité de sanctionner. Il y a eu 3 grandes étapes qui ont fondé le pouvoir disciplinaire. 1ère étape : pour justifier le prononcé de telle

peut pas être autrement que ce qui est. En français, on utilise le même mot devoir pour parler de la nécessité de l’obligation. Ex : la pierre doit tomber (nécessité) : je ne dois pas mentir (obligation/morale) Il faut distingués ce que nous sommes déterminés à faire sous l’effet de la nécessité et ce que nous devons faire en ayant le pouvoir de désobéir. Il va falloir réfléchir aux fondements de nos obligations. Nous avons l’habitude de penser que ces fondements sont imposés par la logique sociale

nécessaires du a la présence du mal dans notre société. En faite, le mal fait partie de la nature humaine, afin d’éviter le désarroi de l’équilibre de la société ainsi que les menaces a d’autres individus il faut qu’il y ait des règles communes, dont une sanction sera imposée en cas de désobéissance. Ainsi, on peut dire qu’une “loi juridique n’est pas une loi au sens moral”. Les lois existent pour de nombreuses raisons; il ne faut pas oublier que nous sommes indirectement les créateurs de la loi, elles ont